Lhomme qui voulait ĂȘtre heureux panLaurent Gounelle. CaractĂ©ristiques. L'homme qui voulait ĂȘtre heureux; Laurent Gounelle; Nb. de pages:258; Format: Pdf, ePub, MOBI, FB2; ISBN:9782738226204; Editeur:SuccĂšs du livre; Date de parution:2010; TĂ©lĂ©charger eBook gratuit. Amazon livres tĂ©lĂ©charger pour allumerL'homme qui voulait
L'homme qui voulait ĂȘtre heureux pan Laurent Gounelle CaractĂ©ristiques L'homme qui voulait ĂȘtre heureux Laurent Gounelle Nb. de pages 258 Format Pdf, ePub, MOBI, FB2 ISBN 9782738226204 Editeur SuccĂšs du livre Date de parution 2010 TĂ©lĂ©charger eBook gratuit TĂ©lĂ©chargez des livres epub sur playbook L'homme qui voulait ĂȘtre heureux 9782738226204 in French Overview Imaginez...Vous ĂȘtes en vacances Ă Bali et, peu de temps avant votre retour, vous consultez un vieux guĂ©risseur. Sans raison particuliĂšre, juste parce que sa grande rĂ©putation vous a donnĂ© envie de le rencontrer, son diagnostic est formel vous ĂȘtes en bonne santĂ©, mais vous n'ĂȘtes pas heureux. Porteur d'une sagesse infinie, ce vieil homme semble vous connaĂźtre mieux que vous-mĂȘme. L'Ă©clairage trĂšs particulier qu'il apporte Ă votre vĂ©cu va vous entraĂźner dans l'aventure la plus captivante qui soit la dĂ©couverte de soi.
Lhomme qui voulait ĂȘtre heureux; Laurent Gounelle; Nb. de pages: 258; Format: Pdf, ePub, MOBI, FB2; ISBN: 9782738226204; Editeur: SuccĂšs du livre; Date de parution: 2010; TĂ©lĂ©charger eBook gratuit. Ebooks gratuits kindle download L'homme qui voulait ĂȘtre heureux par Laurent Gounelle in French. Overview
Je sais que cela fait un peu clichĂ© d'apprĂ©cier pour ne pas dire mĂȘme adorer un livre qui a rencontrĂ© un tel succĂšs au point d'en devenir un best-seller mais tans pis, j'assume mes choix ! Oui, j'ai adorĂ© cet ouvrage j'avais dĂ©jĂ adorĂ© "Les dieux voyagent toujours incognito", et lĂ , c'est le mĂȘme sentiment de bĂ©atitude qui m'a emportĂ©. Un livre simple, facile Ă lire, accessible Ă tous et qui pourtant nous fait rĂ©flĂ©chir sur des questions existentielles, comme par exemple et non pas des moindres Qu'est-ce que je veux vraiment faire de ma vie ? Et suis-je capable de rĂ©ussir ? ou encore Dois-je me fondre dans le moule et faire ce que les autres attendent de moi ou faire ce dont, moi, jai rĂ©ellement envie ?Le narrateur va ĂȘtre amenĂ© Ă se poser toutes ses questions lors de son sĂ©jour Ă Bali avec sa rencontre avec guĂ©risseur, ou pour ĂȘtre exacte, un maĂźtre spirituel du nom de Samtyang. Ce dernier va apprendre au narrateur Ă progresser en lui donnant quelques petites tĂąches Ă accomplir pour l'aider Ă dĂ©couvrir qui il est rĂ©ellement et Ă progresser afin de se sentir mieux dans sa vie et dans sa tĂȘte. Car oui, le narrateur exerce une profession il est enseignant, il gagne donc bien sa vie mĂȘme s'il a de temps en temps des prises de tĂȘte avec son banquier Ă cause de ses dĂ©couverts mais il n'a cependant personne dans sa vie et plus que tout, il n'est pas heureux. MaĂźtre Samtyang va donc l'aider Ă dĂ©couvrir ce qu'il lui faudrait faire pour que cela change !Un roman agrĂ©able Ă lire, trĂšs vite lu et que je vous recommande, mĂȘme si j'ai constatĂ© que les avis sur le sujet Ă©taient mitigĂ©s !I know it's a little cliche to appreciate not to say even adore a book that has met with such success to the point of becoming a bestseller but tans worse, I take my choice! Yes, I loved this book I had already loved "The gods always travel incognito", and there is the same feeling of bliss that won me. A simple book, easy to read, accessible to all and yet makes us think about existential questions, for example and not least What do I really want to do with my life? And am I able to succeed? Or do I have to melt into the mold and do what others expect from me or do what I really want?The narrator will have to ask all his questions during his stay in Bali with his meeting with healer, or to be exact, a spiritual master by the name of Samtyang. The latter will teach the narrator to progress by giving him some small tasks to help him discover who he really is and to progress in order to feel better in his life and in his head. Because yes, the narrator has a profession he is a teacher, so he earns a good living even if he occasionally takes the head with his banker because of his overdrafts but he has no one in his life and more than anything, he is not happy. Master Samtyang will help him find out what he needs to do to change it!A novel to read, very quickly read and I recommend, although I found that opinions on the subject were mixed!
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Lhomme qui voulait ĂȘtre heureux; Laurent Gounelle; Nb. de pages: 258; Format: Pdf, ePub, MOBI, FB2; ISBN: 9782738226204; Editeur: SuccĂšs du livre; Date de parution: 2010; TĂ©lĂ©charger eBook gratuit. Livres tĂ©lĂ©chargeables gratuitement Ă lire L'homme qui voulait ĂȘtre heureux 9782738226204 DJVU PDB en francais par Laurent
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â Ă©toiles sur 10 de 814 Commentaires clientL'homme qui voulait ĂȘtre heureux est un chef-d'Ćuvre de Laurent Gounelle, publiĂ© le 2010-04-01. Le livre 192 pages et disponible en format PDF et e-Pub. Vous pourriez obtenir le livre gratuitement. DĂ©couvrez plus d'informations ci-dessousCaractĂ©ristiques L'homme qui voulait ĂȘtre heureuxLes donnĂ©es ci-dessous contient les caractĂ©ristiques complĂ©mentaires sur L'homme qui voulait ĂȘtre heureuxLe Titre Du LivreL'homme qui voulait ĂȘtre heureuxPubliĂ© Le2010-04-01LangueFrançais & AnglaisISBN-102918630680-QQRDigital ISBN590-6863147170-TIUCrĂ©ateurLaurent GounelleTraducteurKenzie LeighahNombre de Pages192 PagesĂditeurPocketFormat de E-BookAMZ PDF EPub DOCM PDAXTaille du MBNom de FichierL' L'homme qui voulait ĂȘtre heureux Livre En Anglais L'homme qui voulait ĂȘtre heureux ...Une lecture qui rend heureux! Voici un livre de dĂ©veloppement personnel dĂ©guisĂ© en roman Un homme se trouve en vacances Ă Bali quand il dĂ©cide dâaller consulter un guĂ©risseur de renommĂ©e internationale juste avant de rentrer chez qui voulait ĂȘtre heureux - Laurent Gounelle - BabelioCritiques 417, citations 400, extraits de L'homme qui voulait ĂȘtre heureux de Laurent Gounelle. En dĂ©barquant chez mon pĂšre au mois d'avril, que vois-je trĂŽnant dans ...L'Homme qui voulait vivre sa vie en streaming - DpStreamPaul Exben a tout pour ĂȘtre heureux une belle situation professionnelle, une femme et deux L'Homme qui voulait vivre sa vie - film 2010 - AlloCinĂ©L'Homme qui voulait vivre sa vie est un film rĂ©alisĂ© par Eric Lartigau avec Romain Duris, Marina FoĂŻs. Synopsis Paul Exben a tout pour ĂȘtre heureux une belle situation professionnelle, une femme et deux enfants numĂ©rique â WikipĂ©diaUn livre numĂ©rique terme officiellement recommandĂ© en France dans le JORF du 4 avril 2012 [1], aussi appelĂ© par mĂ©tonymie livre Ă©lectronique, est un livre Ă©ditĂ© et diffusĂ© en version numĂ©rique, disponible sous forme de fichier, qui peut ĂȘtre tĂ©lĂ©chargĂ© et stockĂ© pour ĂȘtre lu soit sur un Ă©cran [1], [2] tel que celui d'un ... entier. telecharger. avis. iphone. belgique. english. anglais. tome 2. gratuit. french. free. ebook. pdf en ligne. tome 1. lire en ligne. livre. ipad. tome 4. mobile.. tome 3. pdf entier. electronique. book. resume. fichier. extrait. complet. download. pdf en anglais. epub. android. ekladata. francais. tĂ©lĂ©charger. français. internet. portugais. gratuitement. tome 5. numĂ©rique. audio
LienAlternatif : 14.06 Mbps. Description du livre L'homme qui voulait ĂȘtre heureux : L'homme qui voulait ĂȘtre heureux a Ă©tĂ© Ă©crit par Laurent Gounelle qui connu comme un auteur et ont Ă©crit beaucoup de livres intĂ©ressants avec une grande narration. L'homme qui voulait ĂȘtre heureux a
L'homme qui voulait ĂȘtre heureux pan Laurent Gounelle CaractĂ©ristiques L'homme qui voulait ĂȘtre heureux Laurent Gounelle Format Pdf, ePub, MOBI, FB2 ISBN 9782356412980 Editeur Audiolib Date de parution 2010 TĂ©lĂ©charger eBook gratuit Amazon uk livres audio tĂ©lĂ©charger L'homme qui voulait ĂȘtre heureux Overview Un jeune touriste en voyage Ă Bali va consulter un vieux guĂ©risseur qui dĂ©cĂšle chez lui, en dĂ©pit d'une bonne santĂ©, un mal-ĂȘtre existentiel. Pourquoi ? Le jeune homme l'ignore. InvitĂ© Ă s'interroger, le voici embarquĂ© dans une relation qui l'amĂšnera Ă une prise de conscience capitale ce que l'on croit - de soi-mĂȘme, de la vie - devient notre rĂ©alitĂ©. Mais chacun peut se libĂ©rer de ce qui l'empĂȘche d'ĂȘtre heureux. Michelangelo Marchese fait vivre avec intensitĂ© cette fable qui est aussi un guide d'Ă©panouissement personnel. ePub recommandĂ© Read online Les cent puits de Salaga pdf, DOWNLOAD [PDF] {EPUB} Star Trek Discovery Fear Itself download link, [Kindle] Les sentiers des astres Tome 2 download here,
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Il sort avec dĂ©sinvolture en peau de chien, et de nombreuses femmes s'arrĂȘtent pour lui prĂȘter attention. Mais aux yeux de la femme sans cĆur, Chi Yang Yang, c'est une veux vraiment la sang, si tu veux la tuer, il ne peut vraiment pas le supporter. AprĂšs tout, son bonheur dans la seconde moitiĂ© de sa vie a toujours besoin de la femme sans conscience pour l'aider."Stupide!" Il tendit la main et pĂ©trit le visage de Chi Yangyang. Le tĂ©lĂ©phone portable d'un cĂŽtĂ© sonna de nouveau. Il Ă©tait tellement en colĂšre que Hang Jin ouvrit la bouche et voulut gronder, mais il ne le gronda n'y avait pas beaucoup de gens qui l'appelaient au milieu de la nuit. Hang Jin avait devinĂ© qui appelait avant de regarder le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. Il a immĂ©diatement appuyĂ© sur la touche muet. Afin de ne pas affecter le sommeil de Chi, il est sorti de la piĂšce et a simplement rĂ©pondu "il y a des nouvelles?"Je ne sais pas ce que la personne Ă l'autre bout du fil a dit. Le visage de Hangjin s'affaissa et dit froidement J'ai des gens marquĂ©s Ă mort. S'il y a un accident cette fois, tu me couvriras et partiras un par Jin raccrocha le tĂ©lĂ©phone et retourna dans la piĂšce. Tout d'abord, il regarda le Chiyang endormi sur le lit. Il vĂ©rifia Ă nouveau la fenĂȘtre. AprĂšs que tout allait bien, il a pris un manteau et s'est dĂ©pĂȘchĂ©.......Dans la matinĂ©e, Chiyang a Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©veillĂ©e par le n'y a pas de vacances ou de travail rĂ©gulier et de temps de repos dans leur profession. Tant qu'il y a un cas, tant qu'il y a un besoin pour leur mĂ©decine lĂ©gale, un appel tĂ©lĂ©phonique sera dĂ©livrĂ© dĂšs que tĂ©lĂ©phone portable a diffĂ©rentes sonneries pour les appels entrants de diffĂ©rentes personnes. Lorsqu'elle entend cette sonnerie, elle sait que c'est une question liĂ©e au travail. Sa tĂȘte confuse se rĂ©veille instantanĂ©ment "L'Ă©quipe Zhao, quoi de neuf?"Yang Yang, vous venez Ă qiaojiaxiang, et il y a de nouveaux cas.» Au tĂ©lĂ©phone, la voix de Zhao Ziqian Ă©tait trop fatiguĂ©e et rauque pour ĂȘtre prononcĂ©e. On aurait dit qu'il n'avait pas dormi de la nuit."Bien." Chi Yangyang est sortie du lit et s'est lavĂ© les mains. Quand elle est sortie de la salle de bain, elle s'est souvenue qu'il devrait y avoir Hang Jin Ă la maison, mais elle ne l'a pas vue aprĂšs s'ĂȘtre les autres?Dans son impression, Hang Jin aime dormir tard. AprĂšs qu'ils se soient mariĂ©s et aient dormi ensemble pendant plusieurs nuits, elle n'a pas vu qu'un jour il se levait plus tĂŽt qu' soleil sort-il Ă l'ouest aujourd'hui?Il n'y avait aucune ombre de Hang Jin dans le salon et la salle Ă manger. Avant d'aller travailler, Chi Yangyang a poussĂ© la porte du bureau de Hang Jin, et il n'y avait personne d'autre dans le bureau. Au lieu de cela, l'image sur le bureau a attirĂ© l'attention de Chi prit la photo sur son bureau et la regarda davantage. La femme sur la photo est trĂšs belle. C'est propre, frais et beau, tout comme le soleil du fille est peut-ĂȘtre la fille que Hang Jin aime vraiment!Avant, Chi avait pensĂ© Ă quel genre de fille pouvait entrer dans les yeux de Hang Jin. Maintenant, il semble que les yeux du grand diable sont plutĂŽt fille sur la photo n'est pas seulement belle, mais aussi plus charmante avec son tempĂ©rament elle ne comprend plus. Hang Jin Mingming a une fille qu'elle aime. Pourquoi l'entraĂźner Ă s'inscrire au mariage?Si c'est simplement parce qu'il veut Ă©pouser sa maison et l'intimider raisonnablement et lĂ©gitimement, alors il prend Ă©galement le mariage comme un selon sa comprĂ©hension de Hang Jin, il y pense toujours. Il n'est pas surprenant qu'il ait fait ce genre de vous voulez la blĂąmer, blĂąmez-la de ne pas bien boire et de continuer Ă boire. AprĂšs avoir bu, il vaut mieux bien dormir, mais aussi elle ne buvait pas et ne se saoulait pas ce jour-lĂ , elle n'aurait pas la sĂ©rie suivante de choses elle a du temps un autre jour, allez Ă Hang Jin et discutez avec lui, faites une erreur avec lui, laissez-le oublier les Ă©vĂ©nements de cette nuit, ou donnez-lui une compensation, laissez-la laisser partir, et il poursuivra la sienne le chi n'a pas le temps de rĂ©flĂ©chir davantage et il lui reste encore des choses importantes Ă faire. Pour le moment, on ne peut qu'oublier Hang Jin et la Chiyangyang est arrivĂ© sur les lieux, Zhao Ziqian et Jiang Zhen sont autre cadavre fĂ©minin sans cicatrice sur ce cadavre est similaire Ă celle du cadavre fĂ©minin d'hier. AprĂšs identification prĂ©liminaire, Jiang Zhen et Chi Yang conviennent qu'il s'agit probablement d'un homicide en ce n'est que leur jugement prĂ©liminaire. C'est du cĂŽtĂ© de Zhao Ziqian qui doit vĂ©rifier si le cas d'homicide en sĂ©rie est Zhen a dit L'Ă©quipe de Zhao, renvoyons d'abord le corps. Nous vous remettrons le rapport d'inspection dĂšs que possible. »Sur ce, il se retourna et le suivit de prĂšs "professeur, j'ai une question que je ne comprends pas."Jiang Zhen vous dites».Chi Yangyang nous n'avons pas retrouvĂ© la tĂȘte du corps hier. Aujourd'hui, j'ai de nouveau dĂ©couvert une telle chose. Vont-ils⊠»Jiang Zhen interrompt Chi Yangyang Yangyang, en tant que mĂ©decin lĂ©giste, nous devons parler des faits. Nous ne devons pas avoir d'idĂ©e prĂ©conçue avant d'avoir atteint une conclusion prĂ©cise, sinon cela risque de conduire Ă une erreur de jugement. La mĂ©decine lĂ©gale est une profession pour aider les morts Ă parler, que vous devez garder Ă l'esprit. "Chi Yang hocha la tĂȘte "professeur, je comprends."ComparĂ© Ă Jiang Zhen, Chi Yang est non seulement jeune, mais aussi expĂ©rimentĂ©. Avec lui, elle peut apprendre beaucoup, donc Jiang Zhen a toujours Ă©tĂ© son yeux de Chiyang Yang, un homme de talent et d'intĂ©gritĂ© comme Jiang Zhen fait vraiment plaisir aux yeux. Ce n'est pas comme l'homme de Hang Jin qui intimide toujours les comment peut-elle penser Ă Hang Jin pendant les heures de secoua rapidement la tĂȘte et secoua Hang Jin, qui apparut dans son Zhen a dit Quel est le problĂšme?»Il secoua la tĂȘte Ăa Zhen la regarda anxieusement. "Dis moi quelque chose."Chi Yangyang "c'est vraiment OK."......A deux heures de l'aprĂšs-midi, il n'y a pas beaucoup de monde dans le cafĂ©. Peu d'invitĂ©s sont occupĂ©s par leur travail et peu de gens n'a pas dormi de la nuit. Hang Jin, les cheveux Ă©bouriffĂ©s, est arrivĂ© au cafĂ© avant l'heure prĂ©vue. Il a commandĂ© une tasse de cafĂ© et a bu deux verres. Il Ă©tait de bonne humeur. Lorsqu'il a demandĂ© au serveur de renouveler sa tasse, il a vu une femme aux cheveux longs pousser la porte et entrer. Parce qu'il l'a vu sur la photo, Hang Jin a reconnu que la femme Ă©tait l'objet de son rendez-vous Ă l'aveugle» aujourd'hui - Jane couru! Chapitre 1722 "Facile!"Hang Jin renifla de ses narines, se pencha sur sa chaise et regarda fixement la simplicitĂ© qui robe simple est ordinaire et simple. Elle porte une robe de loisirs bleu foncĂ© et une ceinture autour de sa taille, qui souligne parfaitement sa taille de femmes dans la rue portent de cette façon, mais elle a un goĂ»t Jin doit admettre que mĂȘme si la femme nommĂ©e Jianran n'a encore rien fait, son tempĂ©rament indiffĂ©rent et confiant est suffisant pour tuer de nombreuses femmes qui lui ressemblent et obliger les gens Ă la regarder il ne suffit pas que le prĂ©sident du groupe Shengtian s'intĂ©resse autant Ă trĂšs impoli de regarder les autres filles comme celle-ci, mais Hang Jin ne pense pas du tout que son chemin est faux, et il fait signe Ă Jane BeautĂ©, ici.»Entendant sa voix, Jane leva les yeux et sourit avec embarras et politesse ĂȘtes-vous mon rendez-vous aujourd'hui, M. Chi Shuai Chi?Le nom de Chi Shuai a Ă©tĂ© temporairement choisi par Hang Jin. Bien sĂ»r, la raison pour laquelle son nom de famille Ă©tait Chi a Ă©tĂ© influencĂ©e par la femme stupide de sa famille. Quant au beau, c'est sa connaissance de son Jin a soudainement senti que lui et le fils de Chi Yangyang pourraient prendre ce nom Ă l'avenir."Exactement." Hang Jin fit signe Ă Jane de s'asseoir, avec un regard lĂ©gĂšrement agressif sur son visage, pour ne pas manquer la petite expression de ses sourcils lĂ©gĂšrement froncĂ©s. Il a devinĂ© qu'elle pourrait ĂȘtre mĂ©contente de son attitude.Bonjour, M. Chi!» AprĂšs s'ĂȘtre assise en face de lui, elle gardait toujours un sourire poli, sa voix Ă©tait douce et elle ne pouvait pas voir ses vraies pensĂ©es Ă ce moment.Qu'aimeriez-vous boire, beautĂ©?» Demanda Hang Jin.Un verre d'eau bouillie. Merci! »Jane l'a dit au Jin ne l'a pas empĂȘchĂ©e de commander de l'eau bouillie. Lorsque le serveur a livrĂ© l'eau bouillie, il a dit directement Mlle Jane, laissez-moi vous parler de ma famille.»Jane hocha la tĂȘte avec un sourire. Hang Jin a poursuivi Ma famille a quatre ou cinq maisons dans les deux quartiers avec le prix le plus Ă©levĂ© Ă Jiangbei, et une personne et une voiture avec un niveau de plus d'un million. Ăconomiser de l'argent peut sauver une famille toute sa vie. Si vous ĂȘtes satisfait de mes conditions, nous pouvons jeter un Ćil aux contacts. "Selon Hang Jin, il est trĂšs rare pour un bel homme comme lui de sortir et d'avoir un rendez-vous Ă l'aveugle. Ces conditions devraient suffire Ă attirer l'attention des ne pouvez pas en dire plus, en dire plus, peut-ĂȘtre que l'autre cĂŽtĂ© ne le croira cette Jane sera attirĂ©e par sa propriĂ©tĂ©, alors il pourra laisser le prĂ©sident Qin Da, qui est loin aux Ătats-Unis, arrĂȘter de penser Ă une telle femme ». Chi, je suis dĂ©solĂ©! Je ne pense pas que nous convenions tous les deux. Venez ici aujourd'hui. J'espĂšre que vous pourrez trouver le bon partenaire pour vous Ă l'avenir. »Jane avait toujours un sourire poli sur son visage, mĂȘme un sourire dans les yeux, ce qui rendait Hang Jin plus incapable de comprendre ce que la femme longs doigts de Hang Jin ont frappĂ© inconsciemment sur la table, et ses yeux ont cherchĂ© son expression Miss Jane, pouvez-vous me dire pourquoi nous ne nous correspondons pas?Jane a dit "parce que c'est trop pauvre."Hang Jin Miss Jane, j'aimerais avoir de l'argent. Peu importe si vous avez de l'argent. Je peux vous soutenir plus tard."Monsieur. Chi, tu m'as peut-ĂȘtre mal compris. J'ai dit que tu Ă©tais trop Jin il semble que Miss Jane ait un gros appĂ©titJane a couru "merci!"Hang Jin n'est pas stupide. Il peut voir s'il aime vraiment l'argent ou non. Il ouvre la bouche et veut s'excuser. Mais Ă ce moment, Yu Guang, du coin de l'Ćil, voit deux personnes se diriger vers l'entrĂ©e du cafĂ©, l'une est en bleu volant et l'autre est Chi par instinct, Hang Jin poussa ses fesses jusqu'Ă Jianran et s'assit avec ses longs bras sur ses Ă©paules. Mademoiselle Jane, vous avez un visage et un corps, et j'ai un visage et de l'argent. Je pense que nous sommes adaptĂ©s l'un Ă l' est allĂ© trop loin. Cette femme stupide de Chiyang doit ĂȘtre jalouse. Cependant, ce que Hang Jin attendait n'Ă©tait pas sa jalousie, mais une tasse d'eau bouillie coulant sur sa il a vu Jane s'Ă©loigner. Avant de partir, il a laissĂ© une phrase "dĂ©goĂ»tant!"Plus tard, il a semblĂ© entendre des rires, presque Ă©touffĂ©s par une blessure interne. Vous pouvez dire Ă quel point elle est heureuse de voir ses blagues en regardant la femme pensait que Chi Yang, qui serait jaloux, regardait ses blagues Il grogna. QuatriĂšme frĂšre, je suis dĂ©solĂ©! Je ne veux vraiment pas te voir trempĂ© dans l'eau bouillante. Pense juste que je n'ai pas Ă©tĂ© ici. Je vais partir maintenant. Heureux de revenir heureux, mais Chi Yang sait que ce n'est pas une bonne chose de voir l'embarras de Hang Jin. Il peut faire tout le meurtre.C'est tout ce que tu veux dire? Le visage de Hangjin Ă©tait d'un bleu de fer, et son front Ă©tait bleu et tendu. Il semblait qu'il Ă©tait plus en colĂšre que d'ĂȘtre simplement trempĂ© dans de l'eau Yangdun autrement?»Ensuite, Hang Jin lui lança un regard vicieux, donna un coup de pied Ă la table avec colĂšre et s' que Hang Jin est parti, Chi Yangyang a pu rire. Il a presque oubliĂ© que c'Ă©tait un cafĂ© tranquille soeur Fei Yang, tu dois me laisser sortir te voir. Je ne vais pas sortir pour voir la blague. Il y a une femme qui ose entrer en contact avec Jin. Personne ne croit que Lan Feiyang l'a vraiment vu aujourd'hui, mais il ne pouvait pas ĂȘtre heureux. La raison rĂ©side dans le corps de Chi Yangyang Yangyang, ressentez-vous un inconfort lorsque vous voyez le rendez-vous Ă l'aveugle du quatriĂšme frĂšre avec d'autres femmes?»"Inconfortable? Pourquoi? Hang Jin a une fille qu'elle aime. Il ne sera pas intĂ©ressĂ© Ă la harceler Ă nouveau. C'est une bonne chose qu'elle a demandĂ© pendant de nombreuses annĂ©es.Yang Yang, vous en souciez-vous vraiment?» LAN Feiyang craint de devoir sonder rapidement le front de la partie centrale de la piscine. S'il n'a pas de fiĂšvre, sa tĂȘte ne brĂ»lera pas. Mais comment peut-il voir que son homme et les autres sont heureux de se rencontrer. SĆur Feiyang, ne vous inquiĂ©tez pas pour moi. Je sais exactement Ă quoi ressemble le frĂšre Jin pour moi. Je n'y pense pas. Dans le cĆur de Chi Yang, elle est le jouet de Hang Jin. Un enfant qui a Ă©tĂ© victime d'intimidation envers un grand joueur pense toujours Ă lui Ă©chapper. Comment peut-il avoir d'autres idĂ©es sur lui.Yang Yang, le savez-vous vraiment?» Pour tuer LAN Feiyang, elle ne croyait pas que Chi Yangyang connaissait les sentiments de Hang Jin pour elle. Si elle savait, mĂȘme son cĆur s'adoucirait. SĆur Feiyang, aujourd'hui tu es venue me voir, tu m'as vraiment laissĂ© voir la blague de frĂšre Jin? Chi Yangyang leva la main et regarda sa montre. SĆur Feiyang, je viens de prendre un cas important ce matin, et maintenant je suis trĂšs occupĂ©e. Je reviendrai en premier et vous parlerai quand je serai occupĂ©. Lorsque Chi Yangyang Ă©tait occupĂ©e au travail, elle a reçu un appel de LAN Feiyang. Elle ne pouvait pas refuser de voir le lieu de rĂ©union non loin du Bureau, alors elle a demandĂ© Ă Jiang Zhen un congĂ© d'une demi-heure. Il Ă©tait presque temps. Elle devait rentrer le plus tĂŽt possible. Chapitre 1723 C'est au chi yang de le dĂ©couvrir par lui-mĂȘme. C'est peut-ĂȘtre plus difficile que de monter vers le ciel. LAN Feiyang est tellement impatient d'aider Hang Jin. Yang Yang, en fait, le quatriĂšme frĂšre m'a demandĂ© de vous amener ici.Il vous a demandĂ© de m'amener ici? Si j'y pense un peu, je devrais deviner que c'est lui!» il a ditElle a dit Ă quel point elle Ă©tait prĂ©venante en temps normal. Aujourd'hui, je sais qu'elle est occupĂ©e par son travail et la harcĂšle pour qu'elle sorte. Elle a dĂ» ĂȘtre menacĂ©e par Hang quel genre de jeu Hang Jin veut-il jouer? Il va avoir un rendez-vous Ă l'aveugle. Il doit ĂȘtre amenĂ© ici pour regarder malicieusement. Ă quel point sa journĂ©e est-elle ennuyeuse? En regardant la rĂ©action de Chiyang, LAN Feiyang savait que son explication n'aidait pas Hang Jin mais avait un mauvais effet. Elle ouvrit la bouche et essaya Ă nouveau de l'expliquer. Mais parce qu'elle connaissait le circuit cĂ©rĂ©bral de Chiyang, comment pourrait-elle passer Ă l'aspect hostileet voulait y aller, elle s'est juste tout, l'amour est une chose telle que les autres ne peuvent pas aider s'ils sont clairs Ă ce sujet. Ce n'est que lorsque les parties sont disposĂ©es qu'elles peuvent le faire puis revenez en arriĂšre et faites-le rapidement. Nous aurons une bonne conversation un jour. "SĆur Feiyang, vous devriez y retourner plus tĂŽt. J'irai en premier." Chi Yangyang leva Ă nouveau la main et regarda l'heure. Il Ă©tait temps de demander la permission. Elle a dĂ» se dĂ©pĂȘcher et rentrer. Elle ne pouvait pas laisser tomber la chaĂźne Ă un moment aussi critique, laissant une mauvaise impression sur Jiang quand elle s'est prĂ©cipitĂ©e hors du cafĂ©, une longue jambe s'est soudainement Ă©tirĂ©e, l'a arrĂȘtĂ©e, a laissĂ© son corps se pencher en avant, droit au a eu peur de crier, mais quelqu'un l'a ramenĂ©e dans le trĂšs dangereux!Je suis presque tapota sa poitrine et soupira. Elle a levĂ© les yeux pour dire merci aux personnes qui l'ont aidĂ©e. Ă ce moment, elle savait que c'Ă©tait Hang Jin qui l'avait attrapĂ©e. C'est donc lui qui a juste Ă©tirĂ© ses pieds pour l'arrĂȘter et la importe sa bonne humeur, Chi Yang ne peut pas supporter d'ĂȘtre trompĂ© par lui encore et encore. Elle lança un regard furieux Ă l'arrogant et arrogant Hang Jin Je vous ai prĂ©sentĂ© mes excuses pour ce que j'ai mal dit hier. Qu'est-ce que vous voulez?"Il est normal de ne pas mentionner ce qu'il a dit hier. Quand il a mentionnĂ© Hangjin, il Ă©tait plus en colĂšre Je veux vraiment que tu meurs!»Chiyangyang a aussi un tempĂ©rament alors laisse-moi tomber Ă mort, pourquoi encore tendre la main pour me Jin Je t'ai laissĂ© mourir si facilement. Qui jouera avec moi dans le futur? »Chiyangyang âŠÂ»Je veux gronder ses ancĂȘtres depuis dix-huit personne pour jouer avec lui, peut-il penser Ă jouer avec elle?Il a une famille distinguĂ©e derriĂšre lui, c'est-Ă -dire qu'il ne se souciera jamais de la nourriture ou des vĂȘtements sans travailler toute sa vie, mais pourriez-vous lui pardonner les gens ordinaires ordinaires?Il y a beaucoup de plaintes dans son cĆur, mais Chi Yangyang n'a vraiment pas le courage de les dire toutes, en fait, cela n'a pas beaucoup d'effet, alors elle ne peut que continuer Ă prĂ©tendre ĂȘtre son petit-fils Monsieur, Je dois aller travailler, parlons de quelque chose le soir?Hang Jin haussa les sourcils avec mĂ©contentement. Chi Yang Yang, tu n'as pas vu que je sortais avec une autre femme aujourd'hui?»Chi Yangyang Je le vois.»Hang Jin "Alors tu n'as aucune expression ou opinion sur moi?""Veux dire? Opinion? »Il toucha sa tĂȘte confuse, essaya de comprendre le sens des mots de Hang Jin, et pensa longtemps, cette fille est trĂšs belle, quatre petites tu es trĂšs dans les yeux, je te souhaite pour Jin rugit avec colĂšre "Chiyang Yang, tu es vraiment sincĂšre?"Chi Yang Yang hocha stupidement la tĂȘte Si vous avez besoin de mon aide, je ferai de mon mieux pour vous aider tant que vous me donnerez un ordre."Allez-vous en! Sors d'ici! A quelle distance est-ce? Ne me laisse pas te revoir! Merde, il a baissĂ© le visage et lui a demandĂ© en personne. Cette femme ne savait mĂȘme pas ĂȘtre douce. Cela l'a vraiment Ă©nervĂ©."Bien!" Chi Yangyang s'accroupit et se dĂ©plie. Cependant, il est trĂšs difficile de former un groupe. Il y a beaucoup de monde et de voitures dehors et c'est dangereux. Elle lĂšve les yeux piteusement sur Hang Jin. Quatre petits, je ne peux pas rouler. Puis-je grimper? »Les yeux fĂ©roces de Hang Jin regardent vers le bas!Quand je regarde son apparence idiote, je suis tellement en colĂšre que mes dents peut-il y avoir une femme aussi stupide dans le monde!Est-ce pour le faire chier?TĂȘte de rĂ©trĂ©cissement de la tĂȘte centrale de la piscine centrale effrayĂ©e "quatre petits, rouler vraiment trop fort, grimper encore peut Ă peine."Hang Jin a frappĂ© durement le mur "Putain!"Il peut confirmer que ce n'est pas la faute cĂ©rĂ©brale de Chi Yang, c'est sa faute cĂ©rĂ©brale. Sachant qu'il est un imbĂ©cile, il la traite mĂȘme comme un regarda sa main qui saignait et dit prudemment ça, quatre petits âŠâŠÂ»"Tais-toi!" Il rugit, et maintenant il partit sans plus regarder la femme idiote. Il ne veut plus entendre un mot de cette femme. S'il entend un mot de plus, il sera Ă nouveau en regardant Ă l'arriĂšre du dĂ©part de Hang Jin, Chi Yangyang Ă©tait Ă©tourdi et elle a clairement prĂȘtĂ© attention Ă ses paroles. Elle n'a rien dit pour lui faire perdre la face. Comment pouvait-il encore ĂȘtre aussi en colĂšre?Elle ne pouvait pas comprendre de quel type de muscle Hang Jin souffrait, et elle a pu l'appeler au tableau pour un rendez-vous Ă l'aveugle. Elle n'a pas bloquĂ© son rendez-vous Ă l' qu'elle ne se soit pas portĂ©e volontaire pour bloquer son rendez-vous Ă l'aveugle, son identitĂ© actuelle a bloquĂ© son rendez-vous Ă l' importe la raison pour laquelle ils se sont mariĂ©s, ils sont tous des couples lĂ©gaux maintenant. S'il veut ĂȘtre avec d'autres femmes, elle est la galaxie» entre maintenant, Hang Jin a hĂąte de se dĂ©barrasser de son obstacle, mais il est difficile d'ĂȘtre franc Ă cause de son visage. Tout Ă l'heure, il lui a rappelĂ© si franchement qu'elle ne comprenait pas sa signification, et il n'est pas Ă©tonnant qu'il soit si en colĂšre. AprĂšs avoir compris, Chi Yang a tranquillement ordonnĂ© un Ă©loge pour lui-mĂȘme, a sorti son tĂ©lĂ©phone portable Ă temps et a envoyĂ© un message Ă Hang Jin Je comprends ce que tu as dit, oncle hang. Je dois ĂȘtre occupĂ© l'aprĂšs-midi. Je vous donnerai une explication satisfaisante en rentrant le soir.»AprĂšs avoir envoyĂ© le message, Chi a mis son tĂ©lĂ©phone portable dans son bureau et s'est mis au travail de tout son cĆur. Parce que Jiang Zhen, un cĂ©lĂšbre mĂ©decin lĂ©giste, a fait beaucoup de choses avec la moitiĂ© de l'effort. Il est plus apte Ă acquĂ©rir des connaissances dans chaque leur pleine connaissance mĂ©dico-lĂ©gale, les blessures sur les corps des deux femmes hier et aujourd'hui sont les mĂȘmes, toutes causĂ©es par le mĂȘme type d'arme du crime, et leurs tĂȘtes sont Ă©galement manquantes. La police n'a pas encore entendu parler d'eux. Le rapport d'inspection est sorti Ă plus de 9 heures et dĂšs qu'il est sorti, le centre Chi l'a immĂ©diatement transmis Ă l'Ă©quipe de la police criminelle. Le travail d'aujourd'hui n'est que temporairement terminĂ©. Chapitre 1724 AprĂšs avoir terminĂ© son travail, il a rencontrĂ© Jiang Zhen dans un costume soignĂ© Ă l'entrĂ©e du parking. Il semble qu'il l'attend ici "professeur, que puis-je faire d'autre?"Les yeux de Jiang Zhen se sont posĂ©s sur elle Je ne pense pas que vous travaillez correctement. Y a-t-il quelque chose qui ne va pas?"Chi veut le nier, mais deux yeux sincĂšres de Shangjiang Zhen sont embarrassĂ©s de mentir C'est un peu personnel, mais tout est Zhen n'a pas demandĂ© Ă nouveau cette affaire attend maintenant principalement que la police dĂ©couvre la tĂȘte de deux morts. Demain, il n'y a rien de mal avec le dĂ©partement mĂ©dico-lĂ©gal. Vous vous reposerez Ă la Yangyang professeur, vous insistez chaque jour sur votre position. Je veux juste me battre. Il n'y a pas besoin de se reposer. Vous ne pensez pas que je suis mince, mais je suis trĂšs fort. Je n'ai pas besoin de me reposer. "Jiang Zhen a dĂ©clarĂ© les filles, certaines choses n'ont pas besoin d'ĂȘtre trop courageuses. Je ne pense pas que tu sois de bonne humeur. Vous pourriez aussi bien vous adapter Ă la maison. "MaĂźtre, je n'ai vraiment pas Ă le faire. Je ne suis pas mentalement fait, il Ă©tait torturĂ© chaque jour par le grand diable de Hang Jin. Peu importe Ă quel point il Ă©tait bon, il s'effondrerait. Mais c'est leur propre affaire. Il lui est difficile d'en parler devant des Zhen n'a rien dit de plus. Il a pris les devants en se rendant sur le parking. Sa voiture Ă©tait trĂšs proche de l'ascenseur. Il a dit "Prends ma voiture et je te ramĂšnerai."Jiang Zhen n'est pas trĂšs bavard. Il se sent comme un ancien cadre avec un grand froid. Aujourd'hui, il a soudainement mentionnĂ© qu'il enverrait Chi Yang Ă la maison, ce qui l'a flattĂ© professeur, comment puis-je vous dĂ©ranger?»Jiang Zhen a ajoutĂ© Tant de choses se sont produites rĂ©cemment. Il n'est pas sĂ»r pour vous de rentrer seul Ă la maison au milieu de la nuit.Vous savez Ă©galement quâune fille nâest pas en sĂ©curitĂ© au milieu de la nuit, vous devez donc insister pour la renvoyer chez elle. Que voulez-vous dire?" Tout prĂšs, une voix masculine sombre est soudainement venue. Jiang Zhen ne connaissait pas la voix, mais Chi Yang ne la connaissait leva les yeux et vit que c'Ă©tait le fils de pute de Hang s'appuya contre le bras du mur, croisa les jambes Ă volontĂ© et tenait une cigarette Ă la main. On a dit qu'il ne pouvait pas ĂȘtre aussi plat qu'il en avait l' Yang ne veut pas lui parler, il ne devrait donc pas le connaĂźtre. Il se retourne et veut monter dans la voiture de Jiangzhen. DerriĂšre lui vient la voix menaçante de Hang Jin Chiyang, si vous pensez que ce n'est pas pratique pour vous d'utiliser ces deux jambes, veuillez faire un autre pas pour Zhen se tient Ă cĂŽtĂ© de lui. Chi Yangyang ne veut pas le laisser la voir dans un Ă©tat d'embarras. Elle sourit des dents et sort, mais au moment oĂč elle fait un pas, elle est rattrapĂ©e par Hang Jin qui se prĂ©cipite vers a estimĂ© que pendant un moment, il avait Ă©tĂ© portĂ© par Hang Jin. Elle Ă©tait tellement en colĂšre qu'elle voulait le gronder. Mais pendant un moment, elle ne trouva pas un mot pour le regarda Hang Jin la fourrer dans sa voiture de sport son sac de voiture?Il est rare qu'un homme aime conduire une voiture rouge, mais il aime juste ça. Il semble que ce n'est qu'avec une telle notoriĂ©tĂ© qu'il peut montrer son parcours familial ce que la voiture s'envole comme une flĂšche, Chi Yangyang a pensĂ© Ă dire Qu'est-ce que tu fais?»Hang Jin n'a pas dit un mot.Jusqu'oĂč veux-tu que j'aille?» il a dit. Ne te laisse pas me revoir. Tu reviens vers moi. N'est-ce pas une gifle?Hang Jin regarda froidement de son cĂŽtĂ© ha Si je ne viens pas vers toi, tu peux suivre d'autres hommes? "Chi Yangyang Je âŠâŠÂ»Sans oublier qu'elle ne voulait pas du tout prendre la voiture de Jiangzhen, mĂȘme si c'Ă©tait le cas, quelle est la relation entre collĂšgues?Quand elle ne parlait pas, Hang Jin Ă©tait encore plus en colĂšre. Chi Yangyang, tu veux vraiment faire chier mon jeune maĂźtre. Es-tu satisfait?"Chiyangyang âŠÂ» s'est-elle fĂąchĂ©e contre lui? AprĂšs y avoir rĂ©flĂ©chi, c'est peut-ĂȘtre un rendez-vous Ă l'aveugle. Elle a rapidement sorti son tĂ©lĂ©phone portable et vĂ©rifiĂ© le solde de sa carte bancaire. Ce n'est pas beaucoup d'argent, mais c'est toutes ses Ă©conomies Je sais que c'est ma faute si je t'ai couchĂ© la derniĂšre fois quand j'Ă©tais ivre. J'ai ruinĂ© votre innocence. Je devrais te donner une compensation. Je sais que vous ne manquez pas d'argent, mais je ne peux que vous indemniser de cette façon. Vous me donnez votre numĂ©ro de carte et je vous transfĂšre toutes mes Ă©conomies. Demain, nous irons au Bureau des affaires civiles pour obtenir le certificat de divorce, afin que vous puissiez poursuivre la fille que vous aimezUne respiration sifflante!La voiture rapide s'est soudainement tirĂ©e sur le cĂŽtĂ© d'un frein d'urgence, ce qui a effrayĂ© l'Ăąme de Chi Yang "Qu'est-ce qui ne va pas avec toi, oncle pendu?"Le visage de Hang Jin Ă©tait livide "Chi Yang Yang, tu veux divorcer de moi?""N'est-ce pas ce que vous pensez?" il a ditĂa ne devrait pas l' s'est encore trompĂ©e?Hang Jin ĂȘtes-vous aveugle? Ou aveugle? "Quand ses yeux ont vu qu'il allait divorcer, il a aveuglĂ© ses Yangyang Je âŠâŠÂ»Sous son regard cannibale, il a devinĂ© que le divorce devrait ĂȘtre Ă©voquĂ© par lui de sa propre initiative, sinon il se sentirait a avalĂ© sa salive et a dit avec prĂ©caution Alors, quand je n'ai rien dit, tu devrais prendre l'initiative de le dire. Ne sois pas en Jin âŠÂ»Que faire?Je veux l' Yangyang le regarda attentivement Qu'est-ce que tu veux de moi? Pouvez-vous juste le dire? "AprĂšs l'avoir regardĂ©e pendant un long moment, Hang Jin a finalement dit, "combien d'Ă©conomies avez-vous?"Pas grand-chose», dit honnĂȘtement Chiyangyang. Cela fait cent vingt mille. "Hang Jin Cent vingt mille aimeraient acheter un jeune maĂźtre un soir. Vous pensez que ce jeune maĂźtre est trop bon Yangyang J'ai toutes mes Ă©conomies de 120000 yuans, donc je dois vivre avec 20000 yuans. Puis-je vous donner cent mille? "Hang Jin Ă©tait tellement en colĂšre que ses dents tremblaient. Il attrapa son tĂ©lĂ©phone portable et saisit son numĂ©ro de carte bancaire "Vous n'ĂȘtes autorisĂ© Ă conserver aucune de vos cartes."Chi Yangyang a un visage amer et hĂ©site Ă le faire, mais s'il veut lui donner de l'argent, il sera en mesure d'Ă©liminer le problĂšme cette nuit-lĂ . Il ne peut changer toutes ses Ă©conomies qu'en se mordant les dents toutes mes Ă©conomies vous ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©es.»Hang Jin a rapidement reçu les informations de rĂ©ception. AprĂšs l'avoir vĂ©rifiĂ©, il a redĂ©marrĂ© la a regardĂ© par la fenĂȘtre et a dit Ma maison n'est pas loin devant moi. Mettez-moi juste Ă l'intersection avant. Demain matin Ă 10 heures, je vous verrai au Bureau des affaires civiles. "La femme morte veut vraiment se dĂ©barrasser de lui. Hang Jin lenghum Je peux parler de dizaines de millions en une nuit. Vous pouvez gagner de l'argent lentement. Quand allez-vous rembourser votre argent et quand serez-vous libre? "Hum Cent vingt mille voulaient le renvoyer, mais il n'y avait pas de Yangyang a secouĂ© son poing avec colĂšre, indulgent et indulgent, mais n'a toujours pas rĂ©sistĂ© Hang Jin, fils de pute, pourquoi collectez-vous de l'argent et ne laissez-vous pas les gens partir?»Hang Jin ai-je dit que je vous laisserai partir aprĂšs avoir collectĂ© l'argent? C'est cette femme qui pense qu'elle a raison. Chapitre 1725 Regardant le regard arrogant de Hang Jin, Chi Yangyang serra les dents avec colĂšre Hang Jin, tu ne veux pas que je sois meilleur, tu ne veux pas ĂȘtre meilleur. N'as-tu pas une fille que tu aimes? Je lui dirai demain que vous ĂȘtes mariĂ©. EspĂšce de fils de pute, mange ce qu'il y a dans le bol et pense Ă ce qu'il y a dans le pot. Je vais voir comment tu la pourchasses. "Hang Jin siffla ha Si vous en avez la capacitĂ©, vous pouvez y aller. "Aller!Il n'en voulait pas. Il avait peur que la fille n'ait aucun courage.Toi, tu m'attends!» Devant Hang Jin, Chi Yangyang a toujours Ă©tĂ© le perdant. Elle a dit cela, mais elle n'a pas osĂ© le durs ne sont pas bons, mais les mous. Elle essaya de prendre deux respirations de calme et de calme, puis elle eut un visage flatteur M. accrocher, puis-je collecter dix millions de yuans ensemble, et vous pouvez penser que cela ne s'est pas produit?Chi Yangmo a calculĂ© l'hĂ©ritage laissĂ© par ses parents. Deux ensembles de biens immobiliers achetĂ©s par ses parents il y a plusieurs annĂ©es sont classĂ©s au premier rang du pays en termes de prix de l'immobilier Ă Jiangbei. Deux ensembles de maisons devraient valoir beaucoup d' sa voiture Valet, qui vaudra bientĂŽt un peu d'argent. Ainsi que des bijoux et des sacs de marques cĂ©lĂšbres dont elle n'a pas besoin pour aller travailler Ă des heures cette façon, il ne devrait pas ĂȘtre moins de 10 millions de yuans de Hang Jin que je sois dĂ©solĂ© pour ses parents, afin de se dĂ©barrasser des efforts de Hang Jin pour dĂ©couvrir la cause de la mort de ses parents, elle ne peut que le pensant Ă cette Ă©criture, Chi Yangyang a rĂ©primandĂ© les 18 gĂ©nĂ©rations des ancĂȘtres de Hang Jin Ă nouveau dans son Jin est un ancĂȘtre de la deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration qui ne peut rien faire. Il n'a ni visage ni capacitĂ©. Il a juste un beau sac en cuir. Pourquoi dormirait-il dix millions en une nuit?Pourquoi ?Pourquoi ?Avec ses yeux, elle n'avait pas le courage de le gronder dans son cĆur. Sous ses yeux, elle a seulement bĂ©gayĂ© Qu'est-ce que tu fais quand tu me regardes? Vous n'avez pas rĂ©pondu Ă ce que je vous ai demandĂ© tout Ă l'heure. "Hang Jin a tenu le volant dans une main et a tendu la main pour frotter la tĂȘte de Chiyang "Chiyang, ne me gronde pas dans ton cĆur."Chi Yanyang a poussĂ© nerveusement les Ă©paisses lunettes Ă monture noire sur l'arĂȘte de son nez Je vous ai demandĂ© si je pouvais faire un total de 10 millions, et nous pourrions l'ĂȘtre quand l'Ă©vĂ©nement de cette nuit ne s'est pas produit?Cette femme, pour le quitter, veut vraiment en lever 10 millions?OĂč diable Hang Jin ne lui correspond-il pas?Il doit ĂȘtre mieux que sa sĆur Ă termes de QI, elle n'est pas meilleure que l'un des dix termes d'expĂ©rience de vie, il est nĂ© avec une clĂ© en or et une clĂ© officielle. Comment pouvait-il se comparer Ă elle?Quoi qu'il en soit, il est meilleur que la femme stupide, Chi Yang Yang. Dans quelle mesure Chi Yang ne l'aime-t-il pas?Hang Jin a froidement repris les yeux et a dit Oh, vous avez tout l'argent ensemble et fils Ă quatre yeux, veux divorcer avec lui, la prochaine vie ne pense pas.......Hang Jin n'a pas ramenĂ© directement Chi Yangyang Ă la maison. Quand il est arrivĂ© lĂ -bas, il a dĂ©couvert Que veux-tu faire d'autre?»Vous pouvez rester Ă l'Ă©cart des feux d'artifice pendant une journĂ©e, mais j'ai faim.» Hang Jin lui tapota le ventre. Il a eu faim toute la journĂ©e. Hier soir, j'Ă©tais occupĂ© jusqu'Ă midi quand je me suis occupĂ© de mon travail. Je n'ai pas eu le temps de prendre un bain quand j'ai fini mon travail. AprĂšs le rendez-vous Ă l'aveugle, j'ai eu le temps de manger quelque chose, mais j'Ă©tais tellement en colĂšre que j'ai perdu l'appĂ©tit. Je suis rentrĂ© Ă la maison Ă midi et j'ai eu un seau de nouilles instantanĂ©es pour dormirle s'ĂȘtre levĂ©e, elle s'est prĂ©cipitĂ©e Ă l'endroit oĂč elle est allĂ©e travailler pour la chercher. Elle voulait juste attendre que cette femme dĂźne ensemble, mais cette femme ne savait que le mettre en colĂšre."Tu es stupide. Je ne sais pas si j'ai faim. "Je ne veux pas attendre Oubliez ça, stupide cochon ne peut pas le comprendre. "Hang Jin dirige sa voiture vers le parking. Une voiture est garĂ©e entre deux places de parking. L'agent de sĂ©curitĂ© vient ici pour dire quelque chose, mais une paire d'yeux comme ceux du fils de pute et du fils de pute avale juste les mots dans sa bouche, quand il ne les voit pas.Maintenant, l'espace de stationnement est si tendu. Avez-vous un sens de la moralitĂ© sociale lorsque vous occupez deux places de parking avec une voiture? »Hang Jin claque la portiĂšre de la voiture et enfonce la clĂ© de la voiture dans le sac de Chi Yang Petits quatre yeux, c'est Ă vous de maintenir la moralitĂ© sociale du monde. Je ne suis pas propres femmes ne sont pas sĂ»res. Ils s'en inquiĂštent. Ils veulent battre tout le monde, quelle que soit la moralitĂ© âŠÂ»Regardez l'homme qui entre avec deux grosses jambes droites et Yang Yang secoua la tĂȘte et s'exclama, cet homme, je ne sais vraiment pas s'il peut survivre dans ce monde sans la protection de ses antĂ©cĂ©dents familiaux?Allez, ce n'est pas quelque chose dont elle peut s'inquiĂ©ter.......Hang Jin aurait dĂ» commander une table et un repas Ă l'avance. AprĂšs s'ĂȘtre assis, les plats ont Ă©tĂ© rapidement Yang n'est pas poli non plus. Prenez des baguettes et Jin a pris un morceau de bĆuf et l'a fourrĂ© dans son bol mange plus, et tu deviendras alors une perche en bambou. Je ne veux pas me blesser la main quand je te tiens. "Chi Yangyang "vous ne pouvez pas tenir."Hang Jin "Chiyang, je veux vraiment ..."Cloche sifflante -la sonnerie soudaine du tĂ©lĂ©phone interrompit Hang Jin. Il la vit immĂ©diatement poser ses baguettes pour trouver son tĂ©lĂ©phone portable, et fut mĂ©content qui est l'homme sauvage qui te cherche au milieu de la nuit?»Chi Yangyang le fusilla du regard, rĂ©pondit simplement au tĂ©lĂ©phone "Grand-pĂšre, je suis Yangyang."Hang Jin âŠÂ»Il ose offenser qui que ce soit, mais il n'ose pas offenser ce vieil homme, qui fait du vieil homme le seul membre de la famille de Chiyang Yangyang Grand-pĂšre, es-tu Ă l'hĂŽpital? Ne t'inquiĂšte pas. Je serai avec toi dans une minute. "Il n'a pas encore raccrochĂ©. Hang Jin a ramassĂ© son manteau et s'est levĂ©, car il sait qu'il n'aura plus d'appĂ©tit pour lieu de cela, il s'est juste occupĂ© de Chi Yangyang. Il n'a pas bu une bouchĂ©e de soupe chaude. Il a dĂ» la conduire Ă l'hĂŽpital.......Le vent la nuit, piscine centrale ouvrit alors la vitre, le vent Ă l'extĂ©rieur de la vitre soufflait dans la voiture, laissant son cerveau Ă©nervĂ© se dĂ©gager regardant la vue sur la rue sur le bord de la route, elle semblait revoir ses parents morts dans le brouillard. Son pĂšre travaille au gouvernement. Ce n'est pas un petit fonctionnaire. Ma mĂšre est mĂ©decin lĂ©giste. De son diplĂŽme Ă sa mort, elle a travaillĂ© dans le dĂ©partement mĂ©dico-lĂ©gal pendant 18 ans et a effacĂ© de nombreuses victimes de leurs griefs. Mais le meurtrier est toujours en libertĂ© aprĂšs que sa mĂšre a Ă©tĂ© brutalement tuĂ©e pendant si Chi a plus peur de voir mĂšre est la fille unique de son vieil homme. Quand il Ă©tait fort, sa fille unique est soudainement partie. Ce coup fut fatal Ă son la mort de sa mĂšre, grand-pĂšre pratiquait le Tai Chi avec un groupe de tantes et d'oncles chaque matin. Il ne ressemblait pas du tout Ă un vieil homme de prĂšs de 70 que sa mĂšre ait Ă©tĂ© tuĂ©e, grand-pĂšre a vieilli pendant un moment. Sa santĂ© n'Ă©tait pas aussi bonne qu'avant. Il est tombĂ© malade et a Ă©tĂ© hospitalisĂ©. Voyant que la santĂ© du vieil homme empirait de plus en plus, Chi Yangyang pensa qu'il devait dĂ©couvrir le meurtrier qui avait tuĂ© ses parents et laisser grand-pĂšre la voir traduire le meurtrier en justice de son vivant. Chapitre 1726 Sortez d'abord de la voiture. Je vais trouver une place de parking et venir dans un instant. " Hang Jin a garĂ© sa voiture Ă la porte de l'hĂŽpital. Il y avait une douceur trĂšs difficile Ă voir dans sa voix, mais Chi s'en fichait. Il est descendu de la voiture et s'est rendu au service d' elle allait voir son grand-pĂšre au moins deux fois par semaine. RĂ©cemment, Ă cause de l'obsession de Hang Jin, elle n'a pas rendu visite au vieil homme depuis un demi-mois, donc elle ne sait pas s'il est Yangyang Ă©tait tellement bouleversĂ©e qu'elle s'est giflĂ©e la tĂȘte. Elle a Ă©tĂ© laissĂ©e avec un tel membre de la famille. La leçon passĂ©e n'est-elle pas suffisante? Elle ne savait pas comment le quand il est arrivĂ© Ă la salle du vieil homme, il a entendu le rire du vieil homme Ă la porte Eh bien, Ă©coutez-vous les jeunes. Ăa sonne bien. Cela ne ressemble pas Ă une Yangyang pousse la porte dans la piĂšce Grand-pĂšre âŠâŠÂ»Avant qu'elle ait fini de parler, elle a vu Jiang Zhen, qui Ă©tait Ă cĂŽtĂ© du lit de son grand-pĂšre vieille enseignante, comment vas-tu ici?»Jiang Zhen regarde en arriĂšre et jette un coup d'Ćil Ă Chi Yang Yang. Il Ă©vite de regarder avec lui sans laisser de trace appelle le vieil homme ce soir. Je viendrai jeter un Ćil quand j'apprendrai qu'il est malade.Yang Yang, tu es lĂ .» Grand-pĂšre Chi sourit et fit un signe de la main Viens ici, laisse grand-pĂšre te regarder.»Comment connais-tu grand-pĂšre?» Il a demandĂ©Grand-pĂšre Chi a dit Jiang Zhen a Ă©tudiĂ© avec votre mĂšre pendant deux ans avant d'aller Ă©tudier Ă l'Ă©tranger. Maintenant, ta mĂšre est partie, mais le sentiment est toujours lĂ . Il viendra me voir."Oh." Chiyang Yang ne sait vraiment pas que Jiang Zhen a cette relation avec sa mĂšre, est-ce que Jiang Zhen prend soin d'elle ces jours-ci Ă cause de la relation de sa mĂšre? Yang Yang, asseyez-vous rapidement. Grand-pĂšre a quelque chose Ă vous dire. Grand-pĂšre Chi prit la main de Chi et lui tapota doucement le dos de sa main. Je n'y ai pas prĂȘtĂ© attention en temps normal. Maintenant, je regarde attentivement. Ma petite fille est vraiment une grande fille. »chi yang yang a remontĂ© la couette et l'a mise sur grand-pĂšre Chi "Grand-pĂšre, si tu as quelque chose Ă dire, Yang Yang Ă©coutera."Grand-pĂšre Chi l'a regardĂ©, puis a tournĂ© les yeux vers Jiang Zhen, a regardĂ© dans les deux sens pendant un moment, puis a dit Vous souvenez-vous du jeune grand-pĂšre talentueux qui vous a Ă©tĂ© mentionnĂ© il y a quelques jours?Grand-pĂšreâŠÂ» Dans ce cas, Chi pensa que grand-pĂšre venait de le mentionner, mais plus tard, il oublia. De façon inattendue, il en a parlĂ© devant un Ă©tranger, ce qui l'a un peu Zhen ne parlait pas beaucoup, mais il Ă©tait flexible dans son esprit Tu parles d'abord, vieil homme. Je vais chercher une casserole d'eau bouillante."Bien." Grand-pĂšre Chi a regardĂ© Jiang Zhen partir. Au bout d'un moment, il a juste repris les yeux Que pensez-vous de votre professeur Jiang? Pour ĂȘtre honnĂȘte, ne trompez pas grand-pĂšre. " "Monsieur. Jiang est trĂšs gentil. Il est jeune, beau, talentueux et cultivĂ©. Il est poli et poli avec les gens. Il n'intimide jamais les gens parce qu'il est plus ĂągĂ© que les autres. Quand il s'agit de Jiang Zhen, Chiyang pense vraiment qu'il est trĂšs bon, surtout quand il est comparĂ© au deuxiĂšme ancĂȘtre de Hang Jin visage de grand-pĂšre Chi Ă©tait heureux "Alors tu es d'accord?"Grand-pĂšre, avec quoi suis-je d'accord?» il a ditGrand-pĂšre Chi a dĂ©clarĂ© Bien sĂ»r, j'accepte de m'associer Ă Jiang Zhen.» Chi Yangyang n'a pas non plus bu d'eau. S'il buvait de l'eau, il s'Ă©touffait Ă mort Grand-pĂšre, que dis-tu? Il est mon prĂ©dĂ©cesseur au Bureau. Comment puis-je avoir d'autres idĂ©es sur lui. Ne dites pas ces mots, ou comment puis-je travailler Ă l'avenir.»Grand-pĂšre Chi a saisi la main de Chi et a dit Fille, tu viens de dire qu'il est excellent. Vous voulez le nier. Grand-pĂšre, dois-je avoir affaire Ă tous les hommes excellents? Dans ce cas, il y a tellement d'hommes excellents dans le monde. Je dois changer quelques copains par jour. "" Grand-pĂšre, tout d'abord, je ne veux pas dire que je voudraispour ne pas dire que je ne veux pas. MĂȘme s'il est un enseignant de Renmin Jiang, il ne le fera pas non plus.Qui a dit qu'il ne le ferait pas? Il m'a juste promis. Le visage de grand-pĂšre Chi Ă©tait fier, comme s'il disait que la petite fille voulait me couvrir, mais il n'y avait aucun Yangyang a Ă©tĂ© surpris et a ouvert la bouche Le professeur est-il d'accord?Ȉ la fin de la journĂ©e, comment a-t-elle pu soudainement dĂ©couvrir qu'elle Ă©tait un peu Ă©tourdie? Qu'est-ce que c'est exactement? Comment a-t-elle pu ne pas le comprendre pendant un moment?Grand-pĂšre Chi a dĂ©clarĂ© Yang Yang, le corps de grand-pĂšre s'aggrave chaque jour. Peut-ĂȘtre qu'un jour il partira soudainement Mais grand-pĂšre, ne t'inquiĂšte pas pour toi. Si grand-pĂšre part, que devriez-vous faire avec un film de petite fille? "Grand-pĂšre, j'aiâŠÂ»Bon sang, pourquoi Hang Jin n'est-il pas venu ici? S'il est lĂ en ce moment, elle peut l'utiliser pour le Jiang Zhen n'est pas encore revenu. Sinon, la scĂšne sera tellement embarrassante que les gens pourront percer des trous. Yang Yang, je sais que vous cherchez tous le meurtrier de vos parents. Grand-pĂšre veut trouver le meurtrier, mais grand-pĂšre veut vous dire que nous devons trouver le meurtrier et que nous devons vivre une belle vie. En pensant Ă sa fille et Ă son gendre, le vieil homme s'est inconsciemment mouillĂ© les yeux, mais il est assez tĂȘtu pour ne pas montrer sa tristesse devant l' le vieil homme est comme ça, plus il est douloureux. Elle se lĂšve et embrasse le vieil homme Ă bras ouverts. Elle ne peut pas dire un mot. Elle savait que grand-pĂšre devait ĂȘtre plus misĂ©rable que un long moment, le vieil homme dit lentement Si vos parents sont vivants, ils doivent espĂ©rer que vous Ă©pousez un homme qui vous aime et qui mĂšne une belle vie. Ne portez rien sur vos Ă©paules.Grand-pĂšreâŠÂ» Chi Yangyang se mordit les lĂšvres avec force, refoulant les larmes dans ses yeux. Je connais Jiang Zhen depuis plusieurs annĂ©es. Nous le voyons tous comme un homme trĂšs bon. S'il t'accompagne dans le futur, grand-pĂšre mourra⊠»Plus tard, le vieil homme ne dit rien. Il avait peur que ses enfants soient mort, le mot, est le mot que Chi Yangyang a le plus peur de toucher aprĂšs la mort de ses parents. AprĂšs plusieurs efforts, elle a simplement rĂ©primĂ© la douleur dans son cĆur Grand-pĂšre âŠâŠÂ»"Bon sang, ces chiens qui n'ont pas d'yeux, mĂȘme mon jeune maĂźtre ose les jeter." Lorsque la voix arrogante de Hang Jin est venue, les gens se sont prĂ©cipitĂ©s et ont brisĂ© l'atmosphĂšre triste accumulĂ©e dans la qu'il tourna la tĂȘte, il vit Hang Jin trempĂ© comme un poulet a jurĂ© qu'elle ne voulait pas rire, mais elle ne pouvait pas se contrĂŽler quand elle le voyait embarrassĂ©Voyant l'apparition de Hang Jin, grand-pĂšre Chi fronça les sourcils Comment se fait-il que le jeune maĂźtre de la famille Hang?» Hang Jin ĂŽta sa chemise et essuya son corps avec dĂ©sinvolture Vieil homme, tu vas avoir un rendez-vous Ă l'aveugle avec Xiao Siyan. Comment puis-je faire si je ne viens pas? » Chapitre 1727 Je ne sais pas pourquoi. En entendant les mots de Hang Jin, Chi Yangyang poussa un soupir de soulagement tranquillement. Tout Ă l'heure, son cĆur agitĂ© Ă©tait Chi toussa doucement MaĂźtre pendre, nous parlons d'affaires. Ne faites pas de problĂšmes.Vieil homme, je m'occupe de xiaosiyan. Ne prenez pas la peine de l'aider Ă trouver quelqu'un d'autre. Hang Jin enleva sa chemise dans sa main. L'a-t-il essuyĂ© sur son corps pendant un moment? Je prends soin d'elle, tu ne te sens pas soulagĂ©? Je ne te fais pas confiance.» Je ne vois pas que Hang Jin va bien. DĂšs qu'il voit grand-pĂšre Hang Jin Chi, il sent que ses graines de melon cĂ©rĂ©bral lui font mal. Il dĂ©signe immĂ©diatement Chi Yang J'ai dit que le jeune maĂźtre de la famille Hang, ouvre tes yeux de phĂ©nix rouge vif et regarde-moi biennotre Yang Yang. »"Je regarde. Quel est le problĂšme?" Non seulement regardez, Hang Jin a Ă©galement tendu la main et pĂ©tri le visage de Chi Yang, les quatre petits yeux sont vraiment un peu laids, mais la peau est toujours bonne, pleine de Hang Jin. Grand-pĂšre Chi est trĂšs mĂ©content. Quel est le problĂšme avec ses enfants? Mais ce n'est pas le moment de se demander s'il est moche ou non. Il veut juste que Hang Jin pense que Chi Yangyang est vraiment moche oui, oui, tu as raison. Vous voyez, l'enfant de Yangyang est aussi mince qu'une perche de bambou, sans aucun sens de la beautĂ©. C'est aussi rustique de porter des vĂȘtements. Je porte des costumes noirs tous les jours, comme une petite vieille. Il y a aussi la myopie Ă cinq ou six Baidu l'ont, ne pas porter de lunettes c'est un peu aveugle, l'essentiel est qu'elle porte aussi ce genre de lunettes Ă monture noire De toute façon, elle n'est pas digne de toi, jeune maĂźtre accrocher. "Grand-pĂšre, suis-je toujours ta petite-fille?» Comment grand-pĂšre peut-il autant la blesser devant Hang Jin?Ecoute, le fils de pute de Hang Jin est sur le point de devenir un paon. Vieil homme, je sais que les quatre petits yeux sont si laids qu'ils ne me mĂ©ritent pas. La femme qui est digne de mon Hang Jin n'est peut-ĂȘtre pas nĂ©e Ă la fin de la journĂ©e. Vais-je combattre un cĂ©libataire toute ma vie parce que les autres sont laids? Il est clair que les paroles de grand-pĂšre Chi sont polies, mais lui, oncle pendu, les a acceptĂ©es poliment. Il a poussĂ© son visage prĂšs de lui et a dit Regarde mon visage, vieil homme. Regarde mon visage. Je vous promets que si elle m'Ă©pouse et que nous avons un bĂ©bĂ©, les gĂšnes de votre famille seront meilleurs Ă l'avenir. »ce salaud est si arrogant que sa queue est presque penchĂ©e vers le ciel. Grand-pĂšre Chi sent seulement que le sang coule jusqu'au front et l'Ă©vanouit presque tousseâŠÂ»Faites le mal!Comment une fille aussi charmante et sensĂ©e de sa famille pourrait-elle ĂȘtre si empĂȘtrĂ©e par un tel dieu de la peste?Hang Jin ne connaissait pas du tout son arrogance. Peut-ĂȘtre qu'il ne le savait pas, mais il a toujours Ă©tĂ© son plus grand "vieil homme, tu dis que j'ai raison."Hang Jin, il n'y a rien pour toi ici. Vous pouvez revenir en arriĂšre en premier. » Chi Yanyang force Hang Jin hors de la salle et le laisse ici pour se ridiculiser. Il doit Yangyang chasse Hang Jin et retourne dans la salle. Grand-pĂšre Chi, qui tousse juste de ses poumons, n'a rien Ă voir avec ça. Au lieu de cela, il regarde Chi Yangyang avec enthousiasme "Yang Yang, refusez-vous Jiang Zhen Ă cause de la famille Hang?"Au fait, pourquoi M. Jiang Zhen n'a-t-il pas ouvert l'eau et n'est-il pas revenu?» Chiyangyang creuse dĂ©libĂ©rĂ©ment le sujet, mais le vieil homme ne la mange pas, "petite fille, rĂ©ponds-moi bien."Chi Yangyang s'est grattĂ© la tĂȘte Grand-pĂšre, tu penses plus. C'est encore plus impossible pour moi et Hang Jin. Vous ne savez pas comment il m'a intimidĂ© quand je grandissais. "Grand-pĂšre Chi a dit Je m'en fiche. Quoi qu'il en soit, vous devez en choisir un aujourd'hui. Sinon, je le ferai ... »S'il veut dire non, je ne prendrai pas de mĂ©dicaments, mais il aime toujours sa petite-fille. AprĂšs tout, il ne dit rien. Au lieu de cela, il agit comme un enfant "Yang Yang, grand-pĂšre veut tenir son arriĂšre-petit-fils."Chi Yangyang Grand-pĂšre âŠâŠÂ»Elle n'a plus envie de trouver des enfants grand-pĂšre Chi a insistĂ© sur ce point "Yang Yang, grand-pĂšre veut juste trouver quelqu'un pour vous accompagner et partager une pression pour vous."Quelques mots, grand-pĂšre Chi n'a pas dit, mais il a n'est pas en bonne santĂ©. Elle craint toujours de partir un jour soudainement, la laissant seule et sans veut beaucoup rendre les vieux heureux, mais ce n'est pas une blague de se marier et d'avoir des enfants. C'est un Ă©vĂ©nement de toute une vie. Vous ne pouvez pas vous moquer de la vie des elle ne veut vraiment pas rendre le vieil homme triste. Peut-elle trouver un homme pour avoir un bĂ©bĂ© et rendre le vieil homme heureux?Quand il eut cette idĂ©e, la premiĂšre personne Ă laquelle il pensa fut le diable de Hangzhou. Bref, il l'a compris. Laissez-le l'aider Ă avoir un ce moment-lĂ , Hang Jin bloquait Jiang Zhen de la salle Jiang Zhen, non?»Jiang Zhen ne regarde mĂȘme pas Hang Jin, encore moins lui Jin ne l'a pas pris au sĂ©rieux et a quand mĂȘme suivi son propre chemin Garçon, je vous prĂ©viens, rangez votre petite pensĂ©e prudente. Chiyangyang est la femme de Laozi. N'y pense mĂȘme pasSur ce, Hang Jin Ă©tait sur le point de partir. Jiang Zhen, qui avait gardĂ© le silence pendant longtemps, a dĂ©clarĂ© Je n'y pense certainement pas.»Hang Jin se retourne brusquement. Ses yeux sont toujours perçants et froids. Il peut presque faire les Ăąmes des gens "osez-vous!"Jiang Zhen a souri et n'a plus parlĂ©. Il s'Ă©loigna de Hang Jin.......AprĂšs que grand-pĂšre Chi se soit endormi, Chi Yang est sortie de la salle avec des inquiĂ©tudes. Qui s'attendait Ă ouvrir la porte, il rencontra Hang s'appuya contre le mur, nu, une cigarette Ă la main. Il a vu que Chi Yang avait une grosse tĂȘte. Il a pris la cigarette de sa main avant deux Ă©tapes "Les hĂŽpitaux ne peuvent pas fumer, vous n'avez pas de bon sens?"Hang Jin Je suis heureux!»Chi Yangyang a dit impuissant Eh bien, vous serez heureux. Ce n'est pas tĂŽt. Revenons d' Jin Ă©tendit son long bras et prit la taille du chi yang dans la rĂ©gion de Huaili rentrez chez vous».Peut-ĂȘtre qu'il Ă©tait habituĂ© Ă la tyrannie de Hang Jin. Chi Yang n'a pas luttĂ©. Il vivait dans ses bras chauds et se frottait le visage sur sa poitrine nue, ce qui fit dĂ©manger Hang Jin et gronder le gobelin grinçant».......Sur le chemin du retour, Chi Yangyang avait sommeil. Il s'assit sur le siĂšge du vice-conducteur et s'endormit bientĂŽt. Hang Jin s'appuya contre le bord de la route et la couvrit d'une couverture. Puis il a plus d'une demi-heure de route, il ne s'est pas rĂ©veillĂ© en rentrant chez lui. Hang Jin la prit dans ses bras avec prĂ©caution Petits quatre yeux, j'ai dit que tu Ă©tais un cochon, et que tu te traites vraiment comme un Yangyang dort vraiment comme un cochon, donc il ne se rĂ©veille Jin voulait la rĂ©veiller en la mordant deux fois, mais en voyant les cercles noirs sous les lunettes de la femme stupide, il ressentit une autre douleur de cĆur. Il poussa sa tĂȘte contre sa poitrine, juste Ă cĂŽtĂ© de son cĆur. MariĂ© un tel cochon que la femme stupide, pas son bĂ©bĂ©, ne peut pas divorcer? Chapitre 1728 Chi Yangyang est trĂšs mince et beaucoup plus court que Hang Jin. Il la tient dans ses bras et peut Ă peine sentir le poids. Il semble qu'il doit trouver un moyen d'engraisser ce cochon retour Ă la maison, Hang Jin a mis Chi Yang sur le lit, juste pour lĂącher prise, mais a Ă©tĂ© attrapĂ© par Chi a soudainement ouvert les yeux Oncle hang, je veux te demander quelque Jin a gardĂ© une posture penchĂ©e demandez».Chi Yang Yang a saisi son poignet et a dit, "d'abord, ne vous fĂąchez pas."Hang Jin "regarde l'ambiance."Il semble que Hang Jin soit de bonne humeur en ce moment. Chi Yangyang avale sa salive et dit avec prĂ©caution Je veux juste te demander, si je te dors Ă nouveau, combien cela va-t-il coĂ»ter?»Chiyangyang, tu veux coucher Ă nouveau avec moi?» Hang Jin releva ses sourcils et les bulles dans son cĆur que cette femme stupide dit oui», il promet de la servir confortablement et ne la laissera jamais dĂ©penser son argent de maniĂšre dĂ©raisonnable."Vous, dites-moi combien vous allez vendre en une seule fois?" il balbutiaVendre? "En entendant ce mot, Hang Jin s'est soudainement mis en colĂšre Chi Yang, penses-tu vraiment que ce jeune maĂźtre est un canard vendu Ă l'extĂ©rieur, et tu peux l'acheter si tu veux?» Alors que dites-vous si je veux coucher avec vous?» Voyant les yeux sombres de Hang Jin, Chi Yangyang se rĂ©tracta, ne sois pas en colĂšre, je sais que cette exigence est un peu trop, mais je dis juste, si tu ne veux pas, justequand je ne le dis est prĂȘt Ă la laisser dormir Ă vie gratuitement!Mais cette femme peut-elle utiliser un mot gentil, ne le dites pas comme s'il la laissait dormir, juste pour gagner son peu d'argent si mon jeune maĂźtre ne veut pas que vous dormez, qu'allez-vous faire?»Si, siâŠÂ» Chi ne savait pas quoi faire, mais pour rĂ©aliser le souhait de son grand-pĂšre, je pourrais aller chercher un autre homme. Chi Yangyang, rĂ©pĂšte ce que tu viens de dire!» Oh, ces petits quatre yeux, sait-elle ce qu'elle est maintenant? Elle ose dire aux autres hommes en face de lui qu'il veut qu'il chante que l'amour est une lumiĂšre, si verte qu'il peut voir la lumiĂšre verte sur sa tĂȘte?"Laquelle?" Il semble que Chi Yangyang ne savait pas qu'il avait offensĂ© Hang Jin."Qu'est-ce que vous avez dit?"Je vais trouver un autre homme?Chiyangyang, je dois te tuer aujourd'hui.»Puis-je avoir un bĂ©bĂ© d'abord et ensuite me tuer?» Elle le regarda. Ses yeux Ă©taient trĂšs brillants sous les lourdes lunettes noires. Elle a dit Ă nouveau sĂ©rieusement "Accroche Jin, toi et moi allons avoir un bĂ©bĂ©."Cette phrase, comme un coup de foudre au bout du cĆur de Hang au milieu de la nuit, les chambres de deux personnes, Chi Yangyang, cette femme stupide a dit qu'elle aurait un bĂ©bĂ© avec lui. Comment pourrait-il ne pas y croire Chi Yangyang, sais-tu de quoi tu parles Chi Yangyang savait qu'il ne voulait pas avoir d'enfants avec elle, mais elle ne pouvait pas trouver une deuxiĂšme personne pour le moment Ă part son aide Pendez, ne soyez pas en colĂšre. Ăcoute moi. Je sais que vous avez des filles que vous aimez qui ne sont pas disposĂ©es Ă avoir des enfants avec moi, vous n'avez donc qu'Ă contribuer quelque chose, et je ne laisserai jamais les enfants vous causer des problĂšmes. De plus, je vous donnerai quelques dĂ©penses en compensation. "Hang Jin Huo a hurlĂ© "Chiyang Yang, tu me dois vraiment un sacrĂ©."Chi Yangyang HMMâŠÂ»Hang Jin a soudainement scellĂ© ses lĂšvres. Au moment oĂč les quatre lĂšvres Ă©taient connectĂ©es, Chi Yang se sentait comme une fissure dans le ciel, faisant exploser la tĂȘte de Weng Weng. Cette sensation, comme du poison, s'est rapidement plongĂ©e dans ses viscĂšres. Il n'y avait pas de temps pour elle de refuser, ni pour elle de rĂ©flĂ©chir davantage. Seul Hang Jin, comme un pilote expĂ©rimentĂ©, l'a conduite dans les nuages ââcolorĂ©s, et Ă travers la mer, a vu des groupes de poissons libres dans la cette belle sensation a Ă©tĂ© bientĂŽt remplacĂ©e par une autre chose appelĂ©e suffocation. Elle ne savait pas oĂč Hang Jin l'avait emmenĂ©e, mais elle sentit qu'il Ă©tait de plus en plus difficile de respirer et finit par perdre elle Ă©tait dans un Ă©tat second, elle a entendu Hangjin rugir Va me faire foutre, comment peut-il y avoir une femme aussi stupide dans le monde? Les baisers peuvent aussi la faire s' Yang a compris que cela la rendait excitĂ©e, parfois cela lui donnait l'impression d'ĂȘtre dans le brouillard, parfois cela lui donnait envie de s'embrasser dans le dĂ©sert d'eau. Comment Wan peut-il ĂȘtre un idiot quand il est nĂ©? Hang Jin a tirĂ© la couette pour la couvrir et lui a pincĂ© le visage avec colĂšre. Ce doit ĂȘtre le vieil homme de sa famille qui veut tenir son petit-fils. Cette femme stupide lui a demandĂ© d'avoir un il y pensait, plus il Ă©tait en colĂšre. Hang Jin ricana aprĂšs avoir donnĂ© naissance Ă un enfant, il me larguera. N'y pense mĂȘme pas, tintanteL'appel tĂ©lĂ©phonique ennuyeux a retenti Ă un moment inopportun. Hang Jin a rĂ©pondu "DĂ©pĂȘche-toi, je vais tout de suite."PaIl raccrocha le tĂ©lĂ©phone, baissa la tĂȘte et embrassa sur le front de Chiyang idiot!»......Comme beaucoup de matins, Chiyang a Ă©tĂ© rĂ©veillĂ© par une se lĂšve comme d'habitude, oublie qu'il y a une autre personne dans sa famille et se souvient de Hang Jin avant de sortir, mais il n'est pas Ă la deux matins, il n'est pas Ă la maison, il ne sait pas non plus s'il doit profiter d'elle pour dormir pour courir pour s' Chi Yangyang n'est pas d'humeur Ă s'occuper des affaires de Hang Jin. Il y a encore beaucoup de choses Ă faire au Bureau. Aujourd'hui, nous ne pouvons plus vous est arrivĂ©e au Bureau, elle a rencontrĂ© Jiang Zhen, qui n'Ă©tait pas revenue depuis qu'elle Ă©tait allĂ©e ouvrir l'eau la nuit derniĂšre. Chi Yang Ă©tait un peu gĂȘnĂ© professeur, mon grand-pĂšreâŠÂ»Jiang Zhen l'interrompt gentiment Le vieil homme est vieux. Il veut juste quelqu'un qui connaĂźt le froid et la chaleur autour de lui. Ne prenez pas ses paroles Ă cĆur. ""C'est bon." Chi Yangyang est soulagĂ©. Lui et Jiang Zhen sont des partenaires de travail au quotidien. S'il y a un malentendu entre eux, comment peuvent-ils bien fonctionner Ă l' Zhen a souri doucement et invisiblement va travailler»."Bien." Chi Yang Yang a fait un signe de tĂȘte et a soudainement pensĂ© Ă une autre chose Professeur, j'ai autre chose Ă vous Zhen la regarde, ses yeux sont superficiels dis quelque chose».Chi Yangdun, a trouvĂ© un moyen plus appropriĂ© de demander est-ce Ă cause de la relation de ma mĂšre que plusieurs de nos stagiaires ont appris de vous et que j'Ă©tais le seul Ă pouvoir rester?»Jiang Zhen a dit Yang Yang, ne croyez-vous pas en mon caractĂšre ou en vos propres capacitĂ©s et efforts?» "Je vois." Hier, je savais que Jiang Zhen connaissait sa mĂšre. Chi Yangyang Ă©tait inquiĂšte que Jiang Zhen ait Ă©tĂ© promue Ă cause de son ancienne relation. Maintenant, je sais que la grosse pierre dans mon cĆur vient de tomber. Chapitre 1729 Chiyangyang n'est pas encore entrĂ© dans le bureau. Zhao Ziqian est venu ici en personne Jiang Zhen, Yangyang, aujourd'hui est le dernier jour de la pĂ©riode de trois jours. Si je ne rĂ©sout pas le cas Ă nouveau, je dois me gratter la peau. Avez-vous de nouveaux cheveux ici?TĂŽt le matin, Zhao Ziqian avait dĂ©jĂ dirigĂ© plusieurs dĂ©partements, un par un demandant des indices pour obtenir des informations. Le dĂ©partement mĂ©dico-lĂ©gal lui a donnĂ© quelques indices, mais ces indices n'Ă©taient pas suffisants pour trouver oĂč se trouvait le meurtrier. Nous n'avons pas trouvĂ© deux cadavres de femmes sans tĂȘte», a dĂ©clarĂ© Jiang. Ă ce moment, quelqu'un peut perdre la vie Ă tout moment. Ces gars-lĂ ne savent pas du tout comment changer cela. Bien sĂ»r, Zhao Ziqian sait que le meilleur moyen est d'attraper le meurtrier avant qu'il ne commette un autre crime, mais maintenant il ne peut attraper Zhen n'a rien dit de plus. Chi Yangyang Ă©tait assis Ă cĂŽtĂ© et ne savait pas s'il fallait le persuader ou non. AprĂšs y avoir rĂ©flĂ©chi, il ne savait toujours pas s'il devait dire quoi que ce soit pour le Ziqian a allumĂ© une cigarette et a fumĂ©, mais n'a plus Zhen a tranquillement regardĂ© Chi Yang plusieurs fois et a voulu parler plusieurs fois, mais il n'a rien dit. Quand il est arrivĂ© Ă destination, il l'a simplement appelĂ© Yang Yang, tu n'es pas autorisĂ© Ă quitter ma vue maintenant.Ah?» Pool Yang Yang Leng Leng, mais n'a pas Zhen a ajoutĂ© les victimes de ces cas sont toutes des femmes. Votre identitĂ© est spĂ©ciale. Pour des raisons de sĂ©curitĂ©, vous ne pouvez Ă aucun moment agir seul. »"Merci professeur, je ferai attention," acquiesça-t-il......Il n'y a pas eu d'accident, mais un autre corps de femme sans tĂȘte. Les blessures sur la surface du corps Ă©taient presque les mĂȘmes que les deux premiĂšres. AprĂšs avoir reçu le simple rapport de la mĂ©decine lĂ©gale, Zhao Ziqian a de nouveau appelĂ© son supĂ©rieur Lao Qian, il y a un autre cas de cadavre de femme sans tĂȘte dans le district de Cangshan. L'identification prĂ©liminaire des blessures sur le corps du dĂ©funt par la mĂ©decine lĂ©gale est presque la mĂȘme que les deux homicides prĂ©cĂ©dents, qui sont probablement causĂ©s par le mĂȘme je peux ĂȘtre sĂ»r Ă 100% qu'il s'agit d'un meurtre en sĂ©rie. Le meurtrier est susceptible de commettre un autre crime, nous devons donc renforcer les patrouilles de ce cĂŽtĂ© du district de Cangshan maintenant. Je ne sais pas ce qui a Ă©tĂ© dit Ă l'autre bout du tĂ©lĂ©phone. Zhao Ziqian Ă©tait tellement anxieux qu'il s'est cognĂ© les pieds contre le mur et s'est retournĂ© plusieurs fois Oui, je suis incompĂ©tent. Quiconque a la capacitĂ©, vous pouvez le laisser vĂ©rifier. Mais je veux tout de mĂȘme vous dire que vous devez envoyer plus de personnes pour renforcer la patrouille dans le district de Cangshan. Nous ne pouvons pas avoir une autre personne dĂ©cĂ©dĂ©e. "AprĂšs avoir raccrochĂ© le tĂ©lĂ©phone, Zhao Ziqian a fait signe Ă la police Il y a tellement de monde autour. Il est impossible de cacher les nouvelles. Utilisez mon numĂ©ro professionnel pour envoyer un message pour apaiser les masses. »C'est tellement grave que le supĂ©rieur veut toujours lui cacher la nouvelle. Zhao Ziqian pense que cette mĂ©thode ne fonctionne pas, car il n'y a aucun moyen pour les femmes d'ĂȘtre vigilantes, et il est probable qu'elle devienne la prochaine regardant la hĂąte de Zhao Ziqian, Chi s'inquiĂ©tait Ă©galement pour lui L'Ă©quipe Zhao, nous vous donnerons le rapport d'autopsie dĂšs que possible. Si vous avez besoin d'aide pour d'autres aspects, ouvrez simplement la bouche."Bien." Zhao Ziqian hocha la tĂȘte, "s'il vous plaĂźt."Pour cette affaire, Zhao Ziqian n'a pas fermĂ© les yeux depuis trois nuits. Il est Ă©puisĂ©, mais il doit encore travailler dur. Ce n'est que lorsque le cas est rĂ©solu que l'on peut empĂȘcher davantage de personnes d'ĂȘtre blessĂ©es, mais il n'y a pas d'indice pour le moment."Team Zhao, il y a une dĂ©couverte." Un policier est sorti de nulle Ziqian tourna la tĂȘte et regarda "Quelle est la dĂ©couverte?"Il y a quelqu'un Ă cĂŽtĂ©, mais je ne peux pas ouvrir la porte», a dĂ©clarĂ© le policier. » Jiang Zhen, Yang Yang, ne sortez pas tous les deux. »Zhao Ziqian a sorti son arme et a dit Ă la police suis-moi ».Il a fait signe Ă la police de frapper, mais personne n'Ă©tait toujours Ziqian a Ă©changĂ© un regard avec le policier. Le policier a immĂ©diatement reculĂ©. Il s'est prĂ©cipitĂ© et a donnĂ© un coup de pied Ă la porte. Mais avant qu'il ne donne un coup de pied Ă la porte, la porte antivol s'est ouverte de que la porte s'est ouverte, Zhao Ziqian a vu un homme grand et beau se tenir Ă la porte une chemise blanche, mais la chemise blanche a Ă©tĂ© teinte en rouge avec du sang et le sang a coagulĂ©, ce qui prouve que le sang sur lui est depuis quelque temps Zhao Ziqian a pointĂ© son arme sur lui levez la main».L'homme dĂ©daigna de sourire dans cette vie, aucun lapin n'ose pointer son arme sur ce jeune maĂźtre. Hang, Hang Jin?» Quand Chi Yangyang a entendu la voix venir, et a vu que l'homme de sang» Ă la porte Ă©tait vraiment Hang Jin, son cerveau Ă©tait vide pendant un moment, toi, comment vas-tu ici?» Chapitre 1730 Que diable fait Hang Jin?Comment te faire comme ça?Son sang est-il le sien ou celui de quelqu'un d'autre?Chi Yangyang tenait fermement son poing tremblant et regardait Hang Jin de haut en bas encore et encore pour s'assurer qu'il allait bien. L'Ă©touffement dans son cĆur a juste disparu Je vous demande quelque chose."Pourquoi suis-je ici?" Hang Jin sourit, une expression que Lao Tzu n'avait pas peur du ciel et de la terre. OĂč puis-je encore vous signaler?»VousâŠÂ» Chi Yangyang Ă©tait tellement en colĂšre qu'il s'est mordu les dents. Hang Jin, le deux cent cinq, savait-il ce qu'il faisait? C'est la scĂšne du meurtre. Pense-t-il que c'est pour le plaisir?Chiyang Yang voulait l'ignorer et laisser Zhao Ziqian le reprendre et le faire taire pendant 180 jours, mais il ne pouvait s'empĂȘcher de marcher vers lui. Elle s'approcha de lui et lui dit d'une voix que seuls deux d'entre eux pouvaient entendre Accroche Jin, je m'en fiche si tu te ridiculises. Maintenant, il y a un homicide ici. Le meurtrier n'a pas encore Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©. Il se trouve que vous apparaissez ici couvert de sang. Si vous ne le dites pas clairement aujourd'hui, vous n'ĂȘtes pas le meurtrier et je ne peux pas vous sauver. "" Comment savez-vous que je ne suis pas un meurtrier? " Les mots de Chi Yangyang sont trĂšs courants, mais quand elle a entendu les oreilles de Hang Jin, ils Ă©taient trĂšs inhabituels. La fille avait une petite conscience. Avant qu'il ne dise qu'il n'avait tuĂ© personne, elle a dĂ©cidĂ© qu'il n'Ă©tait pas le bien, trĂšs bien, cette fille stupide n'est pas stupide en ce visage de Chi Yangyang est devenu blanc de rage De quoi parlez-vous? Est-ce le moment de se ridiculiser? Chi Yangyang, une femme stupide, choisit de croire en elle-mĂȘme, ce qui rend Hang Jin de bonne humeur. Il tend la main et lui pince le visage Je sais ce que je fais. Va-t'en, ne m'empĂȘche pas de faire des choses. Il a de nouveau regardĂ© Zhao Ziqian et a dit Rangez votre arme. Si vous blessez mon jeune maĂźtre par le feu, vous n'aurez pas dix vies Ă mourir. Avec la compĂ©tence de Hang Jin, Zhao Ziqian n'a pas la capacitĂ© de le blesser. Ce qui inquiĂšte Hang Jin, c'est que l'arme de Zhao Ziqian pourrait blesser Chiyang, un petit idiot, en cas d'incendie. Ce petit idiot l'Ă©vite gĂ©nĂ©ralement comme un serpent et une bĂȘte. Ă ce moment-lĂ , elle ne roule mĂȘme pas lorsqu'elle sait chanter contre lui toute la journĂ©e. C'est trĂšs Ziqian a ignorĂ© Hang Jin, mais a regardĂ© Chi Yangyang Ă cĂŽtĂ© de lui "Yang Yang, tu sais?"Chi Yangyang leva les yeux vers Hang Jin. Elle ne voulait pas admettre qu'elle connaissait ce fils de pute devant des Ă©trangers, mais elle a dit Eh bien, nous nous connaissons depuis l' qu'il ait cachĂ© le fait que Hang Jin Ă©tait son mari lĂ©gal, Chi a estimĂ© qu'il le connaissait depuis son plus jeune Ăąge et qu'il devrait Ă©galement ĂȘtre capable d'exprimer la relation entre eux, ce que Zhao Ziqian devrait comprendre.Vous vous connaissez depuis l'enfance? L'avez-vous vu pendant cette pĂ©riode? »Zhao Ziqian rangea lentement son arme, mais ses yeux Ă©taient toujours fixĂ©s sur Hang Jin, comme s'il pouvait tirer sur la tĂȘte de Hang Jin tant qu'il osait faire quelque chose."Oui. Presque tous les jours⊠»Quand Chi Yangyang a dit cela, il a pensĂ© au fait que Hang Jin n'Ă©tait pas Ă la maison ces deux nuits, et a soudainement bĂ©gayĂ©, il, il⊠» Bien que Hang Jin soit arrogant, autoritaire et bien-fondĂ©, et n'a aucune moralitĂ© sociale, il ne tuera certainement pas les gens. Plus tard, Chi a Ă©galement voulu le dire Ă Zhao Ziqian, mais en tant que mĂ©decin lĂ©giste, elle a Ă©tĂ© trĂšs claire. Si elle a tuĂ©les gens ou n'a pas tuĂ© les gens, elle devait montrer de vraies preuves, alors elle a avalĂ© cette phrase dans son estomac et a regardĂ© Hang Jin inquiet. La banque centrale, Ă partir de maintenant, vous remettrez tout le travail liĂ© Ă cette affaire Ă Xiao Fan, et vous rentrerez chez vous pour vous reposer pendant les vacances.» La personne qui a interrompu soudainement Ă©tait Jiang Zhen. Ses yeux passĂšrent sur Hang Jin. Il n'y avait aucune fluctuation d'humeur. Il semblait qu'il n'y avait pas de malheur entre eux la nuit derniĂšre.MaĂźtre, je âŠâŠÂ» Chi veut aider Zhao Ziqian Ă rĂ©soudre les cas le plus rapidement possible, mais maintenant Hang Jin est impliquĂ© dans ces cas. Avec sa relation mari et femme» avec Hang Jin, elle devrait vraiment Ă©viter les soupçons. "Yang Yang, puisque vous vous connaissez, vous n'ĂȘtes vraiment pas apte Ă poursuivre cette affaire." Ce n'est pas qu'ils ne peuvent pas faire confiance Ă Chi Yang. N'importe qui devrait Ă©viter cette situation. Zhao Ziqian est Ă©galement mĂ©content de l'attitude arrogante de Hang Jin, et son ton de voix n'est pas poli. Pas Ă©tonnant que nous ne puissions pas rĂ©soudre l'affaire en tant de jours. Un groupe de personnes ne sait comment attraper que des gens ordinaires. C'est Ă©trange qu'ils puissent rĂ©soudre l'affaire. »AprĂšs cela, Hang Jin regarda Chi Yang et baissa la tĂȘte sur son oreille et murmura Je ne suis pas un meurtrier. Ces lapins ne peuvent pas m'aider. Rentrez chez vous et attendez-moi. Vous feriez mieux de faire frire deux plats et de prĂ©parer deux autres Yangyang est sans voix. En ce moment, Hang Jin pense-t-il que ce n'est qu'un combat?C'est un meurtre! Une sĂ©rie de meurtres avec un trĂšs mauvais complot!N'y pensez pas tant que vous n'avez pas trouvĂ© le vrai tueur.......AprĂšs que Zhao Ziqian ait ramenĂ© Hang Jin au poste de police, Chi Yangyang est retournĂ©e au dĂ©partement mĂ©dico-lĂ©gal pour lui remettre son travail. AprĂšs la remise, elle s'est prĂ©cipitĂ©e vers la brigade de police criminelle et a entendu dire que Hang Jin avait Ă©tĂ© invitĂ© Ă entrer dans la salle d'interrogatoire pendant une qu'elle ne comprenait pas la situation de la salle d'interrogatoire, Chi Yangyang Ă©tait si anxieuse qu'elle ne pouvait pas rester assise. Elle a trouvĂ© un consultant de la police criminelle familier frĂšre Wang, ce suspect est lĂ depuis si longtemps, comment est la situation maintenant?»"La police criminelle a dit" Yang Yang, vous savez, en gĂ©nĂ©ral, ce genre de grande affaire est interrogĂ© par l'Ă©quipe de Zhao en personne, et les nouvelles ne peuvent pas m'atteindreMais juste Ă ce moment-lĂ , Hang Jin et Zhao Ziqian sont sortis de la salle d' Jin s'avança, fier comme un coq qui avait vaincu. Zhao Ziqian le suit, incline la tĂȘte et incline la taille. Il n'y a aucun moyen qu'un capitaine de la police criminelle y a eu un renversement de la situation Ă 180 degrĂ©s et Chi Yang a Ă©tĂ© choquĂ©. Il ne pouvait s'empĂȘcher de s'exclamer c'est une vache d'avoir une famille puissante!»Hang Jin s'approcha pour attraper Chi Yang Petits quatre yeux, je n'ai rien fait d'illĂ©gal et de criminel. Ils auraient dĂ» laisser les gens partir. C'est un demi-cent Ă voir avec mes antĂ©cĂ©dents familiaux? »Chiyangyang âŠÂ»Elle pense qu'il n'a pas tuĂ©, mais le procĂšs n'est-il pas trop loin?Zhao Ziqian n'est pas altruiste, il a juste laissĂ© partir un si grand suspect criminel?"Petit fils Ă quatre yeux, ce jeune maĂźtre est libre, tu n'es pas heureux?" Hang Jin a soudainement pris son visage, ce qui a poussĂ© Chi Yang Ă regarder Qu'est-ce que tu fais?Je suis trĂšs heureux aujourd'hui», a dĂ©clarĂ© Hang Jin avec un sourireContent?Il a compris que le cerveau de Hang Jin Ă©tait vraiment diffĂ©rent de celui des gens ordinaires "Vous ĂȘtes un suspect criminel maintenant, vous ĂȘtes toujours heureux, et qu'est-ce qui ne va pas avec vous?"Hang Jin que savez-vous Chi Yangyang Eh bien, vous savez! " Chapitre 1731 Hang Jin stupideChi Yangyang juste toiâŠÂ»Avant qu'elle ait fini de parler, Hang Jin la bloqua une fois de plus dans sa au poste de police, il y avait Zhao Ziqian et d'autres personnes autour, mais Hang Jin semblait ne voir personne d'autre du tout, et il Ă©tait si autoritaire qu'il a presque embrassĂ© Chi Yang baiser, aussi sauvage et dĂ©raisonnable qu'il Ă©tait, ne pouvait pas ĂȘtre rĂ©sistĂ© par Chi Yangyang a eu peur et a essayĂ© de le pousser. Ăa n'a pas marchĂ©. Ou quand il s'Ă©tait suffisamment embrassĂ©, elle s'est juste Ă©chappĂ©e de ses bras "Hang Jin, qu'est-ce que tu fous?"Le visage de Chi Yangyang Ă©tait rouge, en colĂšre et honteux. Il a marchĂ© sur lui et s'est Ziqian et d'autres ne se sont pas calmĂ©s de la scĂšne de la surprise jusqu'Ă ce que la voix du Seigneur Hang Jin sonne Regardez-le, n'en parlez pas, surtout ne la mettez pas gĂȘnĂ©e devant Chi Yang.»La femme de Chiyang Yang l'a rejetĂ© de tout cĆur et n'a pas voulu rĂ©vĂ©ler leur relation. Hang Jin, aussi tyrannique et impudique qu'elle soit, devait encore prendre ses sentiments en Ziqian peut se mĂ©langer jusqu'Ă aujourd'hui, est aussi une Ă©lite personnelle "Qu'est-ce qui s'est passĂ©?"Autres policiers "Ă©quipe Zhao, je viens de t'appeler d'en haut.""Vraiment?" Zhao Ziqian regarde Hang Jin et sourit flatteur. Hang Shao, je suis toujours occupĂ©, donc je ne vous enverrai pas. Veuillez marcher lentement. Bienvenue Ă visiter Ă nouveau la prochaine fois Oh, non, non, non, bienvenue Ă cent pour inspecter notre travail. "Hang Jin "un groupe de seaux de riz inutiles."Ces personnes, avant et aprĂšs avoir connu sa vĂ©ritable identitĂ©, ont des attitudes diffĂ©rentes, ce qui le rend vraiment malheureux.......Hang Jin ne s'attendait pas Ă ce que Chi Yangyang ne s'enfuie pas. Elle pouvait encore l'attendre Ă la porte du poste de police, mais son visage sentait toujours mauvais, ce qui prouvait qu'elle Ă©tait vraiment en colĂšre Ă l' marcha Ă ses cĂŽtĂ©s et posa naturellement son bras sur son Ă©paule, mais la seconde suivante, il fut abattu par Chi Yang Ne me touchez pas!Hang Jin sourit indiffĂ©remment Ne me laisse pas te toucher. Vous m'attendez toujours ici. Vous ĂȘtes un idiot."Chi Yang Yang lui lança un regard fĂ©roce qui t'attend?»Hang Jin haussa les Ă©paules Sinon? Attendez-vous un autre homme sauvage? "Cependant, la rĂ©ponse Ă Hang Jin n'est pas celle de Chi Yang, mais celle de Jiang Zhen. Le visage de Jiang Zhen Ă©tait toujours sans expression, et il ne pouvait voir aucun bonheur, colĂšre, chagrin ou bonheur sur son visage. Cependant, quand Hang Jin le vit, il Ă©tait extrĂȘmement bouleversĂ©. Il a forcĂ© le chi yang dans ses bras Chi Yang, es-tu transparent quand tu es mon jeune maĂźtre? Je suis toujours lĂ , donc tu es occupĂ© Ă rencontrer des hommes sauvages. "Accroche Jin, tu ferais mieux de ne pas m'offenser,» dit-ilCette fille, as-tu osĂ© manger le lĂ©opard coeur d'ours aujourd'hui?Cependant, la plupart du temps, c'Ă©tait Chiyang qui Ă©tait intimidĂ© par lui pour ĂȘtre obĂ©issant, mais elle Ă©tait vraiment bouleversĂ©e. Cette fille a Ă©galement Ă©tĂ© lancĂ©e sur les l'a vraiment qui est Hang Jin? S'il savait prendre du recul, il n'aurait pas aimĂ© Chi Yangyang pendant tant d'annĂ©es. Chi Yangyang ne savait toujours rien de son cĆur et pensait mĂȘme qu'il n'abandonnerait pas avant de la tuer."Il a dit" Oh, petit quatre yeux, qui vous a donnĂ© le courage d'oser croiser devant ce jeune maĂźtreChiyang ne voulait pas lui parler. Il a rompu sa main et est allĂ© Ă Jiangzhen. Juste aprĂšs avoir fait un pas, il a Ă©tĂ© ramenĂ© par Hang Jin "Chiyang, tu oses faire un autre pas."Chiyangyang âŠÂ»En regardant la scĂšne devant lui, Jiang Zhen n'avait toujours pas trop d'expression. Il regarda Chi Yangyang et dit lĂ©gĂšrement Yangyang, si cela ne vous convient pas, nous en parlerons plus Hangjin, il a traĂźnĂ© le centre de la piscine derriĂšre lui Ce n'est pas pratique pour elle n'importe quel jour.»Jiang Zhen n'a pas pris Hang Jin. Il sourit Ă Chi Yang et se que Jiang Zhen est parti, Chi Yang Ă©tait tellement en colĂšre qu'il a de nouveau marchĂ© sur Hang Jin et a dit Hang Jin, vas-tu me faire perdre ce travail? Ătes-vous simplement satisfait?Hang Jin Vous avez affaire Ă des morts tous les jours dans ce mĂ©tier. Ne lâoublie pas.Accrochez Jin!» Chi Yangyang a hurlĂ© son nom et soudain ses yeux sont devenus rouges. Quand son nez Ă©tait aigre, elle pleurait. Mais elle leva les yeux et essaya de refouler ses larmes. AprĂšs un long moment, elle a dit Hang Jin, tu veux vraiment me tuer, ĂȘtes-vous satisfait?Pour la premiĂšre fois, il ne savait pas comment la contredire. Chi Yangyang a inhalĂ© son nez et a refoulĂ© ses griefs et ses afflictions dans son estomac Hang Jin, je sais que tu me dĂ©testes. Je me dĂ©teste depuis que je suis enfant. J'essaye de me dĂ©barrasser de moi. J'aimerais pouvoir me tuer. Mais je vous prie de bien faire. Veuillez me laisser partir un moment. Quand je trouverai le meurtrier de mes parents, je disparaĂźtrai de vos yeux. Je ne vais plus entrer dans vos yeux. ""Tu sais?" Tout Ă coup, Hang Jin sourit amĂšrement. Chi Yang Yang, espĂšce d'idiot, tu sais ce putain de pet!»Il voulait vivre avec elle toute sa vie, et cet idiot a toujours pensĂ© qu'il dĂ©testait la ses mots, Hang Jin partit avec Yang Ă©tait tellement en colĂšre qu'il ne pouvait rien faire d'autre que mettre ses pieds en Ă©tait clair qu'il l'avait mise en colĂšre, mais enfin il semblait qu'elle l'avait mis en a-t-il justice Ă la fin de la journĂ©e?......Hang Jin est parti le premier. Chi a dĂ» conduire seule, mais au lieu de rentrer chez elle, elle s'est d'abord rendue Ă l'hĂŽpital pour voir son d'entrer dans la salle, Chi Yang a ajustĂ© son humeur. Il ne voulait pas que grand-pĂšre s'inquiĂšte pour elle, mais elle a dit deux mots juste au moment oĂč elle est entrĂ©e dans la piĂšce, et le vieil homme Ă©tait trĂšs Chi frotte la tĂȘte du Chi central "central, tu n'es pas content?"Chi Yangyang a essayĂ© de sourire Non» Grand-pĂšre Chi savait qu'elle essayait d'ĂȘtre courageuse et ne l'a pas brisĂ©e. Au lieu de cela, il a changĂ© de sujet Yang Yang, grand-pĂšre n'y a pas rĂ©flĂ©chi attentivement la nuit derniĂšre, alors il a organisĂ© un rendez-vous Ă l'aveugle pour vous. Aujourd'hui, quel est l'Ăąge oĂč tant de gens ne veulent pas se marier mais n'ont pas d'enfants? Tant que notre banque centrale est confortable et mariĂ©e ou non, qu'importe si nous voulons avoir des enfants. Alors ne t'inquiĂšte pas de ce que papy a dit hier soir. Vivez la vie que vous voulez vivre. "Grand-pĂšre, qui a soixante-dix ans, a la pensĂ©e de la gĂ©nĂ©ration plus ĂągĂ©e, peu importe Ă quel point il est Ă©clairĂ©. Ne pas se marier et ne pas avoir d'enfants n'est absolument pas ce qu'il pense. Il a dit cela, il ne veut certainement pas lui faire pression. Chi Yang le pense Ă elle partout. Comment peut-elle ĂȘtre assez Ă©goĂŻste pour ignorer l'idĂ©e du vieil homme?Elle sourit Grand-pĂšre, en fait, je compte l'Ă©pouser, et c'est aussi celui avec qui je veux avoir des enfants. Je vais l'amener te voir officiellement un autre entendant cela, grand-pĂšre Chi Ă©tait heureux. ExcitĂ©, il attrapa la main de Chi "Yang, est-ce vrai?""Pool Yang Yang hoche la tĂȘte" bien sĂ»r, c'est vrai Grand-pĂšre Chi a dansĂ© de joie comme un enfant "notre banque centrale est si excellente, quel homme nous regardons la banque centrale doit ĂȘtre la bĂ©nĂ©diction qu'il a construite dans sa derniĂšre vie." Chapitre 1732 Aux yeux de grand-pĂšre, suis-je vraiment exceptionnel?» "Grand-pĂšre, je n'ai pas oubliĂ© que tu m'as complĂštement endommagĂ© devant Hangjin la nuit derniĂšre." Quand il s'agit de Hang Jin, grand-pĂšre Chi secoue la tĂȘte et soupire Le garçon de la famille Hang ressemble Ă un homme, mais il n'a tout simplement pas une forme correcte. Je ne le vois pas. Ce genre de personne, tĂŽt ou tard, fera un gros problĂšme. La fille qui le suit doit beaucoup souffrir. Grand-pĂšre l'a dit, ne veux pas qu'il ait une mauvaise idĂ©e pour toi. "Grand-pĂšre, je sais ce que tu veux dire. Ă quel point grand-pĂšre s'aime, Chi Yangyang le sait, mais elle ne sait pas que l'image de Hang Jin aux yeux de grand-pĂšre est si un jour elle amĂšne Hang Jin Ă l'hĂŽpital et dit Ă grand-pĂšre que c'est l'objet de son mariage et de son accouchement, grand-pĂšre sera trĂšs en semble que l'idĂ©e de trouver Hang Jin pour l'aider Ă avoir un bĂ©bĂ© n'est pas rĂ©alisable. Elle doit rĂ©flĂ©chir Ă d'autres moyens.Grand-pĂšre, j'ai dit que la fille qui l'a Ă©pousĂ© dans cette vie a dĂ» en faire trop dans la derniĂšre vie. Grand-pĂšre Chi ne savait pas que le grand diable de Hang Jin avait identifiĂ© sa petite-fille, sinon il n'aurait jamais dit cela."Grand-pĂšre, la fille qui a fait le mal est votre petite-fille." Chi Yangyang a criĂ© dans son cĆur, mais il a toujours souri "Eh bien, celui qui le suit souffre."Je ne sais pas combien de temps il lui faudra pour se dĂ©barrasser de ce Priez pour que le Bouddha bĂ©nisse Hang Jin et se lasse du jeu.......A ce moment, Hang Jin ne s'est pas arrĂȘtĂ©. AprĂšs avoir quittĂ© Chi Yang, il a appelĂ© ses amis au tĂ©lĂ©phone. Plusieurs grands hommes se sont rassemblĂ©s dans le bar pour Jin n'a rien mangĂ©. Il Ă©tait dĂ©jĂ Ă jeun. Il a versĂ© plusieurs bouteilles de vin les unes aprĂšs les autres. Il Ă©tait ivre avant les trois Zhiyang a levĂ© son verre Le quatriĂšme frĂšre est ivre, puis nos trois frĂšres boivent.»Zhu Kaifa et Xie Yuanbo lĂšvent leurs verres "OK, continuons Ă boire."Qui aurait devinĂ© que Hang Jin avait attrapĂ© Ye Zhiyang "Ye Zhiyang, dis-moi, comment diable as-tu rattrapĂ© LAN Feiyang comme un ours?"Hang Jin pense que ye Zhiyang ne peut en aucun cas se comparer Ă lui, mais la poursuite de Ye Zhiyang du Feiyang bleu le rattrape, alors qu'il ne peut pas rattraper le petit idiot de Quelle colĂšre! Poursuivez avec votre cĆur.» Quand il s'agit de poursuivre le vol bleu, ye Zhiyang est la chose la plus fiĂšre de sa vie. Quatre frĂšres aĂźnĂ©s, vous avez vu mon intention de voler ces annĂ©es-ci. C'est la soi-disant bonne foi d'ouvrir la pierre. Tant que vous ĂȘtes attentif,les fĂ©es dans le ciel peuvent vous faire chasser. "Hang Jin l'a giflĂ© sur la table Ă vin "Je ne me soucie pas de Chi Yang?" Quatre frĂšres aĂźnĂ©s, nous voyons tous votre intention dans les yeux, mais le centre central central ne comprend pas, cela n'a aucun moyen.» L'interlocuteur est Zhu Kaizhan. Il dit avec un sourire "frĂšre aĂźnĂ©, de toute façon, tu as cuit du riz, tu devrais donc Ă©pouser Yang Yang directement."C'est un camarade de jeu qui a grandi ensemble. C'est la mĂȘme idĂ©e que Hang Jin. Mais le problĂšme est que Hang Jin a trompĂ© son certificat de mariage, mais elle n'a pas cuisinĂ© de riz mĂ»r. Hang Jin hĂ©sita un peu, et ses amis virent. Zhu Tuozhan a Ă©tĂ© surpris et a dit quatriĂšme frĂšre, que s'est-il passĂ© avec Yang Yang cette nuit-lĂ lorsque vous ĂȘtes retournĂ© Ă Jiangbei depuis les Ătats-Unis? A ce moment-lĂ , elle Ă©tait ivre dans vos bras, flirtant et cĂąlinant avec vous, mais rien ne s'est passĂ©? "Merde, j'ai bien peur que ce ne soit qu'une lettre les autres petits amis de la scĂšne ont Ă©galement regardĂ© Hang Jin et attendaient sa Jin tais-toiEh bien, Hang Jin n'a pas rĂ©pondu, mais ils connaissaient tous la ne l'avaient pas entendu, ils n'auraient jamais cru que leur maĂźtrise de soi Ă Hangzhou quatre Shao Ă©tait si bonne. DĂšs l'enfance, ils sont tombĂ©s secrĂštement amoureux de la grande fille qui Ă©tait ivre dans ses bras, et il n'a rien fait. De cette façon, il semble que s'il veut aider Hang Jin Ă abattre Chi Yangyang, il doit rĂ©flĂ©chir Ă d'autres moyens, alors Xie Yuanbo, qui a toujours eu beaucoup d'idĂ©es, a dĂ©clarĂ© quatriĂšme frĂšre, Yang Yang peut ne pas percer ici, donc il vaut mieux trouver le vieil homme de la famille Chi. La fille de Yangyang a tellement de parents maintenant. Selon son caractĂšre filial, tant que le vieil homme demande Ă Yangyang de vous Ă©pouser, elle le promettra. ""Xie Yuanbo, tu devrais mettre tes pets derriĂšre les autres." Hang Jin a dĂ©jĂ Ă©pousĂ© la fille de Chiyang Yang, mais ce qu'il veut, ce n'est pas seulement son identitĂ© en tant qu'Ă©pouse, mais aussi son cĆur aussi dur qu'une Yuanbo est lĂ©sĂ© "quatre frĂšres aĂźnĂ©s, quelle phrase ai-je dit est fausse?"Hang Jin se leva et sortit en titubant "demandez Ă quelqu'un de me conduire Ă l'hĂŽpital."Xie Yuanbo "quatriĂšme frĂšre, qu'est-ce qui ne va pas avec toi?"Hang Jin est impatient appelle les gens si tu veux. Que faites-vous de tant de bĂȘtises? »......Les trois hommes ont demandĂ© au chauffeur d'emmener Hang Jin au premier hĂŽpital populaire de Jiangbei. Quand ils ont vu Chi Yangyang sortir de la porte de l'hĂŽpital, ils ont compris pourquoi il Ă©tait bruyant de venir Ă l' homme est vraiment une sorte d'amour. Il est tellement ivre que sa tĂȘte n'est pas claire. Il pense toujours au lac Zhiyang, Zhu Tuozhan et Xie Yuanbo descendent du bus et disent bonjour Ă Chi Yangyang "Yangyang, comment vas-tu Ă l'hĂŽpital?"En voyant les frĂšres aĂźnĂ©s qui jouaient depuis l'enfance, Chi Yangyang Ă©tait trĂšs heureuse Je viens voir grand-pĂšre. Trois frĂšres, pourquoi ĂȘtes-vous venu Ă l'hĂŽpital si tard? Qui ne se sent pas bien? "Ye Zhiyang montre la voiture derriĂšre lui. De maniĂšre inattendue, regardant en arriĂšre, Hang Jin se dirige vers eux. Petits quatre yeux, je suis ivre. Tu ne sais pas comment m'aider?Il est mĂȘme allĂ© boire!Chi Yang Yang fronça les sourcils Oncle hang, combien de vin buvez-vous? Vous ne pouvez pas voir clairement le chemin lorsque vous marchez. Ătes-vous vraiment vieux?Hang Jin chancelle Ă ses cĂŽtĂ©s, l'embrasse et compte sur elle le poids de tout son corps Petits quatre yeux, tu ne m'Ă©coutes vraiment pas de plus en plus, croyez-le ou non, je vais vous Ă©craser.Yangyang, mon gaz n'est pas Ă©teint. Revenons d'abord. Plusieurs autres personnes Ă©taient spirituelles. Ils ont trouvĂ© une raison de mentir et se sont enfuis ensemble, laissant Hangjin, qui Ă©tait ivre et fumĂ©, Ă Chiyang a jurĂ© qu'elle voulait vraiment jeter Hang Jin, qui sentait le vin, Ă l'Ă©gout, mais l'homme couchĂ© sur elle ne connaissait pas du tout son esprit et criait toujours Petits quatre yeux, tu ne Tu comprends pas l'esprit de mon jeune maĂźtre?"Qu'est-ce qui prĂ©occupe votre esprit?" Il n'a jamais Ă©tĂ© sans cĆur. Aujourd'hui, quand il est ivre, il est inquiet?Hang Jin Ă©tait confus et a dit Est-ce que tu fais vraiment semblant de ne pas connaĂźtre mon esprit?Qu'est-ce qu'il pense? Chiyangyang y rĂ©flĂ©chit sĂ©rieusement. En pensant Ă la photo qu'il a vue la derniĂšre fois dans son bureau et en voyant la fille avec laquelle il est sorti de ses propres yeux, l'esprit de Hang Jin doit ĂȘtre celui-ci Veux-tu me dire la fille que tu aimes?» Chapitre 1733 En entendant ses mots, les yeux sombres de Hangjin se sont soudainement Ă©clairĂ©s tu sais?» Euh.» Chi Yangyang Ă©tait tellement submergĂ© par son poids qu'il pouvait Ă peine se tenir droit, mais il hocha la tĂȘte J'ai vu la photo sur mon bureau ce matin-lĂ . C'est elle qui t'a aspergĂ© d'eau bouillante ce jour-lĂ . C'Ă©tait vraiment magnifique. Si j'Ă©tais un homme, je l'aimerais aussi. Donc, si vous l'aimez, allez-y hardiment. Je ne vous entraĂźnerai jamais en raison de mon statut nominal d 'Ă©pouse». "Tu veux vraiment me faire chier!» Les yeux de Hang Jin s'assombrirent petit Ă petit. En regardant son visage, il eut l'impression qu'elle lui avait Ă©tĂ© enlevĂ©e. Il a dit "Chi Yang, la femme que j'aime, c'est toi.""Moi? Ha ha⊠»Chi sait qu'il ne devrait pas rire pour le moment, mais c'est plus ridicule qu'une Jin, le fils de pute, ne boit pas mal aux heures ordinaires. Combien a-t-il bu aujourd'hui? Il est assez ivre pour dire qu'il aime ces absurditĂ©s."Ce qui vous fait rire?" Hang Jin secoua son poing et souhaita pouvoir la battre durement. Chi Yang, tu ne sais pas. Je t'aime tout le temps. "Eh bien, tu m'aimes bien. Je ne savais pas avant, mais maintenant je sais. ChĂ©rie, rentrons d'abord Ă la maison. »Il a dit comme ça, elle et un fantĂŽme ivre se soucient de quoi.Petits quatre yeux, je t'aime vraiment!» Si ce n'Ă©tait pas pour boire, pendre Jinding ne pouvait pas dire une chose pareille, et c'Ă©tait aprĂšs que sa premiĂšre confession ait Ă©tĂ© ridiculisĂ©e.Eh bien, tu m'aimes bien. Je suis ta prĂ©fĂ©rĂ©e. Je vous aime aussi. Votre personne prĂ©fĂ©rĂ©e est vous. FrĂšre Jin! »Chi sentit qu'il Ă©tait sur le point de vomir."Tu m'aimes?" Hang Jin a pris la main de Chi et a dit Tirez le crochet! Vous ne pouvez pas vous repentir si vous tirez sur le crochet. Ta petite fille ne peut que m'aimer. Vous ne pouvez pas aimer les autres. "Bien, crochet!» Chi Yangyang lui reproche d'ĂȘtre enfantin, mais il tire toujours le crochet avec lui. Quoi qu'il en soit, cela ne peut pas ĂȘtre pris au sĂ©rieux. C'est comme quand il a promis de ne pas l'intimider quand il Ă©tait enfant, il l'a de nouveau harcelĂ©e et a pleurĂ©.Tu es ma petite belle-fille! Hang Jin sourit comme un grand imbĂ©cile.Oui, je suis votre petite belle-fille. Il sentit que son poids devenait de plus en plus lourd. Levant les yeux, Hang Jin, le fils de pute, s'est endormi.Fils de pute, je n'ai rien Ă boire. Je ferai de mon mieux pour crĂ©er des ennuis Ă cette fille. Il a fallu neuf vaches et deux tigres Ă Chiyang Yang pour aider Hang Jin Ă monter dans le bus et Ă attacher sa ceinture de sĂ©curitĂ© pour lui. Soyez gentil, petit-fils. Ne bouge pas. Grand-mĂšre vous ramĂšnera Ă la allait laisser Hang Jin monter sur la banquette arriĂšre, mais mĂȘme s'il se saoulait comme ça, il ne voulait pas. Il s'est juste assis sur le siĂšge Yangyang doute vraiment que ce petit-fils prĂ©tende intentionnellement ĂȘtre ivre pour la guĂ©rir, mais il ne semble pas qu'il soit si douĂ© pour Chi Yang Yang conduisait, elle regardait de temps en temps Hang Jin. Voyant qu'il Ă©tait honnĂȘte, elle accĂ©lĂ©ra sa vitesse. En plus d'une demi-heure, elle a finalement ramenĂ© Hang Jin Ă la Jin est ivre et se couche. Lorsque Chi Yang Yang l'aide Ă se coucher et se couche, elle se sent presque Ă©puisĂ©e. Mais Hang Jin ne s'est toujours pas arrĂȘtĂ©. Il crie Petits quatre yeux, j'ai soif. Versez-moi un verre d' Yangyang aimerait verser une tasse de mĂ©dicament contre les rats Ă Hang Jin et l'empoisonner Ă mort, mais tuer vaut sa vie. Elle ne veut pas Ă©changer sa prĂ©cieuse vie contre sa vie bon versa une tasse d'eau bouillie tiĂšde et la lui tendit, mais il ne l'atteignit pas. Il semblait qu'il Ă©tait ivre. Il ne pouvait pas s'en empĂȘcher, alors il devait l'aider et lui donner de l'eau Jin s'appuya sur sa poitrine et elle ressemblait vraiment Ă un petit-fils, ce qui adoucit le cĆur de Chi Yangyang et ne put s'empĂȘcher de le regarder son point de vue, je peux voir les cils de Hang Jin. Les cils de Hang Jin sont trĂšs longs et beaux, surtout sur son visage. Ils ne lui correspondent pas trĂšs n'est pas si arrogant en temps normal, en fait, il est trĂšs populaire. Malheureusement, quelle que soit son apparence, il ne peut pas rĂ©sister Ă son tempĂ©rament aux yeux de Chiyang Yang, Hang Jin, un homme, n'a pas de belle a malaxĂ© son visage et l'a pĂ©tri en toutes sortes de laideurs la laideur, la laideur, vous font faire de mauvaises choses.Petits quatre yeuxâŠÂ» lui cria soudain Hang Jin. Il avait tellement peur que Chi Yang a rapidement relĂąchĂ© sa main. Quel est le problĂšme avec vous, monsieur?"Ce que vous avez dit n'est pas un mot!" Ils Ă©taient presque ivres endormis, mais Hang Jin s'accrochait toujours au fait qu'elle l'aimait."Monsieur. accrocher, savez-vous qui vous attend maintenant? Vous ĂȘtes si affectueux que je vous crois. Heureusement, elle Ă©tait trĂšs rationnelle. Elle ne le croirait pas tant qu'elle ne savait pas que cet homme pouvait trouver toutes les mauvaises maniĂšres pour vous le croyez, le petit-fils rĂ©pandra des rumeurs sur son amour secret pour lui demain.Allongez-vous et ne bougez pas, ou je vous jetterai par la fenĂȘtre.» AprĂšs avoir nourri l'eau, Chi Yang a mis Hang Jin dans le alla dans la salle de bain chercher une serviette pour essuyer son visage. Quand elle l'aida Ă s'essuyer le visage, elle n'oublia pas de se venger. Elle le pinçait deux fois de temps en fois que tout fut fait, elle pensa que lorsqu'elle fut enfin soulagĂ©e, elle dĂ©couvrit soudain que la tempĂ©rature de Hang Jin Ă©tait trĂšs Ă©levĂ©e. Elle a immĂ©diatement mis son visage sur son front. Merde, elle avait vraiment une forte Jin est un homme qui ne peut pas attraper froid pendant 360 jours par an. Pourquoi a-t-il soudainement eu une forte fiĂšvre aujourd'hui?Chi Yangyang est pressĂ©Elle n'est pas non plus facile d'attraper un rhume et d'avoir de la fiĂšvre. Il n'y a pas d'antipyrĂ©tique de secours Ă la maison. Ă ce moment, la pharmacie peut ĂȘtre importe que la pharmacie soit fermĂ©e ou non, Chiyang Yang est toujours pressĂ©e en bas. La pharmacie du bĂątiment communautaire a Ă©tĂ© fermĂ©e. Elle a marchĂ© plusieurs feux avant de trouver une pharmacie toujours en des mĂ©dicaments pour rentrer Ă la maison, Chi Yang Yang a quand il est rentrĂ© Ă la maison, Hang Jin Ă©tait allongĂ© par terre.Hang Jin, comment ĂȘtes-vous arrivĂ© au sol?» Si elle ne le rĂ©veillait pas, elle faisait de son mieux pour le ramener au a dit qu'elle devait lui avoir trop dĂ» dans sa derniĂšre vie. Dans cette vie, elle est venue rembourser ses dettes. Elle a un rhume et de la fiĂšvre, et il peut rouler au peu importe qu'il roule sur le sol. Aujourd'hui, elle ne le laissera pas s'allonger sur le sol pendant une nuit plus, il est malade et il ne retournera pas chez lui pour laisser sa mĂšre s'occuper de lui. C'est elle qui travaille aussi le Bureau des affaires civiles qui est en congĂ©. Sinon, elle doit profiter de son ivresse et le tirer pour obtenir le certificat de divorce. AprĂšs cela, elle suivra sa propre voie et personne ne le cellule du corps de Chi Yangyang repousse Hang Jin. Cependant, il prend bien soin de lui. Il le nourrit avec des antipyrĂ©tiques et prend sa tempĂ©rature de temps en temps. Au moment oĂč sa fiĂšvre s'est calmĂ©e, il Ă©tait presque l'aube. Il avait tellement sommeil qu'il s'est endormi Ă cĂŽtĂ© de lui. Chapitre 1734 Quand Hangjin s'est rĂ©veillĂ© dans un Ă©tat second, il a ouvert les yeux et a vu qu'il y avait un petit imbĂ©cile dans ses bras. Il semblait que le mal de tĂȘte ivre n'avait pas fait mal pendant un instant. Il la prit doucement dans ses bras et l'emmena doucement avec lui petit idiot, je ne savais pas comment enlever mes lunettes quand je enleva les yeux pour elle et vit que ses cernes semblaient ĂȘtre plus lourds. Il se souvenait vaguement qu'il avait eu une forte fiĂšvre la nuit derniĂšre. Le fou n'avait pas moins de travail pour s'occuper de Jin agita le bout de son nez et le coin de ses lĂšvres se souleva lĂ©gĂšrement involontairement Petits quatre yeux, tu as encore une petite conscience!FrĂšre JinâŠÂ»"Bien?" Tout Ă coup, je l'ai entendue s'appeler doucement. Pendant un moment, Hang Jin sentit qu'il avait une illusion. Il fixa les yeux et vit que les quatre petits yeux parlaient, "qu'est-ce qu'il y a?"Ne âŠâŠÂ» Chi Yang Yang secoue la tĂȘte, son expression semble trĂšs douloureuse."Rien?" La fille ne l'a-t-elle pas laissĂ© prĂšs d'elle dans son rĂȘve? En pensant Ă cela, le visage de Hang Jin Ă©tait un peu sombre. Je te dĂ©teste juste?»Papa, maman Ne pars pas. Je suis le gouvernement central. »Chi Yangyang tendit soudain la main et saisit fermement Hang Jin. C'Ă©tait aussi serrĂ© qu'une paille de sauvetage. N'y allez pas! N'y allez pas! Ne partez pas! "Chiyangyang, je ne suis pas tes parents. Ne crie pas! Hang Jin savait qu'elle avait un autre cauchemar. Il l'a soulevĂ©e comme un poulet et l'a secouĂ©e deux fois. Finalement, il a sorti Chi Yang du rĂȘve s'est rĂ©veillĂ©, mais dans le rĂȘve de voir cette terrible sensation d'Ă©touffement est toujours. Chi Yangyang regarda Hang Jin en tremblant, et il la tira de l'abĂźme sombre."Chiyangyang âŠâŠ" rugit Hang Jin, mais il ne put plus parler avant que les mots ne sortent, parce que Chi Yang se jeta soudainement dans ses bras, "frĂšre Jin, serre-moi fort!"Quand Chi Yangyang est nĂ©, Hang Jin connaissait la fille. Elle la connaissait depuis plus de 20 ans. Elle lui a demandĂ© de la tenir plusieurs fois et il pouvait le compter d'une seule se souvenait clairement que la premiĂšre fois qu'elle lui avait demandĂ© de la tenir dans ses bras, c'Ă©tait quand il avait neuf ans et qu'elle en avait six, alors qu'elle Ă©tait juste en premiĂšre annĂ©e de l'Ă©cole cette Ă©poque, il y a eu un massacre dans tout le pays dans la ville de Jiangbei. Ses parents Ă©taient occupĂ©s Ă leur travail Ă l'Ă©poque, et son grand-pĂšre n'Ă©tait pas Ă Jiangbei, elle a donc dĂ» rester seule Ă la jour-lĂ , il l'a renvoyĂ©e chez elle aprĂšs l'Ă©cole comme d'habitude. Lorsqu'il a appris qu'il n'y avait personne dans sa famille, il lui a demandĂ© de rentrer chez lui avec lui. Mais la fille Ă©tait tĂȘtue et rĂ©ticente, alors il devait d'abord y retourner, puis la nounou Ă la maison lui prĂ©parait de la n'a rĂ©pondu quand il a frappĂ© Ă la porte, il a donc dĂ» sortir sa clĂ© de rechange pour ouvrir la porte. La porte s'ouvrit et la piĂšce Ă©tait sombre. Lorsqu'il a appuyĂ© sur la touche pour allumer la lumiĂšre, la lumiĂšre de la maison ne s'est pas allumĂ©e piscine centraleâŠÂ» Il a criĂ© et criĂ© plusieurs fois, mais personne n'a rĂ©pondu. Alors qu'il marchait vers sa chambre, une petite silhouette vint Ă lui dans le coin. Il savait que c'Ă©tait elle et la rattrapa rapidement. Puis il l'entendit dire frĂšre Jin, tiensserre moi."Plus tard, j'ai dĂ©couvert que c'Ă©tait le court-circuit chez elle. Elle Ă©tait noire et effrayĂ©e seule Ă la maison. Elle a fait de nombreux appels Ă ses parents, mais personne n'a rĂ©pondu. Elle avait tellement peur qu'elle s'est cachĂ©e jusqu'Ă ce qu'il vienneDepuis, tant que ses parents et ses proches ne sont pas Ă la maison, qu'elle le veuille ou non, il restera chez elle avec elle jusqu'Ă ce que sa famille deuxiĂšme fois, alors qu'elle Ă©tait au collĂšge, il y a eu une violence Ă©tudiante dans son Ă©cole cette annĂ©e-lĂ . Une fille a Ă©tĂ© dĂ©shabillĂ©e par plusieurs filles, a pris une vidĂ©o et l'a publiĂ©e sur Internet. La fille a sautĂ© hors du bĂątiment et s'est fille qui s'est suicidĂ©e en sautant d'un immeuble est sa meilleure amieQuand elle le savait, elle se blottit Ă l'endroit oĂč la fille sursauta pendant quelques heures. Lorsqu'il a appris la nouvelle, elle l'a vu ce jour-lĂ . Ses larmes ont brisĂ© la banque et ont dit "frĂšre Jin, tiens-moi!" La troisiĂšme fois, c'Ă©tait la nuit oĂč il est revenu de l'Ă©tranger il n'y a pas longtemps. Cette nuit-lĂ , elle Ă©tait ivre et confuse, jouant des cĂąlins mignons et sauvant ses bras frĂšre Jin, je suis ton petit quatre yeux, je ne t'ai pas vu depuis si longtemps, tu ne veux pas me cĂąliner? Hee hee⊠"Elle se frotta comme un chaton dans ses bras et prit l'initiative d'ouvrir ses bras autour de lui "tu m'embrasses."Chaque fois, Chi Yang a demandĂ© un cĂąlin. Hang Jin l'a gardĂ© Ă l'esprit. Cette fois, elle avait aussi peur. Ce n'est que lorsqu'elle avait peur qu'elle voudrait son Ă©treinte. Hang Jin ne peut pas dire ce qu'elle a ressenti dans son cĆur. Elle a besoin de rĂ©pondre Ă ses besoins et elle n'a besoin de sa perte que lorsqu'elle a peur. Mais le mouvement de sa main n'est pas lent. Il l'a longtemps tenue fermement dans ses bras comme il l'a dit, libĂ©rant une main lĂ©gĂšreet lui caressa le dos, comme d'habitude [confort] De quoi as-tu peur? Si je suis ici, quelqu'un peut-il te manger Non? "Eh bien, c'est normal qu'il ne parle pas. Quand il parle, c'est comme un 250Effectivement, dĂšs qu'il a parlĂ©, Chiyang Yang a commencĂ© Ă se dĂ©battre, mais il n'a pas lĂąchĂ© prise. Vous m'avez laissĂ© vous tenir. Je t'ai tenu et je voulais m'Ă©chapper. Vous pensiez que mon jeune maĂźtre Ă©tait le petit chien de lait que vous avez appelĂ© et âŠÂ»Mon cĆur me faisait mal de colĂšre!Je savais que la nuit derniĂšre, il avait Ă©tĂ© tuĂ© par une forte fiĂšvre. Elle s'est occupĂ©e de lui toute la nuit aprĂšs avoir trop Jin, le roi du monde Chi Yangyang souhaitait pouvoir gronder tous les mots qu'il pouvait le gronder, mais son cerveau avait Ă©tĂ© court-circuitĂ© par sa colĂšre et il ne pouvait plus penser Ă d'autres mots.Plus de conversation?»"Allez-vous en!"Petits quatre yeux, petit loup aux yeux blancs, tu es en train de mourir.Oui, je veux mourir. J'ai la capacitĂ© de tuer ma mĂšre! » Chi Yang Yang tendit le cou et regarda la mort comme s'il rentrait chez lui. Hang Jin ne pouvait pas s'en Jin baiseChi Yangyang putain!»Il pensait que lui seul pouvait baiser, elle aussi!Hang Jin âŠÂ»Il va ĂȘtre Ă©nervĂ© par cet idiot!Chiyangyang âŠÂ»Un jour, elle se retournera et l' tintante!Un coup de tĂ©lĂ©phone a brisĂ© la Jin a pris son tĂ©lĂ©phone portable, est sorti du lit, est sorti de la chambre et s'est simplement connectĂ© Quoi de neuf?»Je ne sais pas ce qu'il a dit lĂ -bas, il a dit s'il ne parle pas, vous ne pouvez pas penser Ă un moyen de le laisser parler?»? Pourquoi n'ai-je pas su que tu Ă©tais inutile? "Eh bien, ne me dis pas de bĂȘtises. Je te donne un autre matin. Si vous ne le laissez plus parler, il y aura de bonnes choses qui vous raccrocha le tĂ©lĂ©phone, se retourna et retourna dans sa chambre pour voir que Chi Yangyang s'Ă©tait levĂ©. Votre patron ne vous a pas demandĂ© de remettre l'affaire Ă d'autres. Que faites-vous si tĂŽt? »Chi Yangyang lui a jetĂ© un coup d'Ćil "idiot, tu crois qu'on a un seul cas?"Hang Jin remonta ses manches. J'ai dit que tu Ă©tais un peu idiot. De qui parles-tu?"Chi Yangyang "qui dois-je dire?"Hang Jin "Oh, je pense que vous ĂȘtes fatiguĂ© de vivre!" Chi Yangyang J'ai dit, si vous en avez la capacitĂ©, vous pouvez me tuer. Sinon, ne vous contentez pas de crier. Chapitre 1735 Tue-la!Hang Jin le voulait vraiment, mais il l'a tuĂ©e. Comment pourrait-il vivre?Vous ne pouvez pas vous battre, vous ne pouvez pas gagner, vous pouvez Jin se retourna et se dirigea vers la salle de bain. De maniĂšre inattendue, Chi Yangyang l'a suivi. Il s'est arrĂȘtĂ© et a prĂ©tendu que vous vouliez profiter de moi "Qu'est-ce que tu veux faire, petit quatre yeux?" Hang Jin, j'ai pensĂ© hier soir que Zhao Ziqian n'est pas une personne sans principes. Il ne vous laissera jamais partir avant qu'il n'y ait aucune preuve que vous n'ĂȘtes pas un meurtrier. Hier soir, il s'est occupĂ© des loisirs de Hang Jin. Chi Yangyang n'Ă©tait pas non plus oisif. Il repensa Ă l'affaire du cadavre de femme sans famille de Hang Jin est cĂ©lĂšbre, mais avant un si grand meurtre, ça ne sert Ă rien de venirHang Jin je veux savoir pourquoi"Pool Yang Yang acquiesce" penseAttendez, je vous le dirai en temps rĂ©el.» Hang Jin a enlevĂ© ses vĂȘtements devant Chi Yangyang, et il avait tellement peur qu'il s'est retournĂ© rapidement. Accrochez, je vous demande d'ĂȘtre sĂ©rieux. Pouvez-vous ĂȘtre sĂ©rieux?"Maintenant pour moi, le bain est l'affaire." Hang Jin a enlevĂ© la derniĂšre chose pour cacher sa honte. Si vous voulez vraiment savoir pourquoi, venez le laver avec moi.»"Hooligan!" Chiyangyang ne peut plus communiquer avec cet homme. Il retourne dans la piĂšce en haletant. Elle savait qu'il n'y avait pas de rĂ©ponse de Hang Jin, alors elle devait trouver Zhao un coup de fil, l'attitude de Zhao Ziqian Ă son Ă©gard Ă©tait beaucoup plus enthousiaste qu'auparavant c'est la banque centrale. Quel est le problĂšme de m'appeler si tĂŽt?"L'Ă©quipe Zhao, je veux juste savoir pourquoi vous avez laissĂ© Hang Jin partir hier", a dĂ©clarĂ© ChiZhao Ziqian Yang Yang, bien que nous ayons trouvĂ© Hang Jin sur les lieux du crime hier, il y a suffisamment de preuves pour prouver qu'il n'est pas un meurtrier. Bien sĂ»r, nous devrions le libĂ©rer.Quelles preuves? chiyangyang a demandĂ© Au fait, Yang Yang, Hang Jin n'est pas un meurtrier. Vous n'avez pas besoin d'Ă©viter les soupçons. L'affaire du cadavre de femme sans tĂȘte a commencĂ© avec vous et Jiang Zhen. Vous pouvez maintenant retourner au travail. »Zhao Ziqian a clairement indiquĂ© qu'il ne voulait pas dire la vĂ©ritĂ©, et Chi Yang n'avait aucun moyen de dire au revoir et a que je ne sache toujours pas comment Hang Jin a prouvĂ© son innocence, au moins elle peut retourner au travail, ce qui est une bonne nouvelle pour Chi Yang.Ă quoi pensez-vous, petits quatre yeux?»La voix de Hang Jin rĂ©sonna soudainement derriĂšre elle. Chi Yang s'est retournĂ© et a vu Hang Jin debout nu devant elle. Elle avait tellement peur qu'elle se couvrit rapidement les yeux Hang Jin, toi et moi sommes tous des adultes. Pouvons-nous faire des grimaces?Hang Jin n'a jamais su quel Ă©tait son visage Oui, vous et moi sommes des adultes, et j'ai dormi par vous. Vous avez vu toutes les choses que vous ne devriez pas voir. Est-il nĂ©cessaire de s'habiller proprement devant vous?Chiyangyang âŠÂ»Il est difficile de Jin Eh bien, mon jeune maĂźtre sort. Tu peux dormir Ă la maison et t'emmener manger des plats dĂ©licieux quand je reviens le je sais comment le manger moi-mĂȘmeHang Jin s'habilla lentement "Je veux que tu choisisses?"Chiyangyang "eh bien, quand je ne l'ai pas dit."Je ne connais pas son tempĂ©rament. Pourquoi vous battez-vous toujours avec lui? A-t-elle trop mangĂ© ces deux jours?......Hang Jin vient de partir, et Chi Yang s'est simplement nettoyĂ© et est allĂ© au Bureau. Parce que le nouveau venu a repris les travaux du ComitĂ© central du ComitĂ© central du Parti communiste chinois, qui a Ă©tĂ© confus pendant un certain temps. Lorsque Jiang Zhen Ă©tait en colĂšre et ne savait pas oĂč aller, l'apparition du ComitĂ© central du ComitĂ© central du Parti communiste chinois a Ă©tĂ© son sauveur Xiaofan, vous devriez renvoyer le cas du cadavre de femme sans tĂȘte au ComitĂ© central. du Parti communiste chinois, et vous ĂȘtes toujours occupĂ© avec votre cas."Bien!" Li Xiaofan a emmenĂ© Chi Yangyang et est parti en disant Yang Yang, Dieu merci, tu n'as pas Ă©tĂ© suspendu.»Chi Yang Yang a retirĂ© sa main sans laisser de trace Nous n'avons pas pris en charge d'autres cas au milieu du chemin. Comment pouvez-vous donner l'impression que le ciel tombe? "En fait, la clĂ© n'est pas de reprendre l'affaire. C'est le Dr Jiang. » Li Xiaofan a regardĂ© autour de lui et a confirmĂ© que personne ne venait de continuer, depuis qu'il est revenu hier, il ne m'a pas bien regardĂ©.Qu'est-il arrivĂ© au Dr Jiang?» Chi a pensĂ© Ă la situation quand il vient de voir Jiang Zhen. Le Dr Jiang n'est-il pas toujours comme ça? Il n'est ni chaud ni froid pour personne. Personne ne peut voir ce qu'il Xiaofan Qui a dit que le Dr Jiang est tiĂšde pour nous tous? Le docteur Jiang est totalement diffĂ©rent de vous. Vous n'avez pas vu l'angle des lĂšvres lĂ©gĂšrement surĂ©levĂ© lorsque vous ĂȘtes revenuLe docteur Jiang et le docteur Jiang sont diffĂ©rents de moi?» Il y rĂ©flĂ©chit. C'est peut-ĂȘtre Ă cause de sa mĂšre.Vous ne l'avez pas trouvĂ©? L'expression dĂ©goĂ»tante de Li Xiaofan selon laquelle vous ĂȘtes stupide, si Ă©vidente que vous ne l'avez pas trouvĂ©e.Haha âŠâŠÂ» Chiyang Yang n'a vraiment pas su, mais il Ă©tait un peu coupable de penser Ă la relation de sa mĂšre. ArrĂȘtez d'en parler et remettez-moi l'affaire.Le rapport d'autopsie est sorti et il n'y a toujours pas de rĂ©sultat utile.» Li Xiaofan a remis le rapport au gouvernement central, "le rapport a Ă©tĂ© lu par le Dr Jiang, laissez-vous le donner Ă l'Ă©quipe de Zhao.""OK, je vais y aller maintenant." Il a pris le rapport et s'est prĂ©cipitĂ© vers Zhao Ziqian. Il voulait non seulement le lui donner, mais aussi obtenir des informations de sa passant devant le bureau de Jiangzhen, Jiangzhen l'a soudainement arrĂȘtĂ©e "centrale, viens Ă mon bureau aprĂšs avoir remis le rapport.""Oui, monsieur," dit Chi......Ă l'heure actuelle, il n'y a pas de progrĂšs nouveau dans le cas des cadavres de femmes sans tĂȘte. Zhao Ziqian est allĂ© Ă la rĂ©union et est juste revenu. Voyant comment il voulait frapper les gens, il savait qu'il avait dĂ» ĂȘtre parce qu'il ne peut pas rĂ©soudre le cas sans l'utiliser. Il n'ose pas avoir de ce moment, il est revenu et a rencontrĂ© Chi Yang. Son visage se tourna rapidement "Yang Yang, voici le rapport.""Dernier rapport d'autopsie." Il a remis le rapport Ă Jiang Zhen et a dit L'Ă©quipe Zhao, quel est le problĂšme avec Hang Jin? Peux tu me dire? "Mais qui est Zhao Ziqian? Vous ne pouvez pas lui arracher la bouche mĂȘme si vous avez des pinces Yang Yang, mon bon Yang Yang, tu as une si bonne relation avec Hang Sishao. Pourquoi ne lui demandez-vous pas, pourquoi voulez-vous me mettre dans lâembarras?J'ai une mauvaise relation avec lui», a-t-il niĂ©Vous avez une mauvaise relation? Zhao Ziqian a fait deux gestes alĂ©atoires, puis hier, il vous a dit Oh, vous pensez que je n'ai pas dit, je n'ai rien vu. "Chi Yangyang a rougi d'embarras, mais il a quand mĂȘme essayĂ© de revenir aux affaires L'Ă©quipe de Zhao, hier nous sommes tellement nombreux Ă avoir vu Hang Jin plein de sang sur les lieux du crime, il Ă©tait le plus suspect. Zhao Ziqian regarde Chi Yangyang et se demande Yang Yang, non, je pense que tu t'inquiĂštes pour lui. Vous le protĂ©giez sur les lieux hier. Pourquoi doutez-vous de lui aujourd'hui? " Chapitre 1736 Je ne l'ai pas protĂ©gĂ©, je ne m'inquiĂ©tais pas pour lui, et encore moins pour douter de lui. Tout Ă coup, Chi a estimĂ© que ces hommes n'Ă©taient pas trĂšs bons en communication. Quand elle disait quelque chose de sĂ©rieux, ils aimaient lui parler Ăquipe Zhao, Ă©coutez-moi et expliquez-le Ziqian "OK, tu dis, j'Ă©coute." Hang Jin est apparu sur les lieux du crime avec du sang sur tout le corps. Il y avait tellement d'yeux qui le regardaient. Il Ă©tait sĂ©rieusement suspectĂ©. Nous devons avoir des preuves solides pour prouver son innocence, plutĂŽt que vous ne parlez de quelque chose. Si tu ne dis rien, tu le laisseras ce qui inquiĂšte Chi central. Elle croit que Hang Jin est innocent et inutile. S'il est innocent, il doit montrer des preuves solides pour que tout le monde se taise. Sinon, si elle se rĂ©pand dans le futur, tout le monde sera comme sa premiĂšre pensĂ©e. Il ne peut se dĂ©barrasser du crime que parce qu'il a des antĂ©cĂ©dents familiaux d'au moins br>.Zhao Ziqian a tapotĂ© l'Ă©paule de Chi Yangyang et lui a rarement parlĂ© sur le ton d'un ancien Yang Yang, il y a des choses qui ne sortent pas et qui ne sortent pas. Tant que vous savez que je ne plie pas la loi pour un gain personnel, Hang Jin n'est pas un meurtrier.Je pense que c'est inutile. Si vous voulez que les autres le croient, vous devez montrer des Ziqian a ajoutĂ© Vous n'avez pas Ă vous soucier de Hang Jin. Revenez maintenant Ă votre travail, trouvez des preuves solides et coopĂ©rez avec nous pour retrouver le Yangyang "L'Ă©quipe Zhao âŠâŠ"L'Ă©quipe Zhao, vient de recevoir le rapport, rue Liyuan n ° 98 et a trouvĂ© un cadavre fĂ©minin sans tĂȘte. Un policier est venu se prĂ©senter Ă la hĂąte et Zhao Ziqian a Ă©tĂ© abasourdi. Bon sang, reviens. C'est ma vie. "Il a rapidement dit Yang Yang, tu vas appeler Jiang Zhen et tu vas ensemble sur les lieux du crime.»......Ă l'heure actuelle, il s'agit du quatriĂšme cas de cadavre fĂ©minin sans est arrivĂ© sur les lieux du crime et qu'il a vu la femme sans tĂȘte morte allongĂ©e sur le lit, il sentait toujours son crĂąne engourdi. Quel genre de psychopathe ce meurtrier tuerait-il ces femmes encore et encore?Jiang Zhen la regarde Yangyang âŠâŠÂ»Chi Yangyang a pris une profonde inspiration "professeur, je vais bien." En tant que mĂ©decin lĂ©giste, si ce genre de scĂšne a peur, comment peut-elle aider les morts Ă obtenir justice, comment peut-elle trouver le meurtrier qui a tuĂ© leurs parents BientĂŽt, Chi a mis son cĆur et son Ăąme dans son travail, examinant les cicatrices sur les morts, et extraire les substances puissantes restantes des bien chargĂ©e, puis occupĂ©e jusqu'au soir, les travaux ne sont toujours pas terminĂ©s. Hang Jin n'a pas vu Chi Yang quand il est rentrĂ© chez lui. Il l'a appelĂ©e la premiĂšre fois, mais personne n'a rĂ©pondu au tĂ©lĂ©phone. Il Ă©tait tellement en colĂšre qu'il a grondĂ© Petits quatre yeux, je t'ai dit d'attendre Ă la maison. Tu veux aller dehors. Vous ĂȘtes si courageux. Je ne prendrai pas soin de vous Ă votre une journĂ©e bien remplie, Hang Jin n'aimait pas la puanteur de son corps, mais il n'avait pas le temps de le nettoyer. Il a conduit directement au Bureau, mais il a Ă©tĂ© bloquĂ© dĂšs qu'il Ă©tait sur le point d'entrer.Monsieur, c'est un domaine important du dĂ©partement mĂ©dico-lĂ©gal. Personne ne peut y de cela, Hang Jin s'est prĂ©cipitĂ© Ă l'intĂ©rieur et a dit Tu es aveugle? OĂč Laozi Ă©crit-il les mots les oisifs et les autres»Le policier s'est de nouveau arrĂȘtĂ© ce monsieur, je vous arrĂȘterai si je rentre par effraction.»Hang Jin Appelez le petit-fils de Zhao Ziqian, et le garçon surnommĂ© Jiang de votre dĂ©partement mĂ©dico-lĂ©gal. Demandez-leur si je peux entrer dans votre service mĂ©dico-lĂ©gal. "Merde, vous devez ĂȘtre arrĂȘtĂ© pour trouver votre propre femme. Ce n'est pas un jour pour les gens Ă Ă temps, laissez Jiang Zhen qui passait voir cette scĂšne, la police lui a immĂ©diatement demandĂ© de l'aide docteur Jiang, ceciâŠÂ»Jiang Zhen donne-le-moi ici. Vous pouvez aller faire votre travail. »Officier oui».Hang Jin sourit Je pensais que tu allais faire semblant de ne pas me connaĂźtre.»Jiang Zhen est-ce que je te connais?»Hang Jin "Je ne sais pas."Je veux en quelque sorte battre ce Zhen "que faites-vous ici?"Hang Jin "trouve quelqu'un."Jiang Zhen dĂ©solĂ©! Notre personnel ici ne reçoit pas d'amis pendant les heures de travail. "Quand Hang Jin s'est approchĂ© de Jiang Zhen, il a soudainement baissĂ© la voix Jiang, ne donne pas une apparence digne devant moi. Chi Yangyang ne comprend pas votre rĂ©flexion prudente. Je le comprends trĂšs bien. Tu ne veux pas la bouger. ""Qu'est-ce que tu sais?" Jiang Zhen reniflaLe bourdonnement froid de Jiang Zhen Ă©tait une provocation claire. Hang Jin a attrapĂ© le collier de Jiang Zhen et a dit Je vous ai prĂ©venu. Tu ne comprends pas les paroles des gens? » Jiang Zhen a dĂ©clarĂ© Chiyang ne vous aime pas. MĂȘme si vous la trompez pour qu'elle se marie avec vous par des moyens inappropriĂ©s, son cĆur ne vous appartiendra jamais. Et cette sociĂ©tĂ© est une sociĂ©tĂ© de concurrence loyale. Chacun a le droit de vivre une vie heureuse et de travailler dur. "Hang Jin ah concurrence loyale? Quand je l'ai connue, tu ne savais mĂȘme pas ça dans ce coin du monde. Comment osez-vous parler de concurrence loyale avec moi? "Hang Jin, qu'est-ce que tu fais?» Chi Yangyang ne savait pas oĂč s'enfuir et a forcĂ© Hang Jin Ă s'Ă©loigner. Tu sais oĂč c'est? Est-ce lĂ que vous pouvez jouer? "Chiyangyang repousse le comportement de Hang Jin, ce qui le met extrĂȘmement en colĂšre chiyangyang âŠâŠÂ»Chi Yang Yang peut-il l'ignorer, a immĂ©diatement regardĂ© Jiang Zhen "professeur, ça va?"Jiang Zhen secoua la tĂȘte "Je vais bien."Hang Jin "mon garçon, je suis douĂ© pour jouer."Chiyangyang professeur, je vais dire pardon pour lui. Ne le connais Zhen a souri "il est lui, vous ĂȘtes vous, vous ĂȘtes deux individus complĂštement diffĂ©rents, vous n'avez pas Ă vous excuser pour son caractĂšre dĂ©raisonnable, et encore moins je vais vraiment bien."Jiang Zhenyue est tellement raisonnable, et Chi Yangyang pense que Hang Jin fait des ennuis sans raison, et son visage est un peu perdu professeur, si vous revenez le premier, je lui parlerai Zhen hocha la tĂȘte Eh bien. Parlez-lui de ça. Nous sommes toujours impliquĂ©s dans l'autopsie. Ne t'inquiĂšte pas. "Ce n'est pas urgent. En fait, comment Chiyang peut-il ne pas ĂȘtre urgent? C'est le quatriĂšme homicide actuellement. S'il ne le rĂ©sout pas, il y aura des victimes professeur, ne vous inquiĂ©tez pas, je sais comment faire.» DĂšs que Jiang Zhen est parti, Chi Yang a juste regardĂ© Hang Jin, ses yeux déçus par de nombreuses autres Ă©motions Hang Jin, vous mangez et buvez quand vous ne faites pas des affaires toute la journĂ©e, mais vous devez comprendre que tout le monde peut avoir une si belle vie. Si je perds cet emploi, je ne peux mĂȘme pas subvenir Ă mes besoins. De plus, mon travail n'est vraiment pas une blague. S'il y a un glissement, plus de personnes peuvent ĂȘtre blessĂ©es. Comprenez vous? "Hang Jin sourit soudain, mais le sourire Ă©tait un peu froid Chi Yangyang, protĂ©geant les autres hommes devant moi, je te donnerai une chance, s'il y a une prochaine fois, ne me blĂąmez pas d'ĂȘtre impoli avec vous. "Puis il est âŠÂ»Faites le mal! Cela a dĂ» ĂȘtre le pĂ©chĂ© de sa derniĂšre vie. Chapitre 1737 De retour dans son bureau, Chi est revenu au bureau de Jiang Zhen Professeur, je suis vraiment dĂ©solĂ© pour ce qui vient de se passer! L'homme de Hang Jin Ă©tait juste retenu par des gens de petite Ă grande taille. Il ne savait pas quoi dire, mais son cĆur Ă©tait vraiment bon. "Chi Yangyang s'excuse encore et encore pour Hang Jin. Elle ne comprend peut-ĂȘtre pas son esprit, mais le spectateur Jiang Zhen peut voir clairement. Elle se considĂšre comme la personne de Hang pourquoi pendre Jin peut-il laisser Chi Yang Yang le protĂ©ger ainsi? Jiang Zhen Ă©tait en colĂšre dans son cĆur, mais il l'a trĂšs bien couvert, et il est toujours restĂ© silencieux Yang Yang, pourquoi vous excusez-vous pour lui? En fait, vous et lui n'ĂȘtes que des connaissances. Il n'y a pas de relation spĂ©ciale entre vous. Ce qu'il a fait n'a rien Ă voir avec vous. "Chi Yangyang en fait, nous sommesâŠÂ»Avant que les mots mari et femme» ne soient prononcĂ©s, Jiang Zhen l'a interrompue Le ComitĂ© central, lorsque vous travaillez, concentrez-vous sur le travail, ne dĂ©rangez pas le travail Ă cause des autres et des choses.»Chi Yangyang "professeur, je suis dĂ©solĂ©!"AprĂšs une nuit bien remplie, il n'avait pas le temps de rentrer chez lui, et naturellement il n'avait pas le temps de gĂ©rer ce que faisait Hang matin, alors que je prenais mon petit-dĂ©jeuner, j'ai entendu dire que l'affaire du cadavre d'une femme sans tĂȘte n'Ă©tait pas rĂ©solue, mais le meurtre Ă©tait toujours en cours. Le Bureau municipal a mis en place une Ă©quipe spĂ©ciale pour rĂ©soudre le cas, et le responsable de l'Ă©quipe spĂ©ciale a Ă©tĂ© personnellement dĂ©pĂȘchĂ© par le Bureau l'arrivĂ©e des gens, les gens du dĂ©tachement de Cangshan ont parlĂ© de l'Ă©quipe Zhao, ce qui prĂ©cĂšde a envoyĂ© des gens pour prendre en charge cette affaire. Il est clair qu'ils ne sont pas satisfaits de votre leadership. »Zhao Ziqian quelle absurditĂ©? Si je peux rĂ©soudre le cas, le patron peut-il envoyer quelqu'un d'autre? »Zhao Ziqian est un homme doux, mais il est Ă©galement bien connu. Jusqu'Ă prĂ©sent, aucun indice n'a Ă©tĂ© trouvĂ© sur cette affaire. Il peut envoyer des personnes plus expĂ©rimentĂ©es pour diriger la solution. Tant qu'il peut rĂ©soudre l'affaire le plus rapidement possible, il n'a pas d' il a Ă©tĂ© assez gĂ©nĂ©reux pour emmener tous les membres de l'Ă©quipe, y compris le dĂ©partement mĂ©dico-lĂ©gal et d'autres dĂ©partements, dĂ©guisĂ©s et attendre tĂŽt le chef aĂ©roportĂ© Ă la Zhen ne se soucie pas beaucoup de cette question. Peu importe qui est envoyĂ© pour prendre en charge le travail, il s'occupe toujours des morts et fait bien son que son travail ait Ă©tĂ© arrangĂ© par Jiang Zhen, elle Ă©tait jeune aprĂšs tout. Elle Ă©tait plus ou moins intĂ©ressĂ©e par le patron Ă envoyer. Debout au bout de la foule, elle tendit encore le cou et regarda la porte.Voici l'homme.» Certaines personnes personnes ont regardĂ© la porte Ă l'unisson. Peu importe qu'ils le regardent ou non. Ils ont tous pris une inspiration froide. C'est l'homme nommĂ© Hang qui a fait une scĂšne dans le bureau l'autre âŠÂ»Quel est le problĂšme avec Hang Jin?Chi Yangyang veut instinctivement s'avancer et laisser Hang Jin se taire, mais Jiang Zhen tousse Ă cĂŽtĂ© d'elle, ce qui la fait s'arrĂȘter et regarder Hang Jin avec anxiĂ©tĂ©. Aujourd'hui, comme d'habitude, Hang Jin marche avec une traĂźnĂ©e sur son visage, de peur que les autres ne le connaissent pas. La diffĂ©rence est qu'il porte un uniforme de police aujourd'hui. On dirait qu'il a fallu beaucoup de temps Ă Chi Yangyang pour penser Ă un mot - tentation uniforme!Elle Ă©tait effrayĂ©e par le mot dans son esprit. Elle ne savait pas ce qu'Ă©tait Hang Jin. Comment pouvait-elle penser Ă un mot si haut de gamme pour le dĂ©crire?PĂ©chĂ©!Lorsque Chiyang Yang Ă©tait confus, Zhao Ziqian s'est immĂ©diatement manifestĂ© Bienvenue dans l'Ă©quipe de Hangzhou!»Hang Jin s'avance, mais il ignore Zhao Ziqian et les autres qui l'accueillent chaleureusement. Il se rend directement Ă Chi Yangyang et pose sa main sur son Ă©paule "Petits quatre yeux, nous allons travailler ensemble ensuite.""Tu?" Ce n'est pas qu'il soit mĂ©prisĂ© par Chi Yangyang, mais que Hang Jin, qui n'a jamais rien fait auparavant, peut devenir le top leader de l'Ă©quipe projet?Le suspect s'est transformĂ© en enquĂȘteur!De quel genre d'opĂ©ration s'agit-il? Hang Jin Zhan passa ses bras autour de Chi Yang Yang, et regarda les autres avec dĂ©sinvolture Eh bien, je suis envoyĂ© par le haut pour enquĂȘter sur l'affaire, pas pour marcher Ă travers la scĂšne. SurnommĂ© Zhao, j'organiserai une rĂ©union avec le personnel des rencontres et leur raconterai tous les dĂ©tails de l'affaire. "A ce moment, Chi Yangyang s'est calmĂ©, a frappĂ© la main de Hang Jin sur son Ă©paule, s'est cachĂ© derriĂšre Jiang Zhen et a immĂ©diatement senti les yeux mĂ©contents de Hang Jin. Cependant, il est rare que cet homme n'ait pas pris l'occasion en considĂ©ration.......Salle de Ziqian est la personne en charge du stade prĂ©coce de l'affaire. Ă l'heure actuelle, il en sait le plus sur tous les indices dont il dispose. Alors il explique le dĂ©but. AprĂšs cela, il regarde Hang Jin et dit "Accrochez l'Ă©quipe, tous les indices que nous avons actuellement sont ceux-ci."Hang Jin a soulevĂ© les jambes d'Er Lang d'une maniĂšre trĂšs mĂ©diatisĂ©e et n'a pas immĂ©diatement pris les paroles de Zhao Ziqian. Au lieu de cela, il a lentement regardĂ© les personnes prĂ©sentes, puis a ajoutĂ© lentement "Les autres ont-ils quelque chose Ă ajouter?"Personne ne yeux de Hang Jin se tournĂšrent et tombĂšrent sur Jiang Zhen Docteur Jiang, le mĂ©decin lĂ©giste a-t-il trouvĂ© des indices plus favorables?»Jiang Zhen pas encore».Hang Jin sourit et tourna les yeux. Il est tombĂ© sur Chi Yangyang Ă cĂŽtĂ© de Jiang Zhen et a dit Docteur Chi, qu'en est-il de vous?»Chiyangyang aimerait lui dire Oncle pendre, c'est l'heure du travail maintenant. Plusieurs cas majeurs de la vie humaine ne sont pas votre place pour jouer. Veuillez ĂȘtre elle lui a quand mĂȘme donnĂ© assez de visage "L'Ă©quipe de Hangzhou, pas pour le moment."Hang Jin s'est soudainement levĂ© et a donnĂ© un coup de pied Ă la chaise Qu'est-ce que tu fais dans le bureau? En attendant le dĂ©jeunerUn groupe de personnes "âŠ"Comme prĂ©vu, ce monsieur est toujours Jin a ajoutĂ© Dr. Jiang, veuillez retourner examiner le corps pour voir s'il manque des dĂ©tails. Zhao, veuillez demander Ă certaines personnes d'emmener le Dr chi sur les lieux avec moi. "Le travail de Chiyangyang a toujours Ă©tĂ© arrangĂ© par Jiangzhen. Hang Jin a attrapĂ© des gens Ă ses cĂŽtĂ©s, mais Jiangzhen n'a toujours pas dit un mot de plus. Chiyangyang ne pouvait pas imaginer aussi loin. Quoi qu'il en soit, ce sont tous les supĂ©rieurs qui ont organisĂ© le travail.......Chiyangyang est aussi lente qu'une idiote dans l'aspect Ă©motionnel, mais sa rĂ©action au travail est trĂšs spirituelle. C'est grĂące Ă ses efforts et Ă son talent que Jiang Zhen peut l'emmener travailler Ă mĂšre de Chiyangyang est mĂ©decin lĂ©giste. Grand-pĂšre Chi pense que les filles ne sont pas bonnes dans ce domaine aprĂšs tout, alors il empĂȘche intentionnellement ou non le chiyangyang de se dĂ©velopper dans ce domaine. De maniĂšre inattendue, aprĂšs un grand cercle, le chiyangyang fait toujours du travail le chemin de la scĂšne, Hang Jin a conduit une voiture spĂ©ciale pour lui depuis le Bureau. Quand il a vu Chi Yang monter dans une autre voiture, il a criĂ© Docteur Chi, prends ma voiture et dis-moi les dĂ©tails de l'affaire sur la du travail. Il n'y a aucune raison pour que le chi yang s'oppose, et encore moins que son circuit cĂ©rĂ©bral ne peut penser Ă rien d'autre. Elle s'est assise dans le siĂšge du vice-conducteur de Hang Jin et a commencĂ© Ă parler de la situation des morts lorsqu'elle Ă©tait assise. Qui aurait pu s'attendre Ă ce que Hang Jin l'interrompe sans hĂ©sitation "Je sais ce que tu as dit, puis-je dire quelque chose d'utile?" Chapitre 1738 C'est tout ce que je sais pour le moment.» Chi Yang Yang regarde Hang Jin et voit sa fiertĂ©. Elle dĂ©cide de le frustrer. D'ailleurs, mĂȘme si j'ai quelques indices utiles ici, pouvez-vous les comprendre? »Hang Jin "petits quatre yeux, Ă tes yeux, je ne suis pas une chose pareille?" Ătes-vous quelque chose que vous ne comprenez pas vous-mĂȘme?» Chi ne nie pas Hang Jin, c'est un homicide. Si vous ne retrouvez pas le meurtrier, il y aura peut-ĂȘtre plus de personnes tuĂ©es. Ce n'est vraiment pas un endroit pour jouer. Vous pouvez bien faire. Vous pouvez prendre l'initiative de vous retirer et demander au supĂ©rieur d'envoyer un vrai policier puissant pour enquĂȘter sur l'affaire. "Hang Jin "Pensez-vous que je veux venir?" Il est occupĂ© avec beaucoup de choses. Il n'a pas l'esprit libre pour faire face Ă ces meurtres. M. Qian lui a demandĂ© plusieurs fois mais n'a pas bougĂ©. S'il ne voyait pas un loup dĂ©guisĂ© en mouton autour de Chi Yangyang qui la regardait, il ne prenait pas du tout l' au moins pour empĂȘcher les autres de creuser son coin quand il n'est pas ne voulait pas que sa belle-fille soit volĂ©e un jour, et il chanterait et conquerrait Ă©tait encore plus confus puisque tu ne veux pas venir, pourquoi veux-tu venir? Vous souhaitez trouver quelque chose Ă faire pour nous, car notre Ă©quipe n'est pas assez chaotique? "Hang Jin tendit la main, pinça l'oreille de Chi et la tordit EspĂšce de cochon stupide! Si je meurs un jour, je vous mettrai en colĂšre. "C'est aussi sa faute. Sachant que quelques mots de cette femme peuvent lui faire cracher du sang, mais il est toujours autour d'elle. C'est le fou qui ne peut pas penser tout le Yangyang sentit ses oreilles douloureuses, pleines de plaintes mais n'osa plus dire un mot. En outre, on estime qu'une oreille lui fera essorer le vin et les lĂ©gumes le chemin de la scĂšne du crime, Hang Jin n'a pas continuĂ© Ă demander des ennuis Ă Chi Yang, qui Ă©tait si heureux qu'il pouvait encore penser Ă l'avenir de l' meurtrier a Ă©videmment une forte connaissance anti-dĂ©tective, la scĂšne du crime est en dĂ©sordre, mais il n'y a plus d'empreintes digitales, d'empreintes de pas et d'autres indices Ziqian a dĂ©jĂ rĂ©solu de nombreux cas, pas un leader incompĂ©tent, mais cette fois il n'a aucune idĂ©e de ce cas. Ă l'heure actuelle, il n'a trouvĂ© aucun lien entre ces ĂȘtre entrĂ© sur la scĂšne du crime, Hang Jin n'a rien fait d'autre que regarder attentivement chaque coin de la scĂšne. Il a demandĂ© Vous pouvez collecter l'ADN du sang laissĂ© sur les lieux qui ne correspond pas aux remarques de la victime?»Chi Yangyang Non. Tous les Ă©chantillons de sang que nous prĂ©levons proviennent des morts. "Hang Jin mon nom de famille est Zhao. Dites-moi quelles sont les occupations des quatre morts et oĂč se trouve respectivement l'adresse du crime. " Zhao Ziqian a immĂ©diatement rĂ©pondu la premiĂšre victime Ă©tait un maraĂźcher vendant des lĂ©gumes sur le marchĂ© aux lĂ©gumes, la deuxiĂšme victime Ă©tait une femme au foyer ordinaire, la troisiĂšme victime Ă©tait un agent immobilier et l'identitĂ© de la quatriĂšme victime n'a pas encore Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©e. Les quatre cas se sont produits Ă District de Cangshan, le premier au 28 manjiaxiang, le deuxiĂšme au 46 qiaojiaxiang, le troisiĂšme au 55 Jiangjin Road, Cangshan District, et le quatriĂšme au 98 Liyuan street. "Hang Jin "vĂ©rifiez Ă nouveau s'il y a une intersection entre les quatre personnes."Zhao Ziqian oui».Hang Jin carte».Zhao Ziqian Ă©tait stupĂ©fait. Je ne l'ai pas comment puis-je obtenir la carte?Hang Jin a sorti son tĂ©lĂ©phone portable pour ouvrir la carte de Baidu et a trouvĂ© respectivement quatre sites de crime. Il semblait qu'il avait compris quelque chose. Il a ajoutĂ© Zhao, envoie immĂ©diatement plus de personnes pour renforcer les patrouilles autour du dĂ©tachement.»Zhao Ziqian autour du dĂ©tachement? Le meurtrier n'est pas assez audacieux pour faire un mouvement sur la tĂȘte de Taisui. "Hang Jin oĂč habitez-vousZhao Ziqian C'est au 107 rue Sanyuan prĂšs du dĂ©tachement.»Hang Jin reviens maintenant. Reste Ă la maison ce soir. Vous n'ĂȘtes autorisĂ© Ă aller nulle part. Votre famille n'a pas le droit de sortir. Rappelles toi."Zhao Ziqian "non, Ă©quipe de Hangzhou, l'affaire est Ă un moment critique, comment puis-je rentrer chez moi pour me reposer?"Hang Jin tais-toi! Fais ce qu'on te dit de faire, putain de ne pas parler. "AprĂšs avoir soutenu Zhao Ziqian, Hang Jin a donnĂ© un deuxiĂšme ordre tout le monde retournera au dĂ©tachement pour se reposer, bien dormir, me donner assez d'esprit et ĂȘtre prĂȘt pour la mise en veille.»Tout d'abord, Zhao Ziqian a Ă©tĂ© renvoyĂ©, et maintenant les membres de son Ă©quipe sont retournĂ©s au dĂ©tachement pour se reposer. Personne d'autre ne comprenait ce que Hang Jin voulait faire, mais Chi savait ce que signifiait Hang le chemin du retour, elle a Ă©galement sorti son tĂ©lĂ©phone portable et a ouvert la carte de Baidu Ces quatre lieux de crime ont la forme de cĂŽtĂ©s Ă©gaux et de quatre coins, mais comment ĂȘtre sĂ»r que le prochain emplacement du tueur sera d'abord prĂšs du dĂ©tachement? ? »"Docteur Chi, utilisez votre cerveau pour y rĂ©flĂ©chir." Hang Jin fit un signe de tĂȘte Ă la tĂȘte de Chi Yang Yang et la regarda de haut en bas. Il faut des cerveaux, pas des seins, pour ĂȘtre mĂ©decin lĂ©giste.»Chiyangyang posa rapidement ses mains sur sa poitrine "voyou!"Hang Jin siffla joyeusement, appuya sur l'accĂ©lĂ©rateur et la voiture se prĂ©cipita. Au bout d'un moment, Chi a dĂ©couvert qu'il n'Ă©tait pas dans l'Ă©quipe "oĂč vas-tu m'emmener?"Hang Jin Vous n'ĂȘtes pas revenu la nuit derniĂšre, ce qui m'a fait craindre que vous n'ayez pas bien dormi de la nuit. Maintenant, vous revenez compenser votre sommeil de rĂ©cupĂ©ration et vous avez la force de faire du sport le soir. »Il va s'inquiĂ©ter pour elle?J'ai peur qu'il ne trouve personne Ă intimider sans elle Ă la Yangyang le fixa avec mĂ©contentement Hang Jin, ne prenez pas un meurtre aussi grave comme un drame, d'accord?Hang Jin Chi Yangyang, ne vous sentez-vous pas mal Ă l'aise si vous ne prenez pas de bain en cette chaude journĂ©e? Vous allez bien, mais ne gĂąchez pas mon odorat, d'accord? Hier soir, j'Ă©tais occupĂ©. J'ai suivi Hang Jin sur les lieux du crime ce matin. Chi Yang n'a mĂȘme pas eu le temps de prendre soin d'elle-mĂȘme. Elle Ă©tait juste occupĂ©e, mais elle ne se sentait pas mal Ă l'aise. AprĂšs que Hang Jin ait mentionnĂ© cela, elle a vraiment senti qu'elle n'Ă©tait pas Ă l'aise d'ĂȘtre collanteRestez loin de vous? Te donner une chance de flirter avec d'autres hommes? »Hang Jin tendit la main et lui tapota la tĂȘte. Jiang Zhen n'est pas une bonne personne. Tu devrais rester loin de lui Ă l'avenir."Monsieur. Jiang n'est pas une bonne chose? Ah⊠»Chi Yangyang sourit Ă lui demander de faire pipi et de prendre une photo. Jiang Zhen peut se comparer Ă lui. Il sait seulement d'oĂč vient le visage de la deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration, disant que les gens ne sont pas de bonnes choses?Hang Jin tu te souviens de ce que je t'ai ditChi Yangyang "J'ai besoin de votre approbation pour parler Ă n'importe qui Ă l'avenir."Hang Jin c'est une bonne proposition. Il peut ĂȘtre envisagĂ© pour sa mise en Ćuvre. »Chi Yangyang Hang Jin, je ne comprends pas ce que tu penses toute la journĂ©e? Pourquoi me harceles-tu quand tu as une fille que tu aimes? "Hang Jin Je suis heureux!» Merde, c'est toujours une si mauvaise rĂ©ponse. Chi Yangyang a abandonnĂ© sa thĂ©orie. Cet homme est une vache. Le raisonner, c'est jouer du piano contre le bĆuf. Chapitre 1739 AprĂšs son retour Ă la maison, Chi alla prendre un bain immĂ©diatement, mais Hang Jin n'Ă©tait pas inactif. Il a appelĂ© confirmez l'identitĂ© du quatriĂšme mort dĂšs que possible.»"QuatriĂšme frĂšre, nous avons confirmĂ© que la quatriĂšme victime Ă©tait le guichetier de la banque Jiangbei dans le district de Cangshan il y a quelques minutes", indique le premiĂšre victime Ă©tait un vendeur de lĂ©gumes, la seconde une femme au foyer ordinaire, la troisiĂšme un agent immobilier et la quatriĂšme un employĂ© de banque. Quelle Ă©tait la relation entre les quatre victimes?Le cerveau de Hang Jin tourne rapidement. Les agents immobiliers ont quelque chose Ă voir avec la location et la vente de maisons. Les employĂ©s de banque peuvent consentir des prĂȘts. Il y a un peu de relation entre les deux et l'immobilier, mais rien ne garantit qu'il y ait une relation entre les Jin a immĂ©diatement dit "VĂ©rifiez Ă nouveau s'il y a une maison Ă louer ou Ă vendre sous le nom de la deuxiĂšme femme au foyer dĂ©cĂ©dĂ©e."Si la relation entre les trois est Ă©tablie, quel type de relation le premier dĂ©funt peut-il avoir avec les trois autres?Il a ensuite ajoutĂ© que des vĂȘtements en civil se rendent au marchĂ© aux lĂ©gumes oĂč le premier dĂ©funt vendait des lĂ©gumes pour enquĂȘte. S'il y a des personnes suspectes, elles les ramĂšneront au dĂ©tachement pour surface, l'identitĂ© de ces morts ne semble pas avoir de lien, mais tant qu'ils ont une intersection avec la mĂȘme personne, tant que la personne est dĂ©couverte, le meurtrier ne sera pas difficile Ă trouver. .Vous ne voulez pas rĂ©parer votre sommeil. Pourquoi tu ne dors pas? AprĂšs avoir pris un bain, Chi Yangyang est sortie pour voir Hang Jin tenant son tĂ©lĂ©phone portable dans un Ă©tat secondHang Jin a mis son tĂ©lĂ©phone portable dans sa poche et a dit Ne vous inquiĂ©tez pas de dormir pendant un moment. Je ne laisserai pas au meurtrier une chance de commettre Ă nouveau un Yangyang soupira Hang JinâŠÂ»Hang Jin se tourna pour la regarder, mais elle ne dit pas Pourquoi ne pars-tu pas?» AprĂšs y avoir rĂ©flĂ©chi, Chi a dĂ©cidĂ© d'avoir une bonne conversation avec lui, espĂ©rant le persuader d'abandonner de sa propre initiative Vous n'avez pas d'expĂ©rience en matiĂšre d'enquĂȘte criminelle, mais maintenant vous commandez dans le dĂ©sordre. Comment pouvez-vous dire Ă la famille du dĂ©funt en cas d'autre chose? Comment expliquer aux habitants de la ville de Jiangbei? "Hang Jin accrocha ses lĂšvres et dit avec un sourire Petits quatre yeux, tu t'inquiĂštes pour moi?» Il ne s'agit pas uniquement de vous. Il s'agit de tout notre dĂ©tachement et des habitants de la ville de Jiangbei. Ce n'est pas une blague." Il va faire nuit bientĂŽt. Central Chi est trop inquiet. Cependant, il semble que Han Jin, le fils de pute, ne veuille mĂȘme pas connaĂźtre la gravitĂ© de l'affaire. Il a toujours l'air d'ĂȘtre fou Ă Jin Il y a tellement de dĂ©tritus. Si tu vas te coucher, va te ce moment, comment peut-il dormir Ă la maison "il y a beaucoup de choses Ă occuper dans l'Ă©quipe, je vais retourner au travail en premier."Hang Jin Je te laisse dormir.»Chi Yangyang est trop paresseux pour lui parler. Il se retourne et se dirige vers le vestiaire. Il est rare que Hang Jin ne la harcĂšle plus, mais quand elle change de vĂȘtements et sort, Hang Jin a regardĂ© autour de la maison, je suis allĂ© ouvrir la porte d'entrĂ©e, j'ai constatĂ© que la porte avait Ă©tĂ© verrouillĂ©e de l'extĂ©rieur. Elle ne pouvait pas l' la clĂ©, elle a constatĂ© que la clĂ© manquait Hang Jin, fils de pute, qu'allez-vous faire?»Chi Ă©tait tellement en colĂšre qu'il avait besoin de son tĂ©lĂ©phone portable pour l'appeler et a dĂ©couvert que son tĂ©lĂ©phone portable fils de pute a non seulement verrouillĂ© sa maison, mais a Ă©galement pris son tĂ©lĂ©phone portable. Joue-t-il avec elle en prison cette fois?Chi Yang Yang vraiment appelĂ© tous les jours ne devrait pas ĂȘtre, appeler le sol ne fonctionne quelques tours rapides, elle pensa qu'il y avait encore un ordinateur Ă utiliser Ă la quand elle l'a allumĂ©, elle Ă©tait dĂ©sespĂ©rĂ©e, car Hang Jin avait cassĂ© le rĂ©seau Ă la fils de pute est vraiment familier avec une si mauvaise chose. Elle a juste changĂ© ses vĂȘtements et il a fait tellement de dĂ©sespoir de cause, Chiyang ne peut qu'attendre Ă la il faisait nuit, elle a commencĂ© Ă se sentir mal Ă l' sombre. Le meurtrier sortira-t-il Ă nouveau?Peuvent-ils attraper le meurtrier?Ce sont toutes des inconnues, donc c'est ce moment, Hang Jin n'est pas inactif. Dans la soirĂ©e, il a organisĂ© une embuscade de policiers en civil autour du dĂ©tachement. Tant que le meurtrier ose se prĂ©senter, il est sĂ»r de rattraper le meurtrier.......Zhao Ziqian Ă©tait Ă©galement agitĂ© lorsqu'il a Ă©tĂ© rappelĂ© Ă la maison par le nouveau chef temporaire. Il a bu deux bols de porridge de la maison Ă la nuit et Ă©tait si inquiet qu'il ne pouvait rien manger d' qu'il Ă©tait si anxieux, sa femme s'assit Ă cĂŽtĂ© de lui et le serra dans ses bras Lao Zhao, n'a-t-elle pas dit que le travail Ă©tait terminĂ©? Qu'est-ce que je pense de vous comme plein de soucis? "Tout dans l'Ă©quipe est confidentiel, et sa famille ne peut pas le dire. Mme Zhao ne sait pas que Zhao Ziqian a Ă©tĂ© repoussĂ© par le chef, et Zhao Ziqian ne peut que ravaler l'amertume dans son savait que le coup Ă©tait si gĂ©nial que le vieux Qian l'enverrait Ă la tĂȘte de l'Ă©quipe du projet. Mais Hang lui a demandĂ© de rentrer chez lui et d'attendre. Quel Ă©tait le problĂšme?Aux yeux de Hang, Zhao Ziqian ne sait-il rien?Il a tapotĂ© la main de sa femme C'est bon. J'ai Ă©tĂ© occupĂ© toute la nuit, mais je n'y suis pas habituĂ©. Vous avez Ă©tĂ© occupĂ© toute la journĂ©e. Reposez-vous plus tĂŽt. "Mme Zhao a dit pensivement, allez prendre un bain et je vais chercher vos vĂȘtements. Allez, ne restez pas assis. Vous n'ĂȘtes pas un homme de fer. AprĂšs quelques nuits, vous devrez bien dormir. Vous pourrez aller travailler demain. "Zhao Ziqian ne voulait pas que sa femme s'inquiĂšte, alors il se leva et alla aux Zhao l'a regardĂ© entrer dans la salle de bain, elle est juste allĂ©e dans la chambre chercher ses vĂȘtements, mais elle a juste fait un pas, la sonnette a sonnĂ© nous sommes mercredi. L'enfant est emmenĂ©e par ses parents. Personne ne visitera en ce moment. Elle se dirige vers la porte et voit un homme en tenue express Ă travers les yeux du chat "qui est-ce?""Livraison express" doit ĂȘtre dit Ă l'extĂ©rieur"Livraison express?" Elle y rĂ©flĂ©chit. Elle ne semblait pas faire ses achats sur Internet rĂ©cemment et l'express ne serait pas livrĂ© Ă la porte si tard. Quel express?»L'homme a dit Comment puis-je savoir ce qu'est la livraison express? Le destinataire est Zhao Ziqian. "" Lao Zhao, qu'avez-vous achetĂ©? " Quand Mme Zhao a demandĂ©, elle a encore ouvert la porte. La porte vient de s'ouvrir. L'homme a fait irruption dans la piĂšce avec un coup de foudre, qui a fait hurler Mme Zhao. Mais elle fut bientĂŽt couverte par un homme et pressa sa bouche contre le mur. Si tu veux vivre, ne bouge pas.»Le bruit de l'eau dans la salle de bain est trop fort. Zhao Ziqian est distrait. Naturellement, il n'entend pas le bruit extĂ©rieur, mais l'intrus peut clairement entendre le bruit de l'eau provenant de la salle de ce stade, il ne devrait pas y avoir de deuxiĂšme personne dans la l'intrus a rĂ©agi rapidement. Il a attrapĂ© la tĂȘte de Mme Zhao et l'a frappĂ©e violemment contre le mur. Mme Zhao a souffert de saignements sur le front et s'est Ă©vanouie a verrouillĂ© la porte et s'est prĂ©parĂ© Ă aller d'abord aux toilettes. Cependant, il a trouvĂ© un pistolet Ă cĂŽtĂ© d'un uniforme de police sur le canapĂ©A ce moment, Zhao Ziqian est sorti de la salle de bain autour de la serviette de bain "ne pas m'aider avec mon pyjama, pourquoi pas?" Puis, Ă peine fini, il trouva l'intrus dans la maison. Il voulait instinctivement sortir son arme, seulement pour dĂ©couvrir que son arme avait Ă©tĂ© tenue par l'intrus et que la bouche de l'arme lui faisait face. Chapitre 1740 Les gens pointent des armes sur leur tĂȘte et disent qu'il est trompeur de ne pas ĂȘtre nerveux. Mais Zhao Ziqian roule parmi les criminels depuis de nombreuses annĂ©es. Il a errĂ© plusieurs fois. La nervositĂ© peut-elle s'exprimer sur son visage qui ĂȘtes-vous?»L'intrus ricane, "celui qui veut la vie de votre chien."Zhao Ziqian vous devez comprendre que le vol et le meurtre sont de nature totalement diffĂ©rente. Avant de faire une grosse erreur, arrĂȘtons-nous Ă temps. C'est trop tard. ""Ă l'heure?" L'intrus a ri Tuer un est un meurtrier, en tuer quatre est un meurtrier. Quel est le problĂšme avec le meurtre de deux autres personnes? Capitaine Zhao, pensez-vous que c'est la vĂ©ritĂ©? "Vous ĂȘtes le meurtrier de l'affaire du cadavre fĂ©minin sans tĂȘte?Cela n'a pas d'importance. Quoi qu'il en soit, capitaine Zhao, vous n'avez aucune chance d'attraper le meurtrier vous-mĂȘme.Pourquoi les avez-vous tuĂ©s?»"Pourquoi? Parce qu'ils mĂ©ritent de mourir. »Le meurtrier sourit Capitaine Zhao, je n'avais pas l'intention de vous tuer. Qui vous veut Ă la maison en ce moment? » Tu veux tuer ma femmeâŠÂ» Ă ce moment, Zhao Ziqian comprit enfin pourquoi Hang Jin voulait qu'il rentre chez lui, mais il Ă©tait trop tard. Son arme Ă©tait entre les mains du meurtrier. Tant que le meurtrier tirerait sur la valve du pistolet, sa vie serait probablement entre les mains du tant que policier du peuple, il a pour mission de protĂ©ger le peuple. Puisque les meurtriers sont tous venus Ă la porte, si le meurtrier est autorisĂ© Ă s'enfuir Ă nouveau, il n'est pas qualifiĂ© pour redevenir policier. Depuis que Hang Jin lui a demandĂ© de revenir, Hang Jin devrait passer Ă l'Ă©tape suivante, mais je ne sais pas si Hang Jin est Ă l'extĂ©rieur en ce moment. Mais le meurtrier n'a pas eu le temps de rĂ©flĂ©chir davantage Ă Zhao Ziqian, puis il a pris la valve du pistolet Capitaine Zhao, partez en premier,Je vais bientĂŽt laisser votre femme vous -l'arme a sonnĂ©, mais le tireur n'Ă©tait pas le meurtrier, mais Hang Jin qui a fait irruption dans la porte. Hang Jin a frappĂ© la main du meurtrier tenant l'arme d'un seul coup, faisant hurler le meurtrier et perdre l' Ziqian a rĂ©agi rapidement, a immĂ©diatement sautĂ©, a pris l'arme dans une main, a saisi les menottes du canapĂ© dans l'autre main, a rapidement menottĂ© le meurtrier, puis a frappĂ© le meurtrier au visage avec un poing Je vous ai dit de tuer sa Jin a dĂ©clarĂ© Le meurtrier sera repris par d'autres. Tout d'abord, vous pouvez voir si Mme Zhao va les policiers se sont prĂ©cipitĂ©s et ont attrapĂ© le meurtrier. Zhao Ziqian a immĂ©diatement vĂ©rifiĂ© la blessure de Mme Zhao. Heureusement, elle Ă©tait temporairement inconsciente en raison d'une blessure Ă la peau, mais aucun autre dommage n'a Ă©tĂ© ne revient pas ce soir, alors Zhao Ziqian n'a pas osĂ© rĂ©flĂ©chir davantage. Il leva les yeux vers Hang Jin et dit Accrochez l'Ă©quipe, merci d'avoir sauvĂ© la vie de ma femme.»Hang Jin C'est toi qui la sauve. Vous devez vous remercier. »Hang Jin n'a rien fait de bien et Zhao Ziqian n'a pas continuĂ©. Il a posĂ© la question dans son cĆur "pendre l'Ă©quipe, je veux juste demander, comment savez-vous que le meurtrier viendra chez moi pour commettre un meurtre?" Emmenez d'abord Mme Zhao Ă l'hĂŽpital.» Hang Jin a rangĂ© son arme et a dit Quant Ă savoir pourquoi le meurtrier viendrait chez vous pour commettre un meurtre, et pourquoi le meurtrier devrait tuer quatre personnes mortes et comment tuer les morts, je vous laisse le soin, capitaine Zhao , pour interroger lentement. Quant Ă moi, j'ai autre chose Ă faire, donc je ne serai pas de sortir, il a enfermĂ© le petit imbĂ©cile blanc de Chiyang dans sa maison. Une demi-journĂ©e passa. On estime que la fille devrait ĂȘtre pressĂ©e. S'il ne rentre pas, le petit idiot devra appeler la Hang Jin est rentrĂ© chez lui, Chi Yangyang s'est assis dans le canapĂ© du salon, recroquevillĂ© en boule et ressemblait Ă un chien errant abandonnĂ© par d' regardant sa photo, Hang Jin ressentit une vive douleur dans son cĆur Je suis de retour.»Chiyang ne leva mĂȘme pas les yeux vers Jin vint Ă ses cĂŽtĂ©s et la serra dans ses bras dĂšs qu'elle tendit la main petite idiote, le meurtrier l'a attrapĂ©e. Ce dont vous vous inquiĂ©tez ne se reproduira plus. »En apprenant que le meurtrier avait Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©, Chiyang eut finalement une rĂ©action. Elle a lentement levĂ© les yeux vers lui et a dit "donne-moi mon tĂ©lĂ©phone portable."Hang Jin lui donne son tĂ©lĂ©phone portable. Elle compose immĂ©diatement le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone de Zhao Ziqian et apprend par Zhao Ziqian que le meurtrier a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©. Elle laisse tomber son cĆur suspendu Comment avez-vous attrapĂ© le meurtrier?»Hang Jin sourit "Chiyang Yang, tu ne me crois pas tellement?"Il lui a dit qu'elle avait attrapĂ© le meurtrier. Elle n'y croyait pas. Au lieu de cela, elle a appelĂ© Zhao Ziqian pour le confirmer. Ă quel point Ă©tait-il mauvais dans son cĆur?Si seulement le meurtrier avait Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©. Chi Yangyang se leva et alla dans la piĂšce. Il a Ă©tĂ© traĂźnĂ© en arriĂšre par Hang Jin. Je te demande quelque chose, Chi Yangyang.»Chi Yangyang Hang Jin, est-ce que je crois que vous ĂȘtes si important? Quoi qu'il en soit, quel que soit mon avis, vous ne l'Ă©couterez pas ou ne le ferez pas aprĂšs l'avoir entendu. "C'est un peu une connaissance de soi.» Le cĆur dĂ©gouline clairement de sang, mais Hang Jin a quand mĂȘme levĂ© un sourire indiffĂ©rent J'ai faim, accompagne-moi au dĂźner.Je n'ai pas d'appĂ©tit», a dĂ©clarĂ© ChiHang Jin "J'ai demandĂ© si vous aviez de l'appĂ©tit?"Chiyangyang âŠÂ»......Chiyang Yang ne savait pas quel tendon de Hang Jin avait tirĂ©. Au milieu de la nuit, il l'a conduite sur des dizaines de kilomĂštres pour manger pour ouvrir» la la musique de ferme de ye Zhiyang est trĂšs vivante, car les petits amis avec lesquels ils ont grandi sont tous lĂ . Lorsque Hang Jin arrive, il est immĂ©diatement invitĂ© Ă s'asseoir au Yangyang est une personne de Hang Jin. Tout le monde sait que l'emplacement Ă cĂŽtĂ© de Hang Jin est naturellement pour Chi Yangyang. Depuis l'enfance, il s'est assis comme ça. Chi Yangyang n'avait pas rĂ©alisĂ© qu'il y avait quelque chose qui n'allait Feiyang Ă©tait assis Ă cĂŽtĂ© de lui. DĂšs qu'il s'est assis, elle l'a aidĂ© avec un bol de soupe Yang Yang, tu n'as pas bien mangĂ© ce jour-lĂ . Buvez d'abord un bol de soupe pour rĂ©chauffer votre estomac.Merci, Feiyang!» Chi Yangyang tient le bol et boit deux bouchĂ©es de soupe, seulement pour dĂ©couvrir terriblement Feiyang sĆur, comment savez-vous que je n'ai pas bien mangĂ© en un jour?» Bien sĂ»r, je ne sais pas. Ce n'est pas le quatriĂšme frĂšre qui a appelĂ© Ă l'avance. Quand Hang Jin a fait ces choses, il a dit Ă LAN Feiyang de ne rien dire, mais LAN Feiyang a estimĂ© que s'il n'aidait pas Hang Jin Ă dire quelques bons mots, il ne pourrait pas rattraper sa femme. C'Ă©tait leur groupe de personnes qui travaillait duralors il avait un mot sĂ»r, juste au moment oĂč la voix tombait, j'ai reçu les yeux d'avertissement de Hang Feiyang s'est arrĂȘtĂ© Ă la hĂąte et a fait semblant de ne rien dire Yang Yang, cette soupe est faite par la vieille poule Ă©levĂ©e dans notre propre ferme. C'est nutritif et sain. Vous pouvez boire un autre bol.MerciâŠÂ» Chi Yangyang regarda Hang Jin, mais avant qu'il puisse dire merci, il vit que Hang Jin regardait Xie Yuanbo, qui Ă©tait assis Ă cĂŽtĂ© de lui. Est-ce que la fille nommĂ©e Jian a couru est venue dans votre boutique rĂ©cemment?»Xie Yuanbo âŠÂ»Que se souvient-il de Jane a couru? Chi Yangyang reprend les yeux, incline la tĂȘte et boit de la soupe. Ses pensĂ©es sont un peu confuses pendant un moment. Soudain, il entend Zhu Chuang dire Eryue est de retour Ă la maison la semaine prochaine. RĂ©flĂ©chissons Ă la façon de cĂ©lĂ©brer. » Rejoignez notre chaĂźne Youtube officielle s'il vous plaĂźt
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L'homme qui voulait ĂȘtre heureux pan Laurent Gounelle CaractĂ©ristiques L'homme qui voulait ĂȘtre heureux Laurent Gounelle Format Pdf, ePub, MOBI, FB2 ISBN 9782356412980 Editeur Audiolib Date de parution 2010 TĂ©lĂ©charger eBook gratuit TĂ©lĂ©chargez un livre gratuitement en pdf L'homme qui voulait ĂȘtre heureux par Laurent Gounelle French Edition Overview Un jeune touriste en voyage Ă Bali va consulter un vieux guĂ©risseur qui dĂ©cĂšle chez lui, en dĂ©pit d'une bonne santĂ©, un mal-ĂȘtre existentiel. Pourquoi ? Le jeune homme l'ignore. InvitĂ© Ă s'interroger, le voici embarquĂ© dans une relation qui l'amĂšnera Ă une prise de conscience capitale ce que l'on croit - de soi-mĂȘme, de la vie - devient notre rĂ©alitĂ©. Mais chacun peut se libĂ©rer de ce qui l'empĂȘche d'ĂȘtre heureux. Michelangelo Marchese fait vivre avec intensitĂ© cette fable qui est aussi un guide d'Ă©panouissement personnel. Pdf recommandĂ© Download Pdf Heroes' Feast The Official Dungeons & Dragons Cookbook download pdf, DOWNLOAD [PDF] {EPUB} Un soupçon d'hĂ©roĂŻsme pdf, Descargar [PDF] {EPUB} DAN MISSING DOGS +CD site, [PDF/Kindle] The Missionary Movement in Christian History Studies in the Transmission of Faith by Andrew F. Walls read pdf,
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RĂ©sumĂ© de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » de Laurent Gounelle Ce livre est le rĂ©cit dâun homme en vacances Ă Bali qui dĂ©cide, quelques jours avant son retour, de rencontrer un guĂ©risseur, les rĂ©vĂ©lations du vieux sage vont alors bouleverser sa vie⊠Par Laurent Gounelle, 2009, 221 pages. Titre de lâĂ©dition anglaise The Man Who Wanted to Be Happy Chronique et rĂ©sumĂ© de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » de Laurent Gounelle LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » est le premier livre de Laurent Gounelle. Il sâagit du rĂ©cit dâun homme racontĂ© Ă la premiĂšre personne qui, Ă lâoccasion de vacances Ă Bali, rĂ©alise quâil ne vit pas la vie dont il rĂȘve et quâil nâest pas heureux. GrĂące Ă ses discussions avec un vieux sage, il va prendre conscience que rien ne lâempĂȘche de vivre cette vie dont il rĂȘve, sinon lui et ses propres croyances⊠Note Laurent Gounelle nâa donnĂ© aucun titres aux chapitres de son roman. Aussi, les intitulĂ©s de chapitres de ce rĂ©sumĂ© ont Ă©tĂ© créés pour apporter un fil conducteur Ă la trame de lâhistoire tout au long du rĂ©cit. Chapitre 1 â Laurent Gounelle pose le dĂ©cor Bali et un guĂ©risseur loin des clichĂ©s Laurent Gounelle nous fait immĂ©diatement entrer dans la tĂȘte de son personnage. On ne connaĂźt pas encore son prĂ©nom mais on apprend quâil se trouve Ă Bali et quâil souhaite ardemment faire la connaissance de quelquâun dont on ignore lâidentitĂ©. Il peste car il a des difficultĂ©s Ă trouver la maison oĂč il doit aller les cartes ne servent absolument Ă rien puisquâil nây a aucun panneau indicateur ; inutile Ă©galement de demander son chemin aux gens du coin car ils indiqueront une direction Ă prendre mĂȘme sâils ne savent pas laquelle est la bonne. Enfin, lâhomme finit par arriver Ă destination. Câest lĂ quâil rencontre maĂźtre Samtyang, qui ne ressemble pas du tout Ă ce que le narrateur imaginait un homme de prĂšs de 80 ans, marchant lentement, accoutrĂ© de vĂȘtements dâune sobriĂ©tĂ© dĂ©sarmante, minimalistes et sans Ăąge ». La premiĂšre chose qui me vint Ă lâesprit fut que je lui aurais sans doute donnĂ© cinquante roupies si je lâavais vu faire la manche dans la rue. [âŠ] Jâai honte dâavouer que mon premier rĂ©flexe fut de penser quâil y avait erreur sur la personne. Il ne pouvait sâagir du guĂ©risseur dont la rĂ©putation sâĂ©tendait outre-mer. » Chapitre 2 â Lâhorrible sĂ©ance de massage Dans le deuxiĂšme chapitre de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux , Laurent Gounelle est extrĂȘmement concis une seule page dans laquelle le narrateur dĂ©crit le massage proposĂ© par son hĂŽte comme une sĂ©ance de torture, notamment lorsquâil sâoccupe de ses orteils. Chapitre 3 â Le diagnostic tombe ! Il suffit Ă maĂźtre Samtyang de tenir le petit orteil gauche du narrateur pour faire hurler de douleur ce dernier et Ă©tablir son diagnostic Vous ĂȘtes quelquâun de malheureux » lui dit-il. En effet, selon le vieil homme, sa douleur est le symptĂŽme dâun mal-ĂȘtre plus gĂ©nĂ©ral » Si jâexerce la mĂȘme pression au mĂȘme endroit chez quelquâun dâautre, il ne devrait pas avoir mal » continue-t-il. La discussion sâengage Quâest-ce qui ne va pas dans votre vie ? Vous avez une trĂšs bonne santĂ©. Alors, quâest-ce que câest ? Le travail ? Les amours ? Votre famille ? » La narrateur est surpris par les questions du sage masseur mais rĂ©pond tout de mĂȘme Je ne sais pas, oui, je pourrais ĂȘtre plus heureux, câest comme tout le monde, quoi. » Puis il poursuit Disons que je serais plus heureux si jâĂ©tais en couple. » Et lorsque le vieux sage lui demande pourquoi il ne lâest pas, la narrateur rĂ©torque que câest parce quâil est trop maigre pour plaire Ă une femme. Chapitre 4 â Les croyances qui nous empĂȘchent dâĂȘtre heureux Lâimage que lâon se fait de soi-mĂȘme devient rĂ©alitĂ© pour les autres La discussion sâengage alors sur le physique du narrateur. Le guĂ©risseur essaie, en fait, de lui faire prendre conscience que ce qui est important ce nâest pas son apparence mais la maniĂšre dont il se comporte Votre problĂšme nâest pas votre physique, mais ce que vous croyez de sa perception par les femmes. En vĂ©ritĂ©, le succĂšs que lâon a ou pas auprĂšs de lâautre sexe nâa que peu de rapports avec notre apparence physique. » MaĂźtre Samtyang continue son raisonnement Ce qui plaĂźt aux femmes, câest ce qui Ă©mane de votre personne, câest tout. Et cela dĂ©coule directement de lâimage que vous vous faites de vous-mĂȘme. Quand on croit quelque chose sur soi, que ce soit en positif ou en nĂ©gatif, on se comporte dâune maniĂšre qui reflĂšte cette chose. On la dĂ©montre aux autres en permanence, et mĂȘme si câĂ©tait Ă lâorigine une crĂ©ation de lâesprit, cela devient la rĂ©alitĂ© pour les autres, puis pour soi. » DâoĂč proviennent nos croyances ? Le sage explique ensuite les raisons de nos croyances. Selon lui, plusieurs explications sont possibles. Cela peut venir De ce que les autres affirment Ă notre sujet sâil sâagit de personnes crĂ©dibles Ă nos yeux, alors, nous allons souvent croire ce quâelles disent de nous. Câest le cas de ce que disent nos parents pendant notre enfance par exemple Un petit enfant apprend Ă©normĂ©ment de ses parents, et, au moins jusquâĂ un certain Ăąge, il a tendance Ă accepter tout ce que ses parents lui disent. Cela se grave en lui. Il lâintĂšgre. » Des conclusions que nous tirons, sans nous rendre compte, de certaines de nos expĂ©riences vĂ©cues Câest surtout pendant lâenfance que se forgent la plupart des croyances que lâon a sur soi, mais on peut aussi en dĂ©velopper plus tard Ă lâĂąge adulte. Mais, dans ce cas, elles seront en gĂ©nĂ©ral issues dâexpĂ©riences trĂšs fortes sur le plan Ă©motionnel. » Laurent Gounelle conclut ce chapitre sur un Ă©change concernant le prochain entretien des deux protagonistes â Quand vous reviendrez demain, nous dĂ©couvrirons ensemble dâautres croyances qui vous empĂȘchent dâĂȘtre heureux [âŠ]. â Je ne savais pas que je revenais demain. â Vous ne me ferez pas croire que vos problĂšmes se limitent Ă vos doutes concernant votre apparence physique. Vous en avez certainement de beaucoup plus sĂ©rieux, et nous les aborderons ensemble. » Et alors que le narrateur dit trouver les propos du sage durs, le maĂźtre poursuit en souriant Ce nâest pas en disant aux gens ce quâils ont envie dâentendre quâon les aide Ă Ă©voluer. [âŠ] En Occident, vous avez lâhabitude de sĂ©parer le corps et lâesprit. Ici, nous pensons que les deux sont intimement liĂ©s et forment un tout cohĂ©rent. » Chapitre 5 â RĂ©flexions suscitĂ©es par lâenvoĂ»tant maĂźtre Samtyang Le narrateur quitte la maison du sage et reprend sa voiture pour rentrer chez lui. Il prend le temps dâadmirer la route, trĂšs jolie, tout en songeant au mode de vie des Balinais. Sa rencontre avec maĂźtre Samtyang lâa beaucoup marquĂ© Je repensais Ă ma rencontre avec le guĂ©risseur, je me sentais encore envoĂ»tĂ© par notre Ă©change. Cet homme avait une aura particuliĂšre, une Ă©nergie qui Ă©manait naturellement de sa personne. JâĂ©tais assez excitĂ© par ce quâil mâavait fait dĂ©couvrir, mĂȘme si ses propos mâavaient parfois dĂ©contenancĂ©. » Enfin rentrĂ© dans son bungalow, Ă la tombĂ©e de la nuit, il dĂ©cide de se promener au bord de lâeau. Câest alors lâoccasion de rĂ©flĂ©chir Ă nouveau Ă son Ă©change avec le vieux sage sâil concevait que les humains aient dĂ©veloppĂ© des croyances sur eux-mĂȘmes en raison de lâinfluence de personnes de leur entourage ou de conclusions inconsciemment tirĂ©es de leur vĂ©cu, il sâinterrogeait, par ailleurs, sur lâĂ©tendue de ces croyances. JusquâoĂč ces croyances avaient-elles pu avoir un effet sur le cours de son existence ? En quoi, selon le hasard des rencontres et de ses expĂ©riences, aurait-il pu croire dâautres choses qui auraient ensuite donnĂ© une direction diffĂ©rente Ă sa vie ? Chapitre 6 â Le couple de voisins hollandais Ce nâest que dans ce chapitre de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » que Laurent Gounelle nous apprend le prĂ©nom du narrateur Julian. AprĂšs une bonne nuit de sommeil et une grasse matinĂ©e, Julian sort se balader autour de son bungalow et croise ses voisins, un couple de Hollandais Hans et Claudia. Cette derniĂšre est en train de prĂ©parer le dĂ©jeuner des brochettes de poisson au barbecue pendant que son mari critique sa maniĂšre de procĂ©der. On sent que Julian nâapprĂ©cie pas particuliĂšrement Hans Il disait cela sans rĂ©aliser que câĂ©tait un reproche. Pour lui, câĂ©tait un fait, câest tout. [âŠ] Hans Ă©tait de ces gens qui Ă©coutent les mots mais ne dĂ©codent ni le ton de la voix, ni les expressions du visage de celui qui les prononce. » Tous les trois discutent quelques minutes et dĂ©cident de se retrouver le soir mĂȘme pour un concert puis dâaller observer les tortues pondre sur une plage. Julian regagne son bungalow afin de se prĂ©parer rapidement pour partir retrouver maĂźtre Samtyang. Chapitre 7 â Une deuxiĂšme rencontre bouleversante pour Julian Laurent Gounelle nous relate, dans ce chapitre de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux , la deuxiĂšme rencontre de Julian avec le vieux sage. Lâimportance de lâengagement MaĂźtre Samtyang commence par insister sur lâimportance de sâengager pour avancer. En effet, sans cela, leurs entretiens seraient inutiles Si vraiment vous souhaitez que je vous accompagne dans la voie qui vous fera avancer dans votre vie, il est nĂ©cessaire que vous fassiez ce que je vous demande, dans la mesure oĂč vous ne lâavez pas refusĂ©. Si vous vous contentez de vous en remettre Ă moi et de mâĂ©couter, il ne se passera pas grand-chose. Ătes-vous prĂȘt Ă vous engager en ce sens ? » Ce sont nos croyances qui crĂ©ent notre rĂ©alitĂ© La conversation se poursuit sur les croyances Les ĂȘtres humains sont trĂšs attachĂ©s Ă ce quâils croient. Ils ne cherchent pas la vĂ©ritĂ©, ils veulent seulement une certaine forme dâĂ©quilibre, et ils arrivent Ă se bĂątir un monde Ă peu prĂšs cohĂ©rent sur la base de leurs croyances. Cela les rassure, et ils sây accrochent inconsciemment. » Le guĂ©risseur explique quâil nây a pas quâune rĂ©alitĂ©. En effet, les individus nâentrevoient quâune partie des choses et chaque personne en perçoit une partie diffĂ©rente. Pourquoi? Parce que la rĂ©alitĂ© est beaucoup trop vaste pour parvenir Ă la saisir dans sa globalitĂ©. En fait, notre inconscient opĂšre un tri dans les informations et ce tri, diffĂ©rent selon les personnes, va dĂ©pendre, entre autres, de nos croyances. Ainsi, nos croyances nous amĂšnent Ă interprĂ©ter la rĂ©alitĂ© Les expressions de mon visage [âŠ] tout comme ma gestuelle dâailleurs, peuvent ĂȘtre interprĂ©tĂ©es de diffĂ©rentes maniĂšres. Vos croyances vont vous aider Ă trouver une interprĂ©tation un sourire sera perçu comme un signe dâamitiĂ©, de gentillesse, de sĂ©duction, ou dâironie, de moquerie, de condescendance. Un regard insistant, comme un signe marquĂ© dâintĂ©rĂȘt ou, Ă lâinverse, comme une menace, une volontĂ© de dĂ©stabilisation. Et chacun sera convaincu de son interprĂ©tation. Ce que vous croyez sur le monde vous conduit Ă donner un sens Ă tout ce qui est ambigu ou incertain⊠Et cela renforce vos croyances. Une fois de plus. » Puis le sage continue Quand vous croyez une chose, elle vous amĂšne Ă adopter certains comportements, lesquels vont avoir un effet sur le comportement des autres dans un sens qui va, lĂ encore, renforcer ce que vous croyez. » Les effets de nos croyances inconscientes Julian est bouleversĂ© par toutes ces rĂ©vĂ©lations. Il commençait Ă comprendre la force et lâĂ©tendue de la thĂ©orie de maĂźtre Samtyang JâĂ©tais bluffĂ©. Jâavais le sentiment que les ĂȘtres humains Ă©taient victimes de leurs propres idĂ©es, de leurs propres convictions, de leurs propres croyances », pour reprendre son terme. Le plus terrible, peut-ĂȘtre, Ă©tait quâils ne sâen rendaient pas compte. Et pour cause ils ne se rendaient mĂȘme pas compte quâils croyaient ce quâils croyaient. Leurs croyances nâĂ©taient pas consciemment dans leur esprit. » Le guĂ©risseur termine sur ce sujet en expliquant que les croyances concernent tous les domaines, depuis notre capacitĂ© Ă rĂ©ussir nos Ă©tudes jusquâĂ lâĂ©ducation de nos enfants, en passant par notre Ă©volution professionnelle et nos relations conjugales. Chacun de nous porte en lui une constellation de croyances. Elles sont innombrables et dirigent notre vie. » Il alerte cependant sur le fait que nous ne pouvons pas juger nos croyances. Nous pouvons uniquement affirmer quâelles ne sont pas la rĂ©alitĂ© et comprendre leurs effets positifs et limitants en mĂȘme temps. Il est Ă©galement intĂ©ressant de reconnaĂźtre que certaines croyances engendrent davantage dâeffets positifs que dâautres. Mission ! Enfin, lâentretien touche Ă sa fin. MaĂźtre Samtyang confie deux missions Ă Julian Tout dâabord, il lâinvite Ă rĂȘver tout en restant Ă©veillĂ©. Il sâagit dâimaginer sa vie si tout lui Ă©tait possible. Dans ce cadre sans limite, il doit rĂȘver Ă ce quâil ferait, son mĂ©tier, ses loisirs, comment se dĂ©roulerait Vous rĂȘverez que vous ĂȘtes dans un monde oĂč tout est possible. Imaginez quâil nây a aucune limite Ă ce que vous ĂȘtes capable de rĂ©aliser. Faites comme si vous aviez tous les diplĂŽmes du monde, toutes les qualitĂ©s qui existent, une intelligence parfaite, un sens relationnel dĂ©veloppĂ©, un physique de rĂȘve⊠tout ce que vous voulez. Tout vous est possible. » Ensuite, sa deuxiĂšme mission consiste Ă Ă©tudier les recherches scientifiques rĂ©alisĂ©es aux Ătats-Unis sur les effets des placebos. Chapitre 8 â Si tout Ă©tait possible, je serais photographe ! Changer de mĂ©tier ? AttablĂ© dans un restaurant en attendant de rejoindre ses amis au concert, Julian repense Ă sa discussion avec le vieux sage et se met Ă rĂȘver⊠La premiĂšre chose qui lui vient Ă lâesprit, si tout Ă©tait possible, serait de changer de profession. Il rĂ©alise que, bien que noble et valorisant, son mĂ©tier de professeur ne le satisfait plus. Ses Ă©lĂšves ne se montrent pas intĂ©ressĂ©s et les motiver est, selon lui, cause perdue sa marge de manĆuvre pour cela est complĂštement limitĂ©e par lâobligation dâappliquer Ă la lettre le programme officiel et des mĂ©thodes pĂ©dagogiques inadaptĂ©es et inactuelles. DĂšs lors, pris en Ă©tau entre une administration exigeante et les contraintes du terrain, Julian rĂȘve d' »air frais » et dâun changement radical dans sa carriĂšre Jâavais envie [âŠ] de me rĂ©aliser dans un domaine artistique. Je rĂȘvais de faire de ma passion mon mĂ©tier, et ma passion, câĂ©tait la photographie. » RĂȘveries dâun homme qui voulait ĂȘtre heureux Car, en effet, ce quâil aime, par-dessus tout, câest saisir des expressions de visages, rĂ©aliser des portraits qui rĂ©vĂšlent la personnalitĂ© des gens, leurs Ă©motions, leurs Ă©tats dâĂąmes. Julian se voit alors exercer dans son propre studio de photographie il aurait beaucoup de succĂšs et accĂ©derait Ă une certaine notoriĂ©té⊠Pas lâune de ces usines Ă dĂ©biter des photos posĂ©es, sans intĂ©rĂȘt, non, un studio spĂ©cialisĂ© dans les photos prises dans lâinstant, sur le vif, pour capter des attitudes et des expressions qui montraient qui Ă©tait la personne. Mes photos raconteraient des histoires. En les regardant, on comprendrait ce que pense et ressent chacun. Elles dĂ©coderaient les Ă©motions [âŠ] Je voudrais aussi immortaliser le bonheur des gens, et que, toute leur vie, ils puissent dâun coup dâĆil se replonger dans lâambiance de ce grand jour et accĂ©der aux Ă©motions qui auront Ă©tĂ© les leurs. Une photo rĂ©ussie est plus parlante quâun long discours. » Julian imagine ses Ćuvres publiĂ©es dans les magazines et ĂȘtre enfin reconnu pour son talent. Il pourrait alors facilement doubler voire tripler son salaire dâenseignant, et sâoffrir une belle maison dont il aurait lui-mĂȘme conçu les plans. Il visualise son quotidien Jâaurais un jardin et jây bouquinerais le week-end, allongĂ© dans un transat, Ă lâombre dâun tilleul. Je me coucherais dans lâherbe et ferais la sieste, les narines taquinĂ©es par le parfum des pĂąquerettes. Et puis, bien sĂ»r, je serais avec une femme que jâaimerais et qui mâaimerait. Cela va de soi. » Dur retour Ă la rĂ©alitĂ© Quand Julian revient Ă la rĂ©alitĂ©, la chute est un peu rude JâĂ©tais presque surpris de constater que mon rĂȘve nâĂ©tait pas dĂ©mesurĂ©. Je nâavais pas besoin de devenir milliardaire pour ĂȘtre heureux, ni dâĂȘtre une rockstar ou un homme politique connu. Et pourtant, ce simple rĂȘve et le bonheur quâil contenait me semblait inaccessible. Jâen voulais presque au guĂ©risseur de mâavoir entrouvert une porte sur ce quâaurait pu ĂȘtre ma vie. Une porte qui, une fois refermĂ©e, me laisserait un goĂ»t amer en faisant apparaĂźtre au grand jour de ma conscience le dĂ©calage immense entre rĂȘve et rĂ©alitĂ©. » Laurent Gounelle clĂŽt le chapitre sur le concert. Chapitre 9 â La vie loterie ou course perpĂ©tuelle ? Ce neuviĂšme chapitre de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » est nettement plus court que les prĂ©cĂ©dents. Laurent Gounelle dĂ©crit la naissance des tortues sur la plage Ă laquelle assistent Julian, Hans et Claudia. Câest lâoccasion dâune nouvelle rĂ©vĂ©lation pour Julian. Lorsquâils apprennent que la plupart des bĂ©bĂ©s tortues quâils viennent de voir naĂźtre ne survivront pas et que selon les statistiques, un seul dâentre eux y parviendrait, les rĂ©actions de Hans et Claudia interpellent Julian â La vie est une loterie, dit Claudia, dĂ©pitĂ©e. â La vie est course perpĂ©tuelle, lui rĂ©torqua son mari. Seuls les plus rapides sâen sortent. Ceux qui traĂźnaillent, papillonnent ou sâaccordent des plaisirs meurent. Il faut toujours aller de lâavant. [âŠ] CâĂ©tait extraordinaire en quelques mots seulement, chacun avait rĂ©sumĂ© toute sa vision de la vie. » Pour Julian, la derniĂšre piĂšce du puzzle hollandais » vient de se mettre en place, donnant du sens Ă lâensemble des scĂšnes dont il a Ă©tĂ© tĂ©moin. Il comprend soudainement pourquoi Claudia accepte le rĂŽle de la mĂ©nagĂšre imposĂ© par son mari elle a, comme le dit-elle, juste tirĂ© le mauvais numĂ©ro Ă la loterie, et il nây a rien Ă faire Quand on a perdu, on a perdu. On nâargumente pas quand on perd au casino ou au loto. Les choses sont comme elles sont, il ne sert Ă rien de vouloir les changer. » Quant Ă Hans, il lui est aisĂ© de comprendre dĂ©sormais son obsession de lâaction et son incapacitĂ© Ă sâaccorder des instants de dĂ©tente. Chapitre 10 â Lâeffet placebo Dans ce dixiĂšme chapitre de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux , Julian se consacre Ă la seconde mission confiĂ©e par le guĂ©risseur faire des recherches et trouver des Ă©tudes scientifiques sur lâeffet placebo. Les dĂ©couvertes bouleversantes de Julian sur les placebos Pour cela, il se rend dans un palace, seul type dâendroit susceptible de disposer dâune connexion internet, en prĂ©textant ĂȘtre logĂ© dans un autre palace situĂ© dans une autre zone gĂ©ographique et avoir un besoin urgent de se connecter sur le web. Il accĂšde ainsi Ă un ordinateur dans une piĂšce sĂ©parĂ©e et lance ses recherches. Câest ainsi que Julien dĂ©couvre lâimpact des placebos sur les maladies. Le pouvoir psychologique de ces substances totalement inactives sâavĂšre, en rĂ©alitĂ©, incroyable parce quâil croit prendre un mĂ©dicament, les patients ont la conviction quâils seront guĂ©ris. Et dans de multiples cas, cela suffit effectivement Ă les guĂ©rir ! Ce qui me fit vraiment rĂ©agir, câest le nombre de cas pour lesquels la croyance en la guĂ©rison suffisait Ă guĂ©rir le patient. Il Ă©tait en moyenne de 30 % ! MĂȘme des douleurs pouvaient disparaĂźtre ! Un placebo Ă©tait aussi efficace que la morphine dans 54 % des cas ! Des patients avaient mal, ils souffraient, et lâabsorption dâun vulgaire comprimĂ© de sucre ou de je ne sais quel ingrĂ©dient neutre supprimait leur douleur. Il suffisait quâils y croient⊠» Les croyances collectives ou lâignorance limitent aussi nos sociĂ©tĂ©s Julian est dâabord dĂ©concertĂ© par ses dĂ©couvertes JâĂ©tais pĂ©trifiĂ©, confondu par ce pouvoir des croyances sur lequel avait tant insistĂ© le guĂ©risseur. CâĂ©tait tout simplement incroyable. Et pourtant les chiffres Ă©taient bien rĂ©els, publiĂ©s par un trĂšs sĂ©rieux laboratoire, rĂ©putĂ© pour ses chimiothĂ©rapies. » Mais dans le mĂȘme temps, ces rĂ©vĂ©lations le rĂ©voltent Pourquoi, en effet, ne rĂ©vĂ©lait-on pas ces chiffres au grand public ? Pourquoi ne pas les confier aux mĂ©dias ? [âŠ] Si des phĂ©nomĂšnes psychologiques permettaient dâavoir Ă ce point un impact sur le corps et les maladies, pourquoi concentrer la recherche sur la production de coĂ»teux mĂ©dicaments jamais exempts dâeffets secondaires ? Pourquoi ne pas sâintĂ©resser davantage au moyen de guĂ©rir les malades par la voie psychologique ? » Chapitre 11 â Le testament du bonheur » de lâhomme qui voulait ĂȘtre heureux Lorsque Julian arrive chez maĂźtre Samtyang, comme convenu, le lendemain de leur rencontre prĂ©cĂ©dente, celui-ci nâest pas lĂ et lui a laissĂ© un mot Avant notre prochaine rencontre â Ăcrivez tout ce qui vous empĂȘche de rĂ©aliser votre rĂȘve dâune vie heureuse. â Faites lâascension du mont Skouwo. » Lâascension du mont Skouwo nĂ©cessite plusieurs heures de marche sous la chaleur, et cela ne tente pas trop Julian. Mais il se dĂ©cide tout de mĂȘme Ă prendre la direction de cette montagne, avant de renoncer Plus jâavançais vers le mont Skouwo, plus je me cherchais des raisons de ne pas le gravir. Il ne fallait pas que je me mente Ă moi-mĂȘme, mâavait expliquĂ© le guĂ©risseur. Eh bien, la vĂ©ritĂ© Ă©tait que je nâavais pas du tout envie dâen faire lâascension. Je nâavais pas besoin de le justifier par des arguments pseudo-rationnels. Je dirais la vĂ©ritĂ© au guĂ©risseur demain. Et si jâĂ©tais supposĂ© dĂ©couvrir quelque chose dans la montagne, il me dirait quoi et cela me suffirait. Je suis capable de comprendre ce que lâon mâexplique. » De retour chez lui, il sâattelle Ă lâautre tĂąche, celle de noter tout ce qui lui Ă©tait venu Ă lâesprit, la veille, au restaurant. Il a alors lâĂ©trange impression dâĂ©crire son testament de bonheur » sâil venait Ă mourir, ses hĂ©ritiers pourraient lire la vie quâil aurait aimĂ© avoir. Tout en rĂ©digeant, Julian sâinterroge sur ce qui lâempĂȘchait de vivre cette vie dĂ©sirĂ©e. Il reprend les points un Ă un et, en se concentrant sur les dĂ©tails, il finit par trouver assez facilement les raisons qui rendaient impossibles la rĂ©alisation de ses rĂȘves, de ses projets, la mise en Ćuvre de ses idĂ©es et, finalement, son accĂšs au bonheur. Chapitre 12 â Nouvelles leçons et cheminement personnel Dans ce chapitre de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux , Laurent Gounelle narre la troisiĂšme rencontre entre Julian et le guĂ©risseur. Ce nâest pas le message qui blesse mais sa formulation Les deux hommes commencent par discuter de lâeffet placebo puis en viennent Ă discuter du rĂȘve de Julian et des raisons qui font que ce nâest pas sa vie actuelle. Au cours de la conversation, maĂźtre Samtyang explique Ă Julian que la vĂ©ritĂ© est prĂ©fĂ©rable au mensonge et quâil ne faut pas avoir peur de vexer les gens Ce nâest pas le message qui peut vexer, mais la façon de le transmettre, de le formuler. Si on y met la forme, par exemple en remerciant lâautre pour son intention positive, on ne le vexe pas. Ou sinon, câest quâil est particuliĂšrement susceptible, et alors câest, dâune certaine maniĂšre son problĂšme, pas le vĂŽtre. [âŠ] quand vous ne dites pas la vĂ©ritĂ© aux gens, vous leur fournissez la tentation de contourner vos arguments, ce qui vous amĂšne Ă mentir de nouveau. » Puis, Julian et maĂźtre Samtyang en viennent au cĆur du sujet pourquoi Julian nâouvre-t-il pas son studio photo puisque câest ce dont il rĂȘve ? En rĂ©alitĂ©, Julian craint de ne pas en ĂȘtre capable car ce mĂ©tier est trĂšs Ă©loignĂ© de ses compĂ©tences actuelles. Le guĂ©risseur dĂ©veloppe alors plusieurs idĂ©es. DiffĂ©rencier la rĂ©alitĂ© des croyances limitantes Pour cela, il faut dâabord quitter le ressenti et les Ă©motions. Le sage donne Ă Julian les Ă©tapes Ă suivre Vous dĂ©mystifierez ce projet en listant prĂ©cisĂ©ment tout ce que vous aurez Ă faire pour le rĂ©aliser, puis en notant pour chaque tĂąche ce que vous savez faire et ce que vous ne savez pas encore faire. Il suffit ensuite de trouver comment acquĂ©rir les compĂ©tences qui vous manquent. » Se montrer persĂ©vĂ©rant Ensuite, le vieil homme invite Julian Ă la persĂ©vĂ©rance. Il illustre son propos avec lâexemple des bĂ©bĂ©s Les bĂ©bĂ©s ont Ă©normĂ©ment de choses Ă nous apprendre. Regardez un enfant qui apprend Ă marcher vous croyez quâil rĂ©ussit du premier coup ? Il tente de se redresser et hop ! Il tombe. Câest un Ă©chec cuisant, et pourtant il recommence immĂ©diatement. Il se redresse Ă nouveau et⊠il retombe ! Un bĂ©bĂ© va tomber en moyenne deux mille fois avant de savoir marcher. » Renoncer pour mieux avancer Enfin, il est essentiel de faire des choix et de renoncer Ă certaines choses afin dâen obtenir dâautres. Julian ne veut pas renoncer Ă ses vacances et ses week-ends car ceux-ci sont sacrĂ©s » mais le guĂ©risseur insiste Il y a des circonstances oĂč lâon est amenĂ© Ă faire des choix, donc Ă renoncer Ă des choses auxquelles on tient, pour aller vers ce que lâon a le plus Ă cĆur [âŠ] Si vous ne renoncez Ă rien, vous vous abstenez de choisir. Et quand on sâabstient de choisir, on sâabstient de vivre la vie que lâon voudrait. » Avant de se quitter, le sage confie une nouvelle mission Ă Julian celle de demander des choses Ă des personnes dans le but dâobtenir une rĂ©ponse nĂ©gative. Il doit obtenir au moins cinq non ». Chapitre 13 â La mission des cinq non » Laurent Gounelle consacre tout ce chapitre de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » Ă la mission de Julian dâobtenir une rĂ©ponse nĂ©gative Ă ses demandes. Il pensait que cela serait facile mais se rend compte que cela ne lâest absolument pas. Un peu dĂ©sespĂ©rĂ© de la complexitĂ© de la tĂąche, il entre dans un cafĂ© et va y rencontrer Hans, son voisin de bungalow⊠Chapitre 14 â Enfin, un refus ! Julian rentre chez lui en ayant rĂ©ussi Ă collecter deux non ». Il se remĂ©more sa soirĂ©e et Ă sa rencontre avec Hans qui lui a offert son premier non » aprĂšs de nombreuses tentatives qui sâĂ©taient soldĂ©es par des Ă©checs. CâĂ©tait la premiĂšre fois de sa vie quâil avait ressenti du plaisir en voyant un visage se fermer, un regard se glacer » et des sourcils se froncer ! Car Julian a ressenti ce non » comme une victoire Jâavais failli tendre les bras en lâair et lever le regard au ciel en tombant Ă genoux, comme le font les champions de tennis qui viennent de remporter la balle de match de la finale dâun tournoi du grand chelem. Jâaurais aussi pu me jeter Ă son cou et lâembrasser avec reconnaissance. Je mâĂ©tais contentĂ© de sourire et de le regarder en silence, attendant le plaisir de le voir justifier sa position avec une excuse bidon ou une morale Ă deux balles. Quand je lui avais dit que câĂ©tait une plaisanterie, que je nâavais pas besoin dâargent, il avait ri, du rire forcĂ© de lui qui est soulagĂ© mais a conservĂ© la crispation induite par la demande initiale. » Chapitre 15 â Les freins Ă la rĂ©alisation de soi Repenser sa peur du rejet Laurent Gounelle fait directement dĂ©marrer ce chapitre de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » par un dialogue entre le guĂ©risseur et Julian. MaĂźtre Samtyang nâest pas surpris que Julian se soit heurtĂ© Ă tant de difficultĂ©s pour recueillir des non ». Il explique cela simplement Les personnes qui ont peur du rejet, reprit-il, sont trĂšs loin de rĂ©aliser quâil est rare dâĂȘtre repoussĂ© par les autres. Câest mĂȘme presque difficile Ă obtenir. Les gens sont, dans lâensemble, plutĂŽt enclins Ă vous aider, Ă ne pas vous dĂ©cevoir, Ă aller dans le sens de ce que vous attendez dâeux. Câest prĂ©cisĂ©ment lorsque lâon craint dâĂȘtre rejetĂ© que lâon finit par lâĂȘtre, suivant le mĂ©canisme des croyances que vous avez maintenant appris Ă connaĂźtre. [âŠ] Quand on apprend Ă aller vers les autres pour leur demander ce dont on a besoin, câest tout un univers qui sâoffre Ă nous. La vie, câest sâouvrir aux autres, pas se refermer sur soi. Tout ce qui permet de se connecter aux autres est positif. » DĂ©passer la peur de dĂ©cevoir ceux qui nous aiment Le sage et Julien examinent ensuite ce qui retient Julian pour changer de mĂ©tier et ainsi vivre une existence plus heureuse. Julian exprime alors sa peur de dĂ©cevoir ses parents qui ont peu de considĂ©ration pour les professions non intellectuelles. MaĂźtre Samtyang le rassure Si on aime les gens seulement quand ils se comportent conformĂ©ment Ă nos idĂ©aux, ce nâest pas de lâamour⊠Câest pour cela que je crois que vous nâavez rien Ă craindre de la part de ceux qui vous aiment. MĂȘme au sein dâune famille aimante, chacun doit vivre sa vie. Câest bien de prendre en considĂ©ration les effets de ce que lâon fait sur les autres afin de ne pas leur nuire, en revanche, on ne peut pas toujours tenir compte de leurs souhaits, et encore moins de la façon dont ils vont apprĂ©cier vos actions. Chacun est responsable de sa propre apprĂ©ciation. Vous nâĂȘtes pas responsable des opinions dâautrui. » Choisir de se confier Ă des personnes positives uniquement Le guĂ©risseur explique ensuite lâimportance de sâĂ©loigner des personnes nĂ©gatives ou tout au moins dâĂ©viter de leurs confier ses projets Il ne faut pas vous confier aux personnes qui chercheraient Ă vous dĂ©courager juste pour rĂ©pondre Ă leurs propres besoins psychologiques. Par exemple, il y a des gens qui se sentent mieux quand vous allez mal, et qui font tout pour que vous nâalliez pas mieux ! Ou dâautres qui dĂ©testeraient vous voir rĂ©aliser vos rĂȘves car cela leur rappellerait leur absence de courage pour rĂ©aliser les leurs. Il existe aussi des gens qui se sentent valorisĂ©s par vos difficultĂ©s parce que cela leur donne lâoccasion de vous aider. Dans ce cas, les projets qui viennent de vous leur coupent lâherbe sous le pied, et ils feront ce quâils peuvent pour vous en dissuader. Cela ne sert Ă rien de leur en vouloir car ils font cela inconsciemment. Mais il est prĂ©fĂ©rable de ne pas leur confier vos plans. Ils vous feraient perdre votre confiance en vous. » Chapitre 16 â Au-delĂ des idĂ©es reçues argent, rĂ©ussite et choix Gagner de lâargent La discussion entre les deux hommes se poursuit sur le thĂšme de lâargent. Cela ne surprend absolument pas maĂźtre Samtyang Lâargent cristallise tous les fantasmes, toutes les projections, les peurs, les haines, lâenvie, la jalousie, les complexes dâinfĂ©rioritĂ©, de supĂ©rioritĂ©, et bien dâautres choses encore. Cela aurait Ă©tĂ© trĂšs Ă©tonnant que lâon nâait pas Ă lâaborder ensemble. » Le sage rappelle alors quâĂ lâorigine, lâargent nâest rien dâautre quâun moyen pour faciliter les Ă©changes entre les ĂȘtres humains ». Ces Ă©changes consistent en des Ă©changes de biens mais aussi Ă©changes de compĂ©tences, de services, de conseils. Il prĂ©cise Ă©galement quâavant lâargent, il y avait le troc. Câest pourquoi celui qui avait besoin de quelque chose Ă©tait dans lâobligation de trouver quelquâun qui soit intĂ©ressĂ© par ce quâil avait Ă offrir en Ă©change. Ce nâĂ©tait pas toujours facile. La crĂ©ation de lâargent a facilitĂ© les choses puisquâil a permis dâĂ©valuer chaque bien ou service, en nous laissant ainsi la possibilitĂ© dâacquĂ©rir librement dâautres choses avec lâargent collectĂ© de ce que nous avons prĂ©cĂ©demment cĂ©dĂ©. Pour le sage, Il nây a aucun mal Ă cela. Au contraire Dâune certaine maniĂšre, on pourrait mĂȘme dire que plus lâargent circule, plus il y a dâĂ©changes entre les ĂȘtres humains, et mieux câest⊠» Et pour maĂźtre Samtyang lâargent nâest pas une fin en soi Gagner de lâargent est un objectif valable, et cela correspond Ă lâune des phases de lâexistence. Il faut juste Ă©viter de sây enliser, et savoir ensuite Ă©voluer vers autre chose pour rĂ©ussir sa vie. » RĂ©ussir sa vie Le guĂ©risseur donne ensuite son point de vue sur le sens donnĂ© Ă lâexpression rĂ©ussir sa vie » Une vie rĂ©ussie est une vie que lâon a menĂ©e conformĂ©ment Ă ses souhaits, en agissant toujours en accord avec ses valeurs, en donnant le meilleur de soi-mĂȘme dans ce que lâon fait, en restant en harmonie avec qui lâon est, et, si possible, une vie qui nous a donnĂ© lâoccasion de nous dĂ©passer, de nous consacrer Ă autre chose quâĂ nous-mĂȘmes et dâapporter quelque chose Ă lâhumanitĂ©, mĂȘme trĂšs humblement, mĂȘme si câest infime. Une petite plume dâoiseau confiĂ©e au vent. Un sourire pour les autres. » Savoir faire des choix et prendre en main son destin Pour finir, le vieux sage Ă©voque lâimportance de rester maĂźtre de nos choix et de notre destinĂ©e Plus on Ă©volue dans sa vie, plus on se dĂ©barrasse des croyances qui nous limitent, et plus on a de choix. Et le choix, câest la libertĂ©. [âŠ] Vous savez, reprit-il, on ne peut pas ĂȘtre heureux si lâon se voit victime des Ă©vĂ©nements ou des autres. Il est important de rĂ©aliser que câest toujours vous qui dĂ©cidez de votre vie, quelle quâelle soit. MĂȘme si vous ĂȘtes le dernier des subalternes sur votre lieu de travail, câest vous qui ĂȘtes le directeur de votre vie. Câest vous qui ĂȘtes aux commandes. Vous ĂȘtes le maĂźtre de votre destin. » Lâentretien se termine. Julian informe maĂźtre Samtyang quâil doit repartir le lendemain aprĂšs-midi mais le sage nâest pas disponible le matin. Or, maĂźtre Samtyang insiste sur le fait quâil reste encore un enseignement majeur Ă apprendre pour Julian. Câest trĂšs embĂȘtant pour Julian car changer son billet dâavion engage un surcoĂ»t trĂšs Ă©levĂ©. Le sage refuse de le conseiller câest Ă lui de choisir entre un dernier entretien ou son avion. Chapitre 17 â Un choix cornĂ©lien rester ou partir ? Dans ce chapitre de lâHomme qui voulait ĂȘtre heureux , Julian hĂ©site sur le choix Ă faire. Changer son vol lui coĂ»terait six cent dollars. Mais dâun autre cĂŽtĂ©, un dernier entretien avec le guĂ©risseur le tente beaucoup. Le choix est cornĂ©lien. Finalement, il dĂ©cide de se rendre Ă lâagence de voyage pour changer son billet dâavion. SoulagĂ©, il va ensuite sâasseoir dans un cafĂ© et se met Ă observer les gens en se replongeant dans tout ce quâil a appris les jours prĂ©cĂ©dents. Chapitre 18 â Lâinattendue et derniĂšre leçon de vie » de maĂźtre Samtyang Ă lâhomme qui voulait ĂȘtre heureux Julian est impatient de rencontrer Ă nouveau et pour la derniĂšre fois le guĂ©risseur. Il sâinterroge sur cet apprentissage majeur » dont il lui avait parlĂ©. Il se demande comment il en est venu Ă le consulter Pourquoi avais-je dĂ©cidĂ©, la premiĂšre fois, de rencontrer ce guĂ©risseur ? Quel hasard fou mâavait amenĂ© Ă entendre parler de lui et Ă venir le voir alors que je nâavais a priori pas besoin de lui ? Câest drĂŽle, la vie, il y a parfois de toutes petites dĂ©cisions qui ont des consĂ©quences incroyables sur le cours de votre existence. Et, des annĂ©es plus tard, on se demande comment elle se serait dĂ©roulĂ©e si lâon nâavait pas pris, Ă lâĂ©poque, cette toute petite dĂ©cision mais une autre⊠» Lorsque Julian arrive chez le vieux sage, celui-ci nâest pas lĂ ! MaĂźtre Samtyang lui a laissĂ© un mot La dĂ©ception, le dĂ©sarroi ou peut-ĂȘtre mĂȘme la colĂšre que vous devez ressentir en entamant la lecture de ce message accompagnent votre transition vers une nouvelle dimension de votre ĂȘtre, un ĂȘtre qui nâa plus besoin de moi pour continuer son Ă©volution. En prenant la dĂ©cision de venir aujourdâhui, vous avez accompli un apprentissage majeur pour vous, en dĂ©veloppant une capacitĂ© qui vous faisait cruellement dĂ©faut Ă ce jour la capacitĂ© de faire un choix qui vous coĂ»te, et donc de renoncer Ă quelque chose, autrement dit de faire des sacrifices pour avancer sur votre voie. Câest dĂ©sormais acquis, le dernier obstacle Ă votre Ă©panouissement ayant ainsi volĂ© en Ă©clats. Vous disposez maintenant dâune force qui vous accompagnera toute votre vie. Le chemin qui mĂšne au bonheur demande parfois de renoncer Ă la facilitĂ©, pour suivre les exigences de sa volontĂ© au plus profond de soi. » Chapitre 19 â Lâascension du mont Skouwo AprĂšs sa derniĂšre rencontre avec le sage, qui nâa finalement pas eu vraiment lieu puisque ce dernier a juste laissĂ© un mot, Julian a encore compris beaucoup de choses et se sent beaucoup plus libre. Il dĂ©cide de faire lâascension du mont Skouwo. Chapitre 20 â Câest Ă toi de choisir et de vivre ta vie » Dans ce dernier chapitre de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux , Julian se rĂ©veille sur la plage alors que le soleil est dĂ©jĂ levĂ©. Le rivage est quasi dĂ©sert Ă lâexception dâune fillette de cinq ou six ans qui dessine un paquebot sur le sable. Elle explique Ă Julian quâelle aurait aimĂ© devenir capitaine de bateau mais que son grand-pĂšre lâen a dissuadĂ© car câest un mĂ©tier pour les garçons pas pour les filles. Julian sâadresse alors Ă elle Ne laisse jamais personne te dire ce dont tu nâes pas capable. Câest Ă toi de choisir et de vivre ta vie. » LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » se termine ainsi sur la description de cette petite fille qui sâen va confiante, le regard tournĂ© vers le large. » Conclusion de LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » de Laurent Gounelle Des avis contrastĂ©s LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » est un best-seller traduit dans le monde entier. Son auteur, Laurent Gounelle, est reconnu comme une rĂ©fĂ©rence en matiĂšre de roman de dĂ©veloppement personnel. Pourtant, malgrĂ© son succĂšs commercial, LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » est un livre aux avis contrastĂ©s⊠En effet, il semblerait que le niveau dâapprĂ©ciation du livre varie selon ce quâon attend du contenu. En effet, selon que lâon soit avancĂ© ou pas dans une dĂ©marche de dĂ©veloppement personnel, les expectatives du lecteur seront diffĂ©rentes. Ceux qui rĂ©flĂ©chissent au sens de leur existence et au bonheur depuis un certain temps et qui ont dĂ©jĂ emmagasinĂ© des lectures ou connaissances auront sans doute dĂ©jĂ dĂ©passĂ© le stade de travail sur soi que nous propose lâauteur au travers de son histoire. Dâautres, cependant, qui se questionnent depuis peu, se dĂ©couvrent » et commencent Ă prendre conscience de leurs possibilitĂ©s, de la mĂȘme maniĂšre que Julian dans le rĂ©cit, y trouveront, quant Ă eux, de nombreuses pistes pour envisager un changement dans leur vie. Une histoire simple mais une vraie aventure intĂ©rieure Dans son ouvrage, Laurent Gounelle nous raconte une histoire simple, essentiellement construite autour des nombreux Ă©changes entre un vieux sage asiatique et un touriste occidental en quĂȘte de sens. Ainsi, mĂȘme si lâhistoire se dĂ©roule sur lâĂźle lointaine de Bali, on nâest pas transportĂ© par lâaction. Pas de revirement de situation non plus, ni mĂȘme de fin inattendue. Pourtant, Ă dĂ©faut dâaventures Ă proprement parlĂ©, LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » nous entraĂźne dans une aventure dâun tout autre ordre lâaventure de la dĂ©couverte de soi. Plus quâun voyage au bout du monde un voyage Ă lâintĂ©rieur de soi et de ses aspirations. Le lecteur peut alors visualiser le cheminement du hĂ©ros mis en scĂšne par Laurent Gounelle, pour cheminer lui-mĂȘme. La simplicitĂ© du ton utilisĂ© par Laurent Gounelle rend le livre accessible Ă tout le monde. Il se lit trĂšs rapidement, et mĂȘme pour ceux qui passeraient Ă cĂŽtĂ© dâun coup de cĆur, il restera une lecture agrĂ©able. De la sagesse pour cheminer vers le bonheur Laurent Gounelle nous enseigne, tout au long de son roman, de nombreuses leçons de sagesse. LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » nous aide Ă prendre conscience des possibilitĂ©s que nous avons tous en nous et il ne tient ensuite quâĂ nous dâaller au-delĂ du roman pour les appliquer. Il apporte des pistes de rĂ©flexions pour se libĂ©rer des chaĂźnes que lâon se construit soi-mĂȘme, souvent inconsciemment, et qui nous empĂȘche dâaccĂ©der Ă une vie qui nous ressemble vraiment. Attention tout de mĂȘme Ă ceux qui attendraient beaucoup de la dimension dĂ©veloppement personnel » bien que pertinents, les conseils Ă©noncĂ©s dans le rĂ©cit de Laurent Gounelle sont relativement basiques et dĂ©jĂ entendus. Des pistes de rĂ©flexions intĂ©ressantes En fait, les principaux sujets de rĂ©flexion que lâon retrouve dans ce livre pourraient se rĂ©sumer aux suivants Le pouvoir de lâesprit sur le corps, et vice-versa ; La freins que constituent nos croyances personnelles comme lâimage que lâon a de soi et sociĂ©tales comme lâeffet placebo. Les peurs Ă dĂ©passer celles de dĂ©cevoir, dâĂȘtre rejeter par exemple. Les choix que nous ne prenons pas ou mal tant quâon ne sâest pas affranchie de nos croyances ex. renoncer Ă certaines choses. En conclusion, LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » sera sans doute trĂšs apprĂ©ciĂ© des lecteurs qui commencent Ă se questionner sur leur vie le concept roman/rĂ©flexions thĂ©oriques peut se rĂ©vĂ©ler un excellent moyen dâapprentissage pour amorcer un premier grand virage vers une nouvelle vie ! Points forts du livre LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux Un livre qui fait forcĂ©ment Ă©cho avec nos propres questionnements et y apporte des pistes de rĂ©flexion. Le savant dosage fiction/thĂ©orie les concepts sont expliquĂ©s simplement, Ă travers des discussions entre le vieux sage et le narrateur, et Ă©vite ainsi des monologues ennuyeux. Un roman facile Ă lire, accessible Ă tous, agrĂ©able, imagĂ©. La sagesse qui ressort du message global de ce rĂ©cit. Points faibles du livre LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux Certains chapitres sont vraiment trĂšs courts et nâapportent pas grand-chose Ă lâintrigue. Peu dâaction et un rythme parfois lent. Les idĂ©es sont intĂ©ressantes mais beaucoup entendues ; il faudra aller vers dâautres lectures pour approfondir. Ma note Avez-vous lu âLâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » Combien le notez-vous ? 15 votes, moyenne 4,00 out of 5Loading...Visitez Amazon afin de lire plus de commentaires sur le livre de Laurent Gounelle LâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » Visitez Amazon et achetez le livre de Laurent Gounelle âLâHomme qui voulait ĂȘtre heureux » Recherches utilisĂ©es pour trouver cet article l homme qui voulait etre hereux lecture, Le resumĂ© du roman l\homme qui voulait ĂȘtre hereux, Lhomme qui voulait ĂȘtre heureux
Pdf_module_version0.0.15 Ppi 360 Rcs_key 24143 Republisher_date 20211028170617 Republisher_operator associate-queeny-veroy@ 331 Scandate 20211027181304 Scanner station54.cebu.archive.org Scanningcenter cebu Scribe3_search_catalog isbn Scribe3_search_id 9782266186674 Tts_version 4.5-initial
â S'ils vous aiment, que croyez-vous qu'ils prĂ©fĂ©reront que voussoyez un enseignant malheureux ou un photographe Ă©panoui ?â Vu comme ça ...â C'est comme ça qu'il faut le voir si on aime les gens seulementquand ils se comportent conformĂ©ment Ă nos idĂ©aux, ce n'est pas del'amour. .. C'est pour cela que je crois que vous n'avez rien Ă craindrede la part de ceux qui vous aiment. MĂȘme au sein d'une familleaimante, chacun doit vivre sa vie. C'est bien de prendre enconsidĂ©ration les effets de ce que l'on fait sur les autres afin de nepas leur nuire, en revanche, on ne peut pas toujours tenir compte deleurs souhaits, et encore moins de la façon dont ils vont apprĂ©cier vosactions. Chacun est responsable de sa propre apprĂ©ciation. Vousn'ĂȘtes pas responsable des opinions d' avait sans doute raison, mais quelque chose continuait de megĂȘner.â En fait, je me demande dans quelle mesure ma famille ne m'a pascontaminé» mĂȘme si ce projet m'enthousiasme, je ne suis pascomplĂštement Ă l'aise avec le fait de quitter le camp des scientifiquespour rejoindre celui des artistes !â Je pense qu'il est inopportun de raisonner en termes de camps, etplus encore en termes d'appartenance Ă un camp. Il ne s'agit paspour vous de quitter un camp pour en rejoindre un autre, mais justede rĂ©aliser un projet qui vous tient Ă demeurai pensif, certes assez touchĂ© par ses paroles, mais je croisqu'il sentit que je restais quand mĂȘme un peu bloquĂ© par la situation.â Venez avec moi, dit-il en se levant lentement. Ă la façon dont ilbougea, je pris conscience, pour la premiĂšre fois, de son grand Ăąge, une impression qui disparaissait quand il s'exprimait, tant il maniait leverbe avec prĂ©cision et me levai Ă mon tour et le suivis. Il contourna les diffĂ©rents Ă©dificesqui constituaient le campan, puis emprunta un sentier qui serpentaitdans la vĂ©gĂ©tation, une vĂ©gĂ©tation tellement dense que l'on nepouvait distinguer les contours du jardin. Nous marchĂąmes plusieursminutes en silence, l'un derriĂšre l'autre, puis le chemin s'Ă©largit et jem'avançai Ă sa hauteur. De minuscules parcelles Ă©taient cultivĂ©es çà et lĂ , soigneusement entretenues probablement des plantesmĂ©dicinales, certaines offrant de microscopiques fleurs jaunes oubleues. AprĂšs avoir traversĂ© un taillis de bambous gĂ©ants et touffus Ă la senteur verte, nous plongeant dans la pĂ©nombre et nousenveloppant d'une humiditĂ© moite, le sentier dĂ©boucha brutalementsur une corniche surplombant vertigineusement la vallĂ©e. Je savaisque le village Ă©tait juchĂ© sur une hauteur, mais j'Ă©tais loin dem'imaginer que le fond du jardin de maĂźtre Samtyang dominait Ă cepoint la vallĂ©e qui s'Ă©tendait sur des âąkilomĂštres, deux ou trois centsmĂštres en contrebas. Cette vue plongeante et aĂ©rienne â nous Ă©tionscomme suspendus au-dessus du vide contrastait fortement avec lereste du jardin, oĂč la densitĂ© de la vĂ©gĂ©tation empĂȘchait toutevisibilitĂ© dĂ©gagĂ©e. Nous nous assĂźmes cĂŽte Ă cĂŽte sur un rocher, lespieds ballants dans le vide, et restĂąmes silencieux plusieurs minutes,contemplant ce paysage grandiose qui me faisait me sentir tout le guĂ©risseur qui finit par rompre le silence de sa voix posĂ©e etbienveillante.â Que voyez-vous dans les riziĂšres ?On apercevait au loin, tout en bas, des dizaines de paysans, les piedsdans l'eau jusqu'Ă mi-mollet, le dos courbĂ© et les mains tendues versles plants de riz. â Je vois un ensemble de travailleurs s'activant dans les champs.â Non, pas un ensemble de travailleurs.â Un groupe de paysans, si vous prĂ©fĂ©rez.â Non, ni un ensemble, ni un voilĂ qu'il joue sur les mots, me dis-je.â Savez-vous, reprit-il, combien il y a d'ĂȘtres humains sur Terre ?â Entre six et sept milliards.â Et savez-vous de combien de gĂšnes est constituĂ© chaque ĂȘtrehumain ?â Je ne sais pas, quelques milliers ?â Un peu moins de trente mille. Et parmi les six milliards d'ĂȘtreshumains, il n'yen a pas deux qui rassemblent les mĂȘmes gĂšnes. Pasdeux ! Vous vous rendez compte ? Sur six milliards d'ĂȘtres humains, iln'yen a pas deux qui soient identiques !â Oui, chacun de nous est unique.â Exactement ! Et mĂȘme si certains pratiquent le mĂȘme mĂ©tier, aumĂȘme endroit, au mĂȘme moment, on ne peut les considĂ©rer commeun groupe ni un ensemble, parce que, quels que soient les pointsqu'ils peuvent avoir en commun, il y aura toujours plus d'Ă©lĂ©mentsqui les diffĂ©rencient que de points communs liĂ©s Ă leur mĂ©tier !â Je comprends ce que vous voulez dire.â On a parfois tendance Ă raisonner par catĂ©gories, Ă considĂ©rer lesgens comme s'ils Ă©taient tous pareils au sein d'une catĂ©gorie, alorsqu'en fait, dans ce champ en bas, il y a plusieurs dizaines depersonnes ayant chacune une identitĂ© propre, une histoire propre, une personnalitĂ© spĂ©cifique, des goĂ»ts particuliers. Plus de la moitiĂ©d'entre elles vivent au village, et je les connais. Rien que du point devue de leur motivation Ă faire ce travail, il existe des diffĂ©rences. L'unle fait parce qu'il aime ĂȘtre au contact de l'eau, alors que son voisin,lui, n'a pas le choix, un troisiĂšme le fait parce que cela lui rapporte unpeu plus que son ancien mĂ©tier, et un quatriĂšme pour aider son cinquiĂšme parce qu'il aime prendre soin des plants et les voirpousser. Le sixiĂšme exerce ce mĂ©tier parce que c'est la tradition danssa famille et qu'il ne lui est pas venu Ă l'esprit de faire autre chose.» Quand on raisonne par groupes, par ensembles, par camps, on faitabstraction des particularitĂ©s, de la valeur et de l'apport de chaqueindividu, et on tombe facilement dans le simplisme et lagĂ©nĂ©ralisation. On parle des travailleurs, des fonctionnaires, desscientifiques, des paysans, des artistes, des immigrĂ©s, des bourgeois,des femmes au foyer. On bĂątit des thĂ©ories qui servent noscroyances. Et non seulement la plupart de ces thĂ©ories sont fausses,mais elles poussent les gens Ă devenir ce que la thĂ©orie dit qu'ils sont.â Je comprends.â On fait un grand pas dans la vie quand on cesse de gĂ©nĂ©raliser cequi concerne les autres, et que l'on considĂšre chacunindividuellement, mĂȘme s'il fait de toute façon partie d'un tout qui ledĂ©passe, l'humanitĂ© et, mĂȘme au-delĂ , l' regardai au loin la vallĂ©e qui s'Ă©tendait sur des kilomĂštres. En facede nous, de l'autre cĂŽtĂ© du vide, le relief offrait une autre colline,presque une montagne, qui s'Ă©levait Ă peu prĂšs aussi haut que lanĂŽtre, sĂ©parĂ©e par plusieurs centaines de mĂštres, formant ainsicomme un immense canyon au fond duquel se perdait la nuages Ă©taient plus bas que nous, tandis que d'autres noussurplombaient, nous donnant l'impression de flotter entre deux mondes. Un lĂ©ger souffle continu rendait la chaleur agrĂ©able, et nousapportait par vagues des effluves, senteurs lointaines que je n'auraissu identifier.â Bon, revenons Ă nos moutons, dit-il.â S'il te plaĂźt, dessine-m'en un.â Pardon !â Non, rien, je plaisantais ...â En rĂ©alisant votre projet, puisqu'il vous tient Ă cĆur, vous nerejoindrez pas une catĂ©gorie de gens, vous serez juste vous-mĂȘme,exprimant vos talents, en accord avec vos valeurs.â C'est vrai, je dois garder ça Ă l'esprit.â Oui.â Vous savez, j'ai dĂ©jĂ un peu parlĂ© de ce projetĂ deux personnes de mon entourage, et je dois dire qu'elles m'ont unpeu refroidi.â Pourquoi ?â L'une m'a dit que la profession Ă©tait sĂ»rement fermĂ©e et que jen'arriverais pas Ă y faire ma place en dĂ©barquant comme ça, sansdiplĂŽmes ni relations. L'autre m'a objectĂ© qu'on ne montait pas cegenre d'activitĂ© du jour au lendemain en dĂ©marrant sans clientĂšle, etque je n'avais pratiquement aucune chance de rĂ©ussir.â Toutes les personnes qui ont l'idĂ©e d'un projet rencontrent ceproblĂšme.â C'est-Ă -dire ? â Quand vous parlez d'un projet autour de vous, vous recevez troistypes de rĂ©actions les neutres, les rĂ©actions d'encouragement et lesrĂ©actions nĂ©gatives qui tendent Ă vous faire renoncer.â C'est clair ...â Il faut Ă tout prix vous Ă©loigner des personnes dont vous sentezqu'elles pourraient vous dĂ©courager. En tout cas, ne leur confiez pasvos projets.â Oui, mais, d'un certain cĂŽtĂ©, cela peut ĂȘtre utile que des gens vousouvrent les yeux si vous faites fausse route.â Pour cela, adressez-vous uniquement Ă des connaisseurs dans ledomaine qui vous intĂ©resse. Mais il ne faut pas vous confier auxpersonnes qui chercheraient Ă vous dĂ©courager juste pour rĂ©pondreĂ leurs propres besoins psychologiques. Par exemple, il y a des gensqui se sentent mieux quand vous allez mal, et qui font donc tout pourque vous n'alliez pas mieux ! Ou d'autres qui dĂ©testeraient vous voirrĂ©aliser vos rĂȘves car cela leur rappellerait leur absence de couragepour rĂ©aliser les leurs. Il existe aussi des gens qui se sentent valorisĂ©spar vos difficultĂ©s parce que cela leur donne l'occasion de vous ce cas, les projets qui viennent de vous leur coupent l'herbesous le pied, et ils feront ce qu'ils peuvent pour vous en nĂ© sert Ă rien de leur en vouloir car ils font cela il est prĂ©fĂ©rable de ne pas leur confier vos plans. Ils vousferaient perdre votre confiance en vous. Vous vous souvenez qu'hiernous avons parlĂ© du bĂ©bĂ© qui apprend Ă marcher et ne se dĂ©couragejamais, malgrĂ© ses Ă©checs Ă rĂ©pĂ©tition ?â Oui.â S'il persĂ©vĂšre et finit par rĂ©ussir, c'est notamment parce que aucunparent au monde ne doute de la capacitĂ© de son enfant Ă marcher, et aucune personne au monde ne va le dĂ©courager dans ses qu'une fois adulte, nombreux seront les gens qui vont ledissuader de rĂ©aliser ses rĂȘves.â C'est sĂ»r...â C'est pour cela qu'il convient de vous Ă©loigner de ces personnes-lĂ ou de ne pas leur parler de vos projets. Sinon, vous rejoindrez lesmillions de gens qui n'ont pas la vie qu'ils dĂ©siraient.â Je comprends.â En revanche, il est trĂšs positif d'avoir dans votre entourage une oudeux personnes qui croient en vous.â Qui croient en moi ?â Quand on se lance dans un projet qui reprĂ©sente un certain enjeu,par exemple quand on aspire Ă changer de mĂ©tier, on passeforcĂ©ment par des hauts et des bas. On y croit, on en a envie, et puis,d'un seul coup, on a des doutes, on n'y croit plus, on ne se sent pluscapable, on a peur du changement, de l'inconnu. Si l'on est seul dansces moments-lĂ , il y a de fortes chances que l'on renonce, que l'onabandonne. S'il y a dans votre entourage une personne qui croit envous, qui croit en votre capacitĂ© de rĂ©ussir votre projet et vous le faitsentir quand vous la voyez, cela balayera vos doutes, et vos peurs§'effaceront comme par magie. La confiance en vous que cettepersonne vous tĂ©moignera sera contagieuse. Elle vous insufflera laforce de rĂ©ussir et vous donnera l'Ă©nergie de dĂ©placer desmontagnes. On est quinze fois plus fort quand on n'est plus seul avecson projet. Mais comprenez-moi bien il n'est pas nĂ©cessaire quecette personne vous aide ou vous donne des conseils. Non, ce quicompte avant tout, c'est juste qu'elle croie en vous. D'ailleurs, vous seriez surpris de connaĂźtre le nombre de gens cĂ©lĂšbres qui ontbĂ©nĂ©ficiĂ© d'un tel soutien initial.â Je ne suis pas sĂ»r d'avoir une personne comme ça sous la main ...â Dans ce cas, pensez Ă quelqu'un de plus Ă©loignĂ©, peut-ĂȘtre un aĂŻeulou un ami d'enfance, mĂȘme si vous ne le voyez pas souvent. Sivraiment vous ne trouvez pas, vous pouvez aussi penser Ă unepersonne disparue, qui vous a aimĂ© de son vivant. Pensez Ă elle etdites-vous Je sais que lĂ oĂč elle est, si elle me voit monter ceprojet, elle croit en moi.» DĂšs que vous avez des doutes, pensez Ă elleet voyez-la vous encourager car elle sait que vous allez rĂ©ussir.â Alors je choisirai ma grand-mĂšre. J'ai toujours vu dans son regardqu'elle Ă©tait fiĂšre de moi. Quand il m'arrivait d'avoir de mauvaisesnotes Ă l'Ă©cole, mes parents me rĂ©primandaient, mais elle, elle medisait C'est pas grave, je sais que tu auras une bonne note laprochaine fois. »â C'est une bonne illustration. Il y a aussi des gens qui croient en Dieuet obtiennent de lui la force d'agir. NapolĂ©on Ă©tait, quant Ă lui,convaincu qu'il avait une bonne Ă©toile. Lors de la plupart de sesbatailles, mĂȘme lorsqu'elles Ă©taient mal engagĂ©es, il restait persuadĂ©qu'il gagnerait, avec l'aide de cette bonne Ă©toile. Cela l'aĂ©normĂ©ment stimulĂ© et lui a fourni un courage souvent dĂ©terminant.â Quand j'Ă©tais petit, j'avais une amie qui adorait son chat, elle disaitqu'elle voyait dans son regard qu'il la soutenait en toutescirconstances. Ses parents Ă©taient sĂ©vĂšres et froids. Lorsqu'elle avaitdu chagrin, ils n'Ă©taient pas du genre Ă la consoler. Alors elle allaitvoir son chat, le caressait et lui racontait ses malheurs. Lui laregardait dans les yeux en ronronnant, de son regard profond etbienveillant, et il lui redonnait confiance en elle. â C'est trĂšs possible. Un animal a souvent un amour inconditionnelpour son maĂźtre, et cet amour peut le porter considĂ©rablement. Voussavez, on commence Ă mener des recherches scientifiques surl'amour, et on dĂ©couvre des choses extraordinaires. Dans uneuniversitĂ© amĂ©ricaine, des chercheurs qui cultivaient des cellulescancĂ©reuses dans une boĂźte de Petri ont eu l'idĂ©e de faire venir desĂ©tudiants â aux Ătats-Unis, ceux-ci servent souvent de cobayes â dansleur laboratoire. Ils les ont rassemblĂ©s autour de la boĂźte et leur ontdemandĂ© d' envoyer de l'amour» aux cellules cancĂ©reuses. LesĂ©tudiants l'ont fait, et les chercheurs ont mesurĂ© scientifiquementque les cellules cancĂ©reuses rĂ©gressaient. Ils n'ont pas Ă©tĂ© capablesd'expliquer ce phĂ©nomĂšne, pas plus d'ailleurs qu'ils ne peuvent direcomment, concrĂštement, les Ă©tudiants font pour envoyer del'amour », mais le rĂ©sultat est lĂ , indiscutable les cellules ontrĂ©gressĂ©.â C'est fou.â Oui, l'amour a sans aucun doute de nombreux effets que l'oncommence Ă peine Ă dĂ©couvrir. Mais la plupart des scientifiquesn'affectionnent pas ce genre d'expĂ©riences, car ils dĂ©testent mettreen Ă©vidence des phĂ©nomĂšnes qu'ils ne sont pas capables ensuited'expliquer. Il faut reconnaĂźtre que c'est frustrant, si l'on se met Ă leur place.» Moi qui suis maintenant au seuil de ma vie, je deviens convaincuque l'amour est la solution Ă la plupart des problĂšmes querencontrent les ĂȘtres humains dans leur vie. Cela peut sembler uneidĂ©e simple, convenue, et pourtant pratiquement personne ne la meten Ćuvre, car il est souvent difficile d'aimer. â Disons qu'il y a des gens qu'on n'a vraiment pas envie d'aimer. J'aimĂȘme l'impression parfois que certains font tout pour ne pas ĂȘtreaimĂ©s !â Certains sont mĂ©chants car ils ne s'aiment pas eux-mĂȘmes. D'autressont pĂ©nibles parce qu'ils ont beaucoup souffert et veulent le fairepayer Ă la terre entiĂšre. Quelques-uns, parce qu'ils se sont fait avoirpar des gens et croient se protĂ©ger par une attitude ont Ă©tĂ© tellement déçus par les autres qu'ils ont refermĂ© leurcĆur en se disant qu'ils ne seraient plus déçus Ă l'avenir s'ilsn'attendaient plus rien des autres. D'autres sont Ă©goĂŻstes car ils sontpersuadĂ©s que tout le monde l'est, et ils croient alors qu'ils serontplus heureux s'ils passent avant les autres. Le point commun entretous ces gens est que, si vous les aimez, vous les surprenez, car ils nes'y attendent pas. La plupart, d'ailleurs, refuseront d'y croire audĂ©but, tellement cela leur semble anormal. Mais si vous persĂ©vĂ©rezet le leur dĂ©montrez, par exemple dans des actes gratuits, cela peutbouleverser leur façon de voir le monde et, accessoirement, leursrelations avec vous.â Je veux bien l'admettre, mais ce n'est pas facile d'aller vers despersonnes comme ça en ayant des sentiments positifs Ă leur Ă©gard.â C'est plus facile si vous savez qu'un autre point commun entre tousces gens est qu'il y a nĂ©anmoins une intention positive derriĂšrechacun de leurs actes; Ils croient que ce qu'ils font est la meilleurechose Ă faire, voire la seule possible. C'est pour cela que, mĂȘme si cequ'ils font est critiquable, ce qui motive leurs comportements estsouvent comprĂ©hensible.» Pour pouvoir aimer une telle personne, distinguez-la de ses que, malgrĂ© son attitude dĂ©testable, il y a quelque part, aufond d'elle, peut-ĂȘtre trĂšs enfoui et sans qu'elle le sache elle-mĂȘme, quelque chose de bien. Si vous parvenez Ă percevoir ce quelquechose et que vous l'aimez, vous amĂšnerez cette personne Ă entrer encontact avec cette petite part d'elle-mĂȘme.» Vous savez, l'amour est la meilleure façon d'obtenir un changementchez l'autre. Si vous allez vers quelqu'un en lui reprochant ce qu'il afait, vous le poussez Ă camper sur sa position et Ă ne pas Ă©couter vosarguments. Se sentant rejetĂ©, il rejettera vos idĂ©es. Si, Ă l'inverse,vous allez vers lui en Ă©tant convaincu que, mĂȘme si ce qu'il a fait oudit est dĂ©sastreux, il est, au fond de lui, quelqu'un de bien et qu'ilavait une intention positive en le faisant, vous l'amenez Ă se dĂ©tendreet Ă s'ouvrir Ă ce que vous voulez lui dire. C'est la seule façon de luioffrir une chance de changer.â Cela me rappelle un fait divers que j'ai entendu Ă la radio, il y aquelques annĂ©es. Cela se passait en France. Une femme avait Ă©tĂ©suivie jusqu'Ă son domicile par un violeur en sĂ©rie. Elle avait Ă peineouvert sa porte qu'il s'Ă©tait prĂ©cipitĂ©, s'enfermant avec elle dansl'appartement. Il Ă©tait armĂ©, et elle, n'ayant rien pour se dĂ©fendre etne pouvant crier sous la menace de son arme, eut le rĂ©flexe de parleravec lui. Elle força la conversation, essayant en vain de le faires'exprimer. Elle raconta que cela l'avait un peu dĂ©stabilisĂ©, car il nes'attendait pas Ă une telle attitude de la part de sa victime. Elle avaitcontinuĂ© de parler, faisant les questions et les rĂ©ponses, cachant tantbien que mal la frayeur qui s'emparait d'elle. Ă un moment, endĂ©sespoir de cause, elle eut une intuition salutaire en lui disant Mais je ne comprends pas pourquoi vous faites des choses comme çaalors que, pourtant, vous ĂȘtes quelqu'un de bien. » Elle a dit par lasuite aux journalistes que son agresseur avait alors Ă©clatĂ© ensanglots, et lui avait racontĂ©, en larmes, sa vie misĂ©rable, tandisqu'elle se forçait de l'Ă©couter en continuant de masquer sa avait fini par obtenir qu'il s'en aille de lui-mĂȘme. â Vous citez un cas extrĂȘme, mais il est vrai que les gens onttendance Ă se comporter selon la façon dont on les voit, Ă s'identifierĂ ce que l'on perçoit en eux. Il faut comprendre que chacun de nous ades qualitĂ©s et des dĂ©fauts; ce sur quoi l'on focalise son attention atendance Ă prendre de l'ampleur, Ă s'Ă©tendre. Si vous braquez lesprojecteurs sur les qualitĂ©s d'une personne, mĂȘme si elles sontinfimes, elles s'accentueront, se dĂ©velopperont jusqu'Ă devenirprĂ©pondĂ©rantes. D'oĂč l'importance d'avoir dans votre entourage desgens qui croient en vous, en vos qualitĂ©s et en vos capacitĂ©s. 16.â Y a-t-il un autre aspect de ce projet qui vous retienne, ou pourlequel vous ne vous sentiez pas tout Ă fait en accord avec vous-mĂȘmequand vous vous imaginez l'accomplir ?â Oui, il y a un dernier point.â Lequel ?â Dans mon rĂȘve, je gagnais de l'argent, suffisamment en tout caspour pouvoir me payer une maison avec un jardin, et, en fait, je nesuis pas tout Ă fait Ă l'aise avec cette idĂ©e. Je ne suis pas sĂ»r d'ĂȘtrefait pour gagner de l'argent, ni d'en avoir vraiment envie au fond demoi. Bref, il y a quelque chose qui me chagrine sur ce point.â Nous y voilĂ !â Pardon ?Je savais que tĂŽt ou tard nous y viendrions. â Pourquoi ?â L'argent cristallise tous les fantasmes, toutes les projections, lespeurs, les haines, l'envie, la jalousie, les complexes d'infĂ©rioritĂ©, desupĂ©rioritĂ©, et bien d'autres choses encore. Cela aurait Ă©tĂ© trĂšsĂ©tonnant que l'on n'ait pas Ă l'aborder ensemble.â Je ne savais pas qu'un si petit mot cachait tant de choses !â Allons, dites-moi tout quel est votre souci concernant l'argent ?Il conservait son ton bienveillant, mais j'y percevais en plus unetouche d'amusement, comme s'il avait dĂ©jĂ tellement fait le tour dela question qu'il ne s'attendait nullement Ă ĂȘtre surpris par leproblĂšme que je m'apprĂȘtais Ă lui exposer, quel qu'il fĂ»t. â Disons que je suis un peu partagĂ© sur ce sujet c'est comme si unepartie de moi avait envie de gagner de l'argent, et qu'une autre partiede moi n'en voulait pas, trouvait cela sale.â Donc la question est comment rĂ©concilier ces deux parties de vous,n'est-ce pas ?â C'est amusant de le formuler ainsi, mais on peut le dire, en effet.â Alors, dites-moi, pour commencer, ce que veut cette partie de vousqui a envie de gagner de l'argent.â Je pense que l'argent pourrait m'offrir une certaine libertĂ© j'ai lesentiment que plus on est riche, et moins on dĂ©pend des autres; parconsĂ©quent on devient libre de son temps, de ses activitĂ©s, sans avoirde comptes Ă rendre.â Ce n'est pas complĂštement faux. Quoi d'autre ?â Eh bien, m'assurer un certain confort matĂ©riel. J'ai la faiblesse depenser qu'il est plus facile d'ĂȘtre heureux dans une belle maison, aucalme, que dans un sordide petit deux piĂšces orientĂ© au nord dans unquartier bruyant et polluĂ©.â Il n'y a pas de mal Ă rechercher un certain confort matĂ©riel, et il estvrai qu'il peut faciliter les choses. Pour ĂȘtre plus prĂ©cis, le confortmatĂ©riel n'apporte pas le bonheur; en revanche, son absence peutparfois altĂ©rer, troubler le bonheur.â Ăa me semble Ă©vident.â Cependant, j'insiste sur le fait que ce qui est matĂ©riel ne peut pasapporter de bonheur. Beaucoup de gens sont d'accord avec cetteidĂ©e, et parfois mĂȘme l'affirment haut et fort, et pourtant, au fondd'eux, inconsciemment, ils croient quand mĂȘme que cela les rendraitheureux. Ils vont alors dĂ©noncer le comportement de ceux qui exhibent leurs richesses mais cette dĂ©nonciation sera en rĂ©alitĂ©teintĂ©e de jalousie parce qu'une partie d'eux-mĂȘmes les envie et lescroit plus heureux qu'eux. Cette croyance est trĂšs largementrĂ©pandue, y compris parmi ceux qui affirment le contraire.â Oui, c'est repensai Ă l'une de mes amies, qui critiquait si violemment lesriches et ceux qui ne pensent qu'au matĂ©riel que c'en Ă©tait absence d'indiffĂ©rence Ă leur Ă©gard tĂ©moignait sans doute d'unĂ©cho particulier que leur argent produisait en elle, et qui n'Ă©tait peut-ĂȘtre pas anodin.â En fait, c'est cette croyance elle-mĂȘme qui rend malheureux,puisqu'elle pousse les gens Ă une course sans fin on dĂ©sire un objet,une voiture, un vĂȘtement, ou n'importe quoi d'autre, et l'on se met Ă croire que la possession de cet objet nous comblerait. On le convoite,on le veut, et finalement, si on en fait l'acquisition, on l'oublie trĂšsvite pour jeter son dĂ©volu sur un autre qui, c'est sĂ»r, nous comblera sion l'acquiert. Il n'y a pas de fin Ă cette quĂȘte. Les gens ne savent pasque s'ils roulaient en Ferrari, habitaient un appartementhollywoodien et voyageaient en jet privĂ©, ils se convaincraient quec'est la possession du yacht qu'ils n'ont pas encore qui les rendraitheureux. Bien sĂ»r, ceux qui sont loin de pouvoir rouler en Ferrari s'enoffusquent et se disent qu'ils se contenteraient d'ĂȘtre juste un peuplus riches qu'ils ne sont. Ils ne demandent pas un appartementhollywoodien, non, mais seulement un appartement un petit peuplus grand, et ils sont convaincus qu'ils s'en satisferaient et n'auraientensuite plus envie de rien. C'est lĂ qu'ils se trompent quel que soit leniveau matĂ©riel auquel on aspire, on dĂ©sire plus dĂšs qu'on l'a vraiment une course sans fin. Ses paroles avaient un Ă©cho particulier en moi, car elles merappelaient les NoĂ«ls de mon enfance. J'Ă©tais tout excitĂ© enprĂ©parant ma lettre au pĂšre NoĂ«l, avec la liste des jouets quej'espĂ©rais. Pendant des semaines j'y pensais, attendantimpatiemment le jour oĂč je les possĂ©derais enfin. Mon excitationatteignait son paroxysme le soir du rĂ©veillon mes yeux ne quittaientplus le sapin au pied duquel, j'imaginais dĂ©jĂ mon bonheur dulendemain. J'allais me coucher en percevant la nuit Ă venir comme,interminable, et c'est reconnaissant que je dĂ©couvrais l'heure surmon rĂ©veil au petit matin. Le grand jour Ă©tait enfin arrivĂ© ! Lorsque jepoussais la porte du salon et dĂ©couvrais les paquets-cadeauxmulticolores sous le sapin illuminĂ©, j'Ă©tais empli d'une joie intense. JedĂ©ballais tout, haletant d'excitation, puis passais le plus clair de lajournĂ©e Ă jouer avec ce que j'avais reçu, m'arrangeant toujours pourm'Ă©chapper de l'interminable repas familial, et laisser les adultes Ă leurs conversations ennuyeuses. Mais je me souviens que, le soirapprochant, le soleil dĂ©clinant Ă l'horizon, ma joie se tarissaitprogressivement. Mes nouveaux jouets ne gĂ©nĂ©raient dĂ©jĂ plus enmoi le mĂȘme Ă©lan de gaietĂ©. J'en arrivais Ă envier mon excitation dela veille. J'aurais voulu la revivre. Je me rappelle m'ĂȘtre dit, uneannĂ©e, que mes rĂȘves de jouets me rendaient finalement plusheureux que les jouets eux-mĂȘmes. L'attente Ă©tait plus jouissive queson fis part au sage, qui me dit en souriant â Le plus grand mensonge des parents Ă leurs enfants ne porte passur l'existence du pĂšre NoĂ«l, mais sur la promesse tacite que sescadeaux les rendront heureux. Je regardai les paysans dans la vallĂ©e et me demandai si leurstraditions les amenaient aussi, une fois par an, Ă tenter d'apporter dubonheur Ă leurs enfants en les couvrant de cadeaux matĂ©riels.â Vous m'avez fait part, reprit-il, des raisons qui motivent cette partiede vous dĂ©sireuse de gagner de l'argent. Parlez-moi maintenant decette autre partie de vous qui rejette cette idĂ©e.â Je crois que l'argent en soi me rĂ©pugne un peu. J'ai parfoisl'impression qu'il n'y a plus que ça qui compte en ce bas monde, quel'argent devient le centre des prĂ©occupations des gens.â On assiste Ă une certaine dĂ©rive, en effet, et c'est dommage parceque l'argent est pourtant une belle invention.â Pourquoi dites-vous cela ?â On oublie souvent qu'Ă l'origine l'argent n'est rien d'autre qu'unmoyen pour faciliter les Ă©changes entre les ĂȘtres humains Ă©changesde biens, mais aussi Ă©changes de compĂ©tences, de services, deconseils. Avant l'argent, il y avait le troc. Celui qui avait besoin dequelque chose Ă©tait dans l'obligation de trouver quelqu'un qui soitintĂ©ressĂ© par ce qu'il avait Ă offrir en Ă©change. Pas facile ... Tandisque la crĂ©ation de l'argent a permis d'Ă©valuer chaque bien, chaqueservice, et l'argent collectĂ© par celui qui les a cĂ©dĂ©s lui offre ensuite lapossibilitĂ© d'acquĂ©rir librement d'autres biens et services. Il n'y aaucun mal Ă cela. D'une certaine maniĂšre, on pourrait mĂȘme dire queplus l'argent circule, plus il y a d'Ă©changes entre les ĂȘtres humains, etmieux c'est ...â Vu comme ça, c'est fabuleux !â C'est comme ça que cela devrait ĂȘtre. Mettre Ă la disposition desautres ce que l'on est capable de faire, le fruit de son travail, de sescompĂ©tences, et obtenir en Ă©change de quoi acquĂ©rir ce que d'autres savent faire et pas soi. L'argent n'est d'ailleurs pas quelque chose quel'on devrait accumuler, mais que l'on devrait utiliser. Si l'on partaittous de ce principe, le chĂŽmage n'existerait pas, car il n'y a pas delimites aux services que les ĂȘtres humains peuvent se rendremutuellement. Il suffirait de favoriser la crĂ©ativitĂ© des gens et de lesencourager Ă mettre en Ćuvre leurs projets.â Mais alors, pourquoi l'argent devient-il quelque chose de sale, denos jours ? 'â Pour le comprendre, il faut d'abord saisir l'importance de deuxĂ©lĂ©ments comment on gagne de l'argent, et comment on ledĂ©pense. L'argent est sain s'il provient de la mise en Ćuvre de noscompĂ©tences, en donnant le meilleur de nous-mĂȘmes. Il procurealors une rĂ©elle satisfaction Ă celui qui le gagne. Mais s'il est obtenuen abusant les autres, par exemple ses clients ou ses collaborateurs,alors cela gĂ©nĂšre ce que l'on pourrait appeler symboliquement uneĂ©nergie nĂ©gative â les chamans l'appellent la Hucha » â et cetteHucha tire tout le monde vers le bas, pollue les esprits et, au final,rend malheureux le spoliĂ© comme le spoliateur. Ce dernier peutĂ©prouver le sentiment d'avoir gagnĂ© quelque chose, mais il accumuleen lui cette Hucha qui l'empĂȘchera de plus en plus d'ĂȘtre se lit sur le visage quand on vieillit, et ce, quelle que soit larichesse accumulĂ©e ... Tandis que celui qui gagne de l'argent endonnant le meilleur de lui-mĂȘme et en respectant les autres peuts'enrichir en s' ne pouvais m'empĂȘcher de penser au Portrait de Dorian Gray, cetincroyable roman d'Oscar Wilde qui dĂ©peint ”n homme malfaisant,dont chaque acte malveillant s'inscrit sur le visage d'un personnagepeint sur un tableau, le marquant de plus en plus jusqu'Ă ce qu'il endevienne hideux. â Vous disiez aussi que la façon dont on dĂ©pense l'argent estimportante ...â Oui, si l'on utilise l'argent gagnĂ© pour donner Ă d'autres lapossibilitĂ© d'exprimer leurs talents, leurs compĂ©tences, en faisantappel Ă leurs services, alors l'argent produit une Ă©nergie positive. Ăl'inverse, si l'on se contente d'accumuler des biens matĂ©riels, alors lavie se vide de son sens. On se dessĂšche petit Ă petit. Regardez autourde vous les personnes qui ont passĂ© leur vie Ă accumuler sans riendonner sont dĂ©connectĂ©es des autres. Elles n'ont plus de vraiesrelations humaines. Elles ne sont plus capables de s'intĂ©ressersincĂšrement Ă une 'personne, ni d'aimer. Et, croyez-moi, quand on enarrive lĂ , on n'est pas heureux !â C'est drĂŽle, quand j'y pense je suis Ă l'autre bout du monde, jerencontre un maĂźtre spirituel, et c'est pour parler d'argent !â En fait, on ne parle pas vraiment d'argent.â Comment ça ?â On parle des limites que vous vous mettez dans la vie. L'argentn'est qu'une mĂ©taphore de vos balançai les jambes au-dessus du vide et contemplai cet immenseespace ouvert devant moi. Le lĂ©ger souffle du vent chaud continuaitde taquiner mes narines avec ses senteurs aĂ©riennes et de murmurerses secrets Ă mes oreilles.â Finalement, peut-ĂȘtre que je gagne suffisamment d'argentaujourd'hui et qu'il ne m'est pas nĂ©cessaire d'en avoir plus. Mais,dites-moi, puisque vous ĂȘtes si Ă l'aise avec l'argent, comment se fait-il que vous ne soyez pas richissime ?Il sourit, avant de me rĂ©pondre â Parce que je n'en ai pas besoin,â Alors pourquoi m'aidez-vous Ă ĂȘtre plus Ă l'aise avec l'argent ?â Parce qu'il faudra peut-ĂȘtre que vous parveniez Ă en gagner avantde pouvoir vous en dĂ©tacher.â Et si j'Ă©tais justement dĂ©jĂ dĂ©tachĂ© ?AprĂšs un court silence, il me ditâ Ce n'est pas un dĂ©tachement, c'est un paroles rĂ©sonnĂšrent en moi ; j'eus l'impression que l'Ă©cho de savoix se perpĂ©tuait en devais reconnaĂźtre qu'une fois de plus, il avait raison.â Dans la philosophie hindouiste, reprit-il, on considĂšre que gagnerde l'argent est un objectif valable, et cela correspond Ă l'une desphases de l'existence. Il faut juste Ă©viter de s'y enliser, et savoirensuite Ă©voluer vers autre chose pour rĂ©ussir sa vie.â Qu'est-ce qu'une vie rĂ©ussie ? demandai-je un peu naĂŻvement. .â Une vie rĂ©ussie est une vie que l'on a menĂ©e conformĂ©ment Ă sessouhaits, en agissant toujours en accord avec ses valeurs, en donnantle meilleur de soi-mĂȘme dans ce que l'on fait, en restant en harmonieavec qui l'on est, et, si possible, une vie qui nous a donnĂ© l'occasionde nous dĂ©passer, de nous consacrer Ă autre chose qu'Ă nous-mĂȘmeset d'apporter quelque chose Ă l'humanitĂ©, mĂȘme trĂšs humblement,mĂȘme si c'est infime. Une petite plume d'oiseau confiĂ©e au vent. Unsourire pour les autres.â Cela suppose que l'on connaisse ses souhaits.â Oui. â Et comment peut-on savoir si l'on agit en accord avec ses valeurs ?â En Ă©tant Ă l'affĂ»t de ce que l'on ressent si ce que vous faites nerespecte pas vos valeurs, vous Ă©prouverez une certaine gĂȘne, unlĂ©ger malaise, ou un sentiment de culpabilitĂ©. C'est un signe qui doitvous amener Ă vous demander si vos actions ne sont pas encontradiction avec ce qui est important pour vous. Vous pouvez aussivous demander, Ă la fin d'une journĂ©e, si vous ĂȘtes fier de ce quevous avez accompli, mĂȘme s'il s'agit d'actes secondaires. C'est trĂšsimportant on ne peut pas Ă©voluer en tant qu'ĂȘtre humain, ni mĂȘmesimplement rester en bonne santĂ©, quand on mĂšne des actions quiviolent nos valeurs.â C'est amusant que vous fassiez un lien avec la santĂ©, car je mesouviens que, lorsque j'Ă©tais Ă©tudiant, j'avais fait un job d'Ă©tĂ© en tantque tĂ©lĂ©-conseiller pour une compagnie d'assurances. Je devaisappeler des gens pour leur conseiller de souscrire une certaineassurance. La compagnie savait que les trois quarts des personnesque l'on contactait bĂ©nĂ©ficiaient dĂ©jĂ , sans le savoir, de cetteassurance parmi les services inclus dans leur carte bancaire. Mais ilne fallait surtout pas l'Ă©voquer, et nous devions proposer Ă tout lemonde cette assurance. Cet Ă©tĂ©-lĂ , j'ai eu, pour la premiĂšre fois dema vie, une crise d'eczĂ©ma carabinĂ©e. Le mĂ©decin n'a jamais pu enidentifier la cause, et les traitements prescrits n'ont rien changĂ©; jeles ai abandonnĂ©s. L'eczĂ©ma a continuĂ© de se dĂ©velopper, et j'ai finipar arrĂȘter ce travail car j'avais honte de me prĂ©senter au bureaudans cet Ă©tat. Huit jours plus tard, tout avait disparu.â On ne peut Ă©videmment pas en ĂȘtre sĂ»r, mais c'Ă©tait peut-ĂȘtre unmessage de votre corps pour vous signaler que vous agissiez encontradiction avec vos valeurs de respect de l'autre, de confiance etd'honnĂȘtetĂ©. â Il est vrai que ce sont des valeurs fondamentales pour moi.â J'en suis convaincu.â Vous disiez aussi qu'il faut donner le meilleur de soi-mĂȘme dans ceque l'on fait ?â Oui, c'est l'une des clĂ©s du bonheur. Vous savez, l'ĂȘtre humain secomplaĂźt dans le laisser-aller, mais s'Ă©panouit dans l'exigence de vraiment en Ă©tant concentrĂ© sur ce que l'on fait pour rĂ©ussir lamise en Ćuvre de nos compĂ©tences, et en relevant chaque fois denouveaux dĂ©fis, que l'on se sent heureux. C'est vrai pour tout lemonde, quels que soient notre mĂ©tier ou le niveau de noscompĂ©tences. Et notre bonheur est accru si notre travail apportequelque chose aux autres, mĂȘme indirectement, mĂȘme de cet instant prĂ©cis, ma mĂ©moire me transporta quatre annĂ©es enarriĂšre. J'Ă©tais au Maroc, Ă Marrakech. Je me baladais sur la placeDjemaa el-Fna, en fin de journĂ©e. La nuit tombĂ©e plongeait la placedans une atmosphĂšre envoĂ»tante. De nombreuses gargotes faisaientcrĂ©piter leurs feux de bois sur lesquels grillaient des viandes. Lesflammes projetaient leur lueur sur la foule des passants, illuminantfugacement les visages et faisant danser les ombres des merguez grillĂ©es rivalisait avec celle du couscous marchands Ă la sauvette Ă©taient partout. Certains offraient desarticles de cuir Ă peine sortis des ateliers de tannerie avoisinants, quidiffusaient encore leur odeur acide et agressive. D'autres exhibaientde grands plateaux de cuivre gravĂ© qui rĂ©flĂ©chissaient la lumiĂšre desfeux, faisant jaillir des Ă©clairs d'or sur les visages, les turbans et lesdjellabas. Les Ă©clats de voix se mĂȘlaient aux sons obsĂ©dants destambourins et aux mĂ©lodies des flĂ»tes des charmeurs de serpents. Jemarchais, les yeux Ă©carquillĂ©s, envoĂ»tĂ© par cette atmosphĂšre incroyable, les sens saturĂ©s de parfums, d'images, de sons, lorsque jefus interpellĂ© par un petit homme d'une cinquantaine d'annĂ©es,mince, tout en sourire, le visage dĂ©jĂ burinĂ© par le soleil du Sud. IlĂ©tait assis sur une caisse posĂ©e directement sur la terre battue,encadrĂ© par une gargote fumante et un marchand de poteries. Je luisouris en retour et regardai la chaise qu'il me dĂ©signait pour que jem'y asseye. C'est alors que je compris quel Ă©tait son mĂ©tier. Cireur dechaussures. Mon sourire se figea et je me raidis ne m'Ă©tais jamais senti Ă l'aise en considĂ©rant les mĂ©tiers quiamĂšnent ceux qui les exercent Ă effectuer des tĂąches ingrates. Cireurde chaussures Ă©tait peut-ĂȘtre celui que j'acceptais le plusdifficilement, car l'artisan opĂ©rait en prĂ©sence de son client, devantlui, sur lui. MĂȘme les postures respectives de chacun me gĂȘnaient leclient assis sur une chaise haute, dominant la situation; le cireur au-dessous, accroupi, assis, ou un genou Ă terre. Jamais je n'avais faitappel Ă ce genre de renouvela son invitation et insista gentiment, m'offranttoujours son sourire rayonnant. L'Occidental que j'Ă©tais reprĂ©sentaitsans doute; pour lui, le client idĂ©al. Mais mon statut d'Ă©trangeraccentuait prĂ©cisĂ©ment mon malaise je ne voulais pas offrir Ă sescompatriotes la vue d'un Occidental se faisant cirer les chaussurespar l'un des leurs, dans une position que je trouvais arrogante. Unmauvais clichĂ© colonialiste. Je ne sus s'il perçut mon malaise oul'interprĂ©ta comme une hĂ©sitation. Peut-ĂȘtre simplement monabsence d'indiffĂ©rence Ă sa proposition lui donna-t-elle l'espoir de meconvaincre. Il se leva, toujours souriant, et s'approcha de moi. Jen'eus pas le temps d'exprimer un refus il Ă©tait dĂ©jĂ sur moi,auscultant mes chaussures dĂ©fraĂźchies tout en formulant sondiagnostic et la promesse de leur rendre leur jeunesse. Ma difficultĂ© Ă m'opposer aux sollicitations des autres explique sans doute pourquoi je me retrouvai, malgrĂ© moi, assis sur cette chaise que je considĂ©raisun instant plus tĂŽt avec rĂ©pugnance. Je n'osais regarder le mondeautour de moi de peur de rencontrer des regards culpabilisants. Luis'affairait dĂ©jĂ sur mes chaussures. Saisissant un demi-citron, il enfrotta Ă©nergiquement le cuir dĂ©fraĂźchi. Dans l'Ă©tat oĂč j'Ă©tais, plus rienne devait m'Ă©tonner. Je crois que s'il avait Ă©crasĂ© une banane sur messouliers, je n'en aurais pas Ă©tĂ© plus surpris. Il travaillait avecapplication et enthousiasme. SĂ»r de lui, il maĂźtrisait son geste,alternant le citron et divers types de brosses. Au loin, la flĂ»te descharmeurs de serpents perpĂ©tuait sa complainte sans commençais Ă me dĂ©raidir un peu. Nous Ă©changeĂąmes quelquesphrases, mais il restait trĂšs concentrĂ© sur ce qu'il faisait, arboranttoujours son sourire ineffable. Il appliqua une sorte de crĂšmenoirĂątre avec un vieux chiffon, massant le cuir pour la faire entreprit ensuite de le lustrer avec une petite brosse agile, et, Ă mesure que mes chaussures reprenaient vie, son sourire s'Ă©largissait,dĂ©couvrant des dents Ă©clatantes dont la blancheur contrastait avecsa peau brune. Lorsque mes chaussures devinrent aussi lisses etbrillantes qu'au premier jour, ses yeux pĂ©tillĂšrent de fiertĂ©. J'avaiscomplĂštement oubliĂ© ma gĂȘne initiale. Sa joie Ă©tait contagieuse, et jeme sentis soudain trĂšs proche de cet homme que je ne connaissaispas quinze minutes auparavant. Je ressentais un vĂ©ritable Ă©lan desympathie pour lui, comme une onde d'amitiĂ©. Il me demanda un prixhonnĂȘte que je rĂ©glai de bonne grĂące, et, dans l'enthousiasme dumoment, il insista pour m'offrir du thĂ© Ă la menthe dans une petitetasse mĂ©tallique, partageant ainsi sa joie en prolongeant la pris soudainement conscience de ce qui m'apparut alors commeune Ă©vidence, une douloureuse Ă©vidence cet homme Ă©tait plusheureux que moi, qui disposais d'un mĂ©tier valorisant et qui, malgrĂ©mes faibles moyens, Ă©tais sans doute mille fois plus riche que lui. Cet homme respirait le bonheur par tous les pores de sa peau, et cebonheur rayonnait autour de seul souvenir de cette scĂšne vĂ©cue quatre ans plus tĂŽt, j'avais lesyeux humides.â Pourquoi avez-vous parlĂ© de l'utilitĂ© d'avoir des dĂ©fis Ă relever pourse sentir heureux en mettant en Ćuvre nos compĂ©tences ? luidemandai-je.â Parce que le dĂ©fi stimule notre concentration, et que c'est lui quinous pousse Ă donner le meilleur de nous-mĂȘmesâą dans ce que nousfaisons, et Ă en tirer ensuite une rĂ©elle satisfaction. C'est unecondition pour nous Ă©panouir dans nos actions.â Vous disiez aussi qu'une vie est rĂ©ussie quand on rĂ©alise des chosesen harmonie avec qui l'on est. Mais comment fait-on pour savoir sic'est bien le cas ?â Imaginez que vous allez mourir ce soir, et que vous le savez depuisune semaine. De tout ce que vous avez fait dans la semaine, qu'est-ceque vous auriez conservĂ©, sachant que vous alliez mourir ?â Ouh lĂ ! Ăa c'est une question !â Oui.â Disons que cette derniĂšre semaine Ă©tait un peu particuliĂšre,compte tenu de notre rencontre. Il n'y a pas grand-chose que jechangerais.â Alors, prenez la semaine qui a prĂ©cĂ©dĂ© votre voyage Ă Bali.â Eh bien ... disons ... euh ... voyons .... J'essayai de me repassermentalement le film de la semaine en question. Je m'efforçai devisualiser heure par heure ce que j'avais fait, et, pour chacune de mes actions, je me demandai si je l'aurais vraiment rĂ©alisĂ©e sachant quej'allais mourir Ă la fin de la semaine. Il me fallut plusieurs minutespour lui rĂ©pondre â Il y a environ 30 % de mes actions que j'aurais conservĂ©es, grossomodo.â Vous ĂȘtes en train de me dire que vous auriez renoncĂ© Ă faire 70 %de ce que vous avez fait, si vous aviez su que vous alliez mourir ?â Ben, oui.â C'est trop, beaucoup trop. Il est normal d'accomplir certainestĂąches vides de sens, mais pas dans de telles proportions. En fait,vous devriez pouvoir inverser ce rapport ĂȘtre capable d'affirmerque, sachant votre mort prochaine, vous continueriez d'effectuer 70% de ce que vous faites habituellement. Ce serait un signe que vosactions sont en harmonie avec qui vous ĂȘtes.â Je vois.â Et vous remarquerez que c'est sans rapport avec la difficultĂ© destĂąches, mais simplement avec le sens qu'elles ont pour vous.â TrĂšs bien, je suis d'accord avec tout ça dans l'absolu, mais enpratique ce n'est pas toujours possible de faire ce que l'on souhaitefaire.â On a toujours le choix.â Non, si je ne faisais que ce qui est en accord avec moi-mĂȘme, jerisquerais de perdre mon boulot ...â Vous avez donc le choix de garder ou de perdre cet emploi.â Mais je prendrais dans ce cas le risque d'en trouver un autre moinsbien rĂ©munĂ©rĂ©. Je ne pourrais plus payer mon loyer ! â Vous auriez alors le choix de conserver cet appartement ou d'enprendre un moins cher, peut-ĂȘtre plus Ă©loignĂ© de votre travail.â Ma famille et mes amis seraient déçus si je m'Ă©loignais.â Alors, vous auriez le choix de les satisfaire ou de les dĂ©cevoir.â Vu comme ça ...â C'est juste pour vous dire que le choix vous appartient. Ă certainsmoments, dans la vie, on n'a pas forcĂ©ment beaucoup de choix, etceux-ci sont peut-ĂȘtre douloureux, mais ils existent et, au final, c'estvous qui dĂ©terminez ce que vous vivez vous avez toujours le choix, etc'est bien de garder Ă l'esprit cette idĂ©e.â J'ai parfois l'impression que ce sont les autres qui choisissent pourmoi.â Alors, c'est que vous choisissez de les laisser dĂ©cider pour vous.â Je trouve quand mĂȘme qu'il y a des gens qui disposent de plus dechoix que d'autres.â Plus on Ă©volue dans sa vie, plus on se dĂ©barrasse des croyances quinous limitent, et plus on a de choix. Et le choix, c'est la regardai cet immense espace devant moi, cet espace vertigineuxque rien n'arrĂȘtait, et je me mis Ă rĂȘver de libertĂ©, le regard perdu Ă l'horizon, inspirant profondĂ©ment cet air enivrant au parfum d'infini.â Vous savez, reprit-il, on ne peut pas ĂȘtre heureux si l'on se voitvictime des Ă©vĂ©nements ou des autres. Il est important decomprendre que c'est toujours vous qui dĂ©cidez de votre vie, quellequ'elle soit. MĂȘme si vous ĂȘtes le dernier des subalternes sur votrelieu de travail, c'est vous qui ĂȘtes le directeur de votre vie. C'est vousqui ĂȘtes aux commandes. Vous ĂȘtes le maĂźtre de votre destin. â Oui.â Et vous ne devez pas avoir peur vous dĂ©couvrirez que c'estprĂ©cisĂ©ment lorsque vous vous autorisez Ă choisir des actions quisont en harmonie avec vous, qui respectent vos valeurs et exprimentvos compĂ©tences, que vous devenez trĂšs prĂ©cieux pour les portes s'ouvrent alors d'elles mĂȘmes. Tout devient plus facile, etl'on n'a plus besoin de lutter pour restĂąmes silencieux un long moment. Puis il se leva, et jerompis le silence.â Je me suis renseignĂ© pour mon billet d' ne peux pas le changer sans payer un surcoĂ»t Ă©levĂ©. Vous aviezprĂ©vu de me dire aujourd'hui s'il me restait des choses importantes Ă dĂ©couvrir nĂ©cessitant que l'on se voie demain.â Je pense qu'il vous reste, en effet, un apprentissage majeur.â Et demain, vous n'ĂȘtes toujours pas disponible le matin ?â Non.â Excusez-moi d'insister, mais vous ne pouvez absolument pas vouslibĂ©rer pour me permettre de conserver mon avion l'aprĂšs-midi ?â n'Ă©tait vraiment pas de chance. J'Ă©tais devant un choix cornĂ©liendevais-je renoncer Ă la derniĂšre de ces rencontres qui, pourtant, mepassionnaient et m'Ă©veillaient Ă moi-mĂȘme, ou payer un prixscandaleusement Ă©levĂ© pour dĂ©placer mon retour ?â Qu'est-ce que vous feriez Ă ma place ? Vous changeriez de vol ? â C'est Ă vous de choisir, dit-il, un sourire satisfait sur les lĂšvres,plongeant son regard plein de bontĂ© dans mes yeux se reflĂ©tait dans ses s'Ă©loigna en direction du campan, de son pas lent et serein, et je leperdis de vue lorsqu'il entra dans le taillis de cents dollars ! Cela revenait presque Ă payer une deuxiĂšme foismon billet de retour ! Difficile Ă accepter... Cela plomberait moncompte bancaire en accentuant le dĂ©couvert vertigineux qu'il devaitdĂ©jĂ afficher. Mes relations avec mon banquier s'en trouveraientaffectĂ©es pour un certain temps ... Sans compter que prendre l'aviondimanche m'assurait d'arriver fatiguĂ© Ă la maison, quelques heures Ă peine avant de reprendre le travail. Perspective peu rĂ©jouissante. EnmĂȘme temps, ce n'Ă©tait pas tous les jours que l'on avait l'occasion derencontrer un homme comme maĂźtre Samtyang. Mais bon, ça faisaitcher l'entretien ! Vraiment, je ne savais plus quoi faire. Chaqueoption me semblait douloureuse, et je ne parvenais pas Ă au volant et j'approchais d'Ubud. Il me fallait tranchermaintenant, car, pour changer mon billet, je devais arriver Ă l'agencede voyages de Kuta avant sa fermeture. J'approchais de l'endroit oĂčje devrais choisir ma de peser le pour et le contre. En Ă perdre et Ă gagner dans les deux situations. Choiximpossible. Les dĂ©cisions n'avaient jamais Ă©tĂ© mon fort ! Je n'allaisquand mĂȘme pas tirer Ă pile ou145 face, ce ne serait pas trĂšs glorieux aprĂšs cinq jours dedĂ©veloppement personnel, je devais ĂȘtre capable de dĂ©cider en touteconscience ! Ma conscience finit par me dire que je me remettrais d'une rentrĂ©esur les chapeaux de roues et que je trouverais bien le moyen decombler un jour mon dĂ©couvert. Dans six mois ou un an, j'auraismĂȘme oubliĂ© ce passage Ă vide. Tandis que je pourrais sans douteretirer pendant longtemps des bĂ©nĂ©fices personnels de ce que leguĂ©risseur allait m'apprendre, peut-ĂȘtre mĂȘme toute ma vie. J'arrivaiau carrefour et pris plein sud, direction Kuta. Comme disait OscarWilde, les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais !Je me souvenais du commentaire du Premier ministre du Mexique Ă l'Ă©poque oĂč son pays accumulait des dettes abyssales. Un journalistelui avait demandĂ© si cela troublait son sommeil. Il avait rĂ©ponduqu'un dĂ©couvert de mille dollars vous empĂȘchait de dormir la nuit,tandis que, pour un dĂ©couvert de cent milliards de dollars, c'Ă©taitvotre banquier qui dormait mal. J'en conclus que mes dettes Ă©taientsans doute encore trĂšs me fallut prĂšs d'une heure pour rejoindre n'aimais pas ce lieu. Pour moi, Kuta n'Ă©tait pas Bali. C'est lĂ quel'on trouvait la plus forte concentration de touristes, notamment dessurfeurs australiens. La nuit, la ville se transformait en boĂźte de nuitgĂ©ante. Il Ă©tait impossible de faire trois pas dans la rue sans ĂȘtreaccostĂ© par un Javanais vous proposant de la drogue ou uneprostituĂ©e. Au choix. Dans les annĂ©es soixante-dix, Kuta faisait partiedu pĂšlerinage incontournable des hippies au sein de la boucle destrois K Kuta, Katmandou, Kaboul. En 2002, Kuta, symbole de ladĂ©pravation de l'Occident, fut choisie par Al-Qaida pour y perpĂ©trerl'un de ses attentats les plus trajet dura plus longtemps que prĂ©vu, et j'arrivai sur place en find'aprĂšs-midi. L'agence de voyages fermait ses portes dans dixminutes. Je pris Ă vive allure l'Ă©troite rue en sens unique oĂč elle se trouvait. Par miracle, je repĂ©rai une place de stationnement justedevant. ArrivĂ© Ă sa hauteur, je la dĂ©passai afin de pouvoir m'yengager Ă reculons. Je m'aperçus alors que la voiture qui me suivaitne s'Ă©tait pas arrĂȘtĂ©e, bien que mon intention de me garer fĂ»t claire non seulement j'avais mis mon clignotant Ă l'avance, mais, en plus,j'avais marquĂ© une lĂ©gĂšre embardĂ©e devant la place, montrant ainsique je comptais m'y garer. Non, il m'avait quand mĂȘme suivi,m'empĂȘchant de reculer. Je conservai un instant ma position en biaiset mon clignotant enclenchĂ© afin de lui faire comprendre mamanĆuvre, mais rien n'y fit il ne reculait pas. Je baissai ma vitre,passai la tĂȘte et lui demandai de faire une petite marche arriĂšre pourque je puisse me garer. Aucune autre voiture ne le suivant, c'Ă©taitfacile. Il Ă©tait clair qu'il me comprenait, surtout que j'accompagnaismes mots de gestes explicites. En vain. De type occidental, lacinquantaine avancĂ©e, il avait le visage rouge cramoisi, symptĂŽmecommun aux blonds abusant du soleil et aux alcooliques. Dans soncas, j'optais volontiers pour la seconde explication. Il avait l'air butĂ©de ceux qui ne disposent d'aucune souplesse d'esprit et ne veulentjamais rien lĂącher. Une incroyable force d'inertie se dĂ©gageait de saposture. Il semblait aussi lourd que sa voiture, ancrĂ© dans le sol. Jerenouvelai mes gestes et mes paroles. Rien. Visage obtus, Ă©paulesverrouillĂ©es, bras figĂ©s, grosses mains crispĂ©es sur le volant tout soncorps exprimait sa volontĂ© de ne pas cĂ©der. Car cĂ©der Ă©taitmanifestement le sens qu'il donnait au fait de reculer de deuxmĂštres. Cela m'apparut comme une Ă©vidence dans sa vie, sa relationaux autres devait ĂȘtre rĂ©gie par des rapports de force, et sans doutedevait-il croire que rĂ©pondre Ă la demande de quelqu'un revenait Ă cĂ©der du terrain, Ă faire preuve de faiblesse.âą Mais oui, c'Ă©tait ça ! Ildevait avoir une croyance du typeâą Dans la vie, il ne faut pas selaisser faire, ne jamais rien cĂ©der. » Dans d'autres circonstances,j'aurais trouvĂ© cela trĂšs drĂŽle â mĂȘme si son entourage Ă lui ne devait pas rigoler tous les jours. Mais l'agence de voyages fermait dans cinqminutes. Je n'avais pas le choix, il fallait que je prenne cette place,pas le temps d'en chercher une autre. Les paroles du sage merevinrent alors en Ă©cho on a toujours le choix. Je me dis subitementque je pouvais combattre la force d'inertie par la force d'inertie. Jecoupai le contact, mis le frein Ă main et abandonnai ma voiture enplein milieu de la chaussĂ©e, bloquant la rue. Je me ruai dans l'agenceet tendis mon billet Ă l'employĂ©e qui avait dĂ©jĂ commencĂ© Ă Ă©teindreles lumiĂšres. Le clavier de son ordinateur crĂ©pita, bientĂŽt couvert parun klaxon en continu. Je prĂ©sentai ma carte bancaire, un peu anxieux,en priant pour que le rĂšglement ne soit pas refusĂ© par le centre depaiement. L'opĂ©ration dura un certain temps, ce qui me parut demauvais augure, mais, en fin de compte, j'appris que le systĂšme avaitacceptĂ© que je m'appauvrisse un peu portefeuille ainsi allĂ©gĂ©, un nouveau billet d'avion en poche, jeretournai Ă ma voiture. Le conducteur Ă©tait fou de rage. Sa mainĂ©crasait son klaxon en continu, et il ne la retira que pour me faireentendre un torrent d'insultes. Je lui adressai mon plus beau sourire,ce qui n'eut d'autre effet que de faire redoubler sa colĂšre ; JedĂ©marrai, suivi de tellement prĂšs que j'avais l'impression qu'il allaitme pousser. C'Ă©tait vraiment ridicule. Je compris alors pleinementcette notion de choix abordĂ©e par le guĂ©risseur. Ce qui Ă©tait frappant,chez ce conducteur, c'Ă©tait l'absence de choix de comportements quelui dictait sa personnalitĂ©. Il ne pouvait ni reculer, ni nĂ©gocier, nipatienter. Il ne pouvait que passer en force. Cet homme n'Ă©tait paslibre. Il Ă©tait, au contraire, en prise avec ses croyances. C'Ă©taitflagrant. Quinze jours auparavant, je me serais simplement dit Quel con ! » Aujourd'hui, je percevais que l'intelligence n'avait sansdoute rien Ă voir avec son attitude aberrante. Je m'Ă©tonnais tout seul de ma comprĂ©hension de comportementsque j'avais jusqu'Ă prĂ©sent l'habitude de rejeter avec, sans doute, unecertaine intolĂ©rance. PortĂ© par cette comprĂ©hension et unecompassion nouvelles, cela me donnait l'envie d'observer etd'Ă©couter plus les gens, et d'essayer de dĂ©couvrir les croyancespouvant ĂȘtre Ă l'origine de leurs me rendis sur le bord de mer et m'attablai Ă la terrasse d'un beaucafĂ©-glacier. J'ai toujours eu pour habitude de dĂ©penser pour meconsoler de mes ennuis commandai un cocktail chocolat-avocat, mariage surprenant maisabsolument dĂ©licieux, et m'installai confortablement dans un fauteuilen teck, face Ă la mer. Le vent avait dĂ» souffler fort car les vaguesĂ©taient particuliĂšrement hautes. Le soleil de fin de journĂ©e inondaitle rivage de sa chaude lumiĂšre orangĂ©e, si flatteuse pour les maisonscomme pour les visages. La plage jouait les vases communicants avecla terrasse de mon cafĂ©, qui s'animait progressivement. C'Ă©tait bond'ĂȘtre seul sans l'ĂȘtre vraiment, de profiter de l'ambiance naissantesans devoir contribuer Ă sa la table voisine, deux jeunes gens assez dĂ©licate et plutĂŽt jolie, les cheveux chĂątains et les yeuxbleus, un air un peu boudeur; lui, sans doute pas trĂšs grand maisassez costaud, la nuque Ă©paisse et les cheveux bruns coupĂ©s ras,qu'elle appelait Dick. Elle lui racontait le spectacle d'ombres chinoisesauquel elle avait assistĂ© la veille au soir et qui l'avait visiblementfascinĂ©e. Il l'Ă©coutait avec attention, mĂȘme s'il me semblait clair quequelques ombres, si artistiques fussent-elles, n'auraient pas suffi Ă l'Ă©mouvoir. Peut-ĂȘtre Ă©tait-il nĂ©anmoins touchĂ© par la sensibilitĂ©qu'elle exprimait. Je sentais qu'ils n'Ă©taient pas en couple, maisqu'elle Ă©prouvait Ă son Ă©gard des sentiments qu'elle n'avait sans doute pas encore dĂ©voilĂ©s. Il la prĂ©nommait Doris, et j'Ă©tais incapablede dire ce qu'iJ ressentait pour elle. Dick faisait partie de ces hommestellement virils que l'on ne sait pas si les Ă©motions et les sentimentsfont partie de leur Ă©quipement dâorigine. Je m'amusais Ă l'imagineren homme des cavernes traĂźnant sa compagne par les cheveux pourl'emmener dans son une table jouxtant-la leur, un surfeur adolescent, mi-boutonneux,mi-frimeur, sirotait un whisky Coca. Il regardait Doris avec attention,mais j'avais le sentiment que n'importe quelle autre fille auraitsuscitĂ© chez lui le mĂȘme intĂ©rĂȘt. Lui et moi avions un point commun aucun mot de la conversation d'Ă cĂŽtĂ© ne nous bout d'un bon quart d'heure, Dick et Doris furent rejoints par unefille de leur Ăąge; accompagnĂ©e par quelqu'un qu'ils ne connaissaientapparemment pas.â Salut Kate ! lança Dick.â Salut Dick, salut sentis immĂ©diatement Doris se renfermer de façon semblait contrariĂ©e. Il Ă©tait clair qu'elle ne l'aimait l'une pour l'autre ?Brune, Ă l'allure provocante, Kate Ă©tait plus sexy que vĂ©ritablementbelle. Des talons plutĂŽt hauts pour un bord de plage, une minijupe etles seins au balcon. Elle n'avait pas beaucoup de poitrine, mais saintWonderbra Ă©tait passĂ© par lĂ , et l'effet obtenu Ă©tait Ă la table voisine, le surfeur adolescent ne quittait plus desyeux son dĂ©colletĂ©. Elle parlait en souriant, travaillant l'attitude hypercool de la fille bien dans sa peau, bien dans son corps.
Lhomme qui voulait ĂȘtre heureux pan Laurent Gounelle CaractĂ©ristiques Ameba Ownd - çĄæ Format: Pdf, ePub, MOBI, FB2; ISBN: 9782738226204; Editeur: SuccĂšs du livre; Date de parution: 2010; TĂ©lĂ©charger eBook gratuit. Collections Amazon e-Books L'homme qui voulait ĂȘtre heureux 9782738226204. Overview . ImaginezVous
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Home/ Books / Roman / L homme qui voulait ĂȘtre heureux. L homme qui voulait ĂȘtre heureux Roman Laurent Gounelle 18 6th May, 2022 (0) pdf 546.36 KB. share download (5) embed full screen report print. Loading please wait Overview . Imaginez Vous ĂȘtes en vacances Ă Bali et, peu de temps avant votre retour, vous consultez un vieux guĂ©risseur.
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Lhomme qui voulait ĂȘtre heureux by Gounelle, Laurent, 1966- .. Publication date 2009 Publisher Paris : Ăd. France loisirs Collection inlibrary; printdisabled; internetarchivebooks Digitizing sponsor Kahle/Austin Foundation Contributor Internet Archive Language French. 1 v. (220 p.) : 20 cm Access-restricted-item true Addeddate 2021-04-17 12:00:47 Boxid
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Le roman est un parcours initiatique. Il raconte lâhistoire de Julian, un enseignant, qui part en vacances Ă Bali. Avant son retour, lâenseignant dĂ©cide dâaller voir un guĂ©risseur, qui va changer sa vision du monde et des autres. Tout au long du roman, Gounelle nous dĂ©livre un message positif » Nous sommes tous prisonniers de croyances que nous entretenons sans en avoir conscience . Câest un roman qui amĂšne le lecteur Ă se poser les bonnes questions. Câest pour cette raison quâil a un grand succĂšs, et a Ă©tĂ© vendu en des millions dâexemplaires partout dans le monde. Je suis persuadĂ© que câest un roman quâil vous plaira, et vous initie Ă la dĂ©couverte du monde du dĂ©veloppement personnel. Câest lâun des romans que je vend le plus, plusieurs personnes le commandent et sont trĂšs satisfaits de sa lecture. Je vous le recommande vivement, et je vous laisse le lire et dĂ©couvrir lâhistoire, et surtout les leçons quâil contient. TĂ©lĂ©charger Maintenant Cette page contient des liens d'affiliation Amazon.
AccesPDF L Homme Qui Voulait Etre Heureux L Homme Qui Voulait Etre Heureux Guillaume est noble, il a 14 ans. Il se rend à cheval chez le seigneur qui va lui apprendre le métier d'écuyer lorsqu'il rencontre de pauvres paysans condamnés au cachot par injustice. Guillaume va mettre en oeuvre son ingéniosité pour les sauver et suivre ainsi
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ï»żLink Synopsis du livre At the end of a holiday in Bali, Julian, an unhappy schoolteacher decides to meet a renowned local healer, Samtyang. Through daily sessions at the wise man's house, he begins to identify the source of his unhappiness as a series of simple questions and answers point to his own limiting beliefs and fears. Day after day, their dialogue is punctuated by live examples and challenges Julian is asked to experience on the island's mainland and its surroundings. Tags de livre [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle PDF [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle Epub [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle Ebook [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle Rar [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle Zip [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle Lire en ligne L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle TĂ©lĂ©chargement du livre complet L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle livre tĂ©lĂ©charger pdf L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle tĂ©lĂ©chargement pdf L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle epub tĂ©lĂ©charger L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle mobi L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle "pdf" L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle tĂ©lĂ©chargement du livre audio L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle tĂ©lĂ©chargement de livres Ă©lectroniques L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle tĂ©lĂ©charger Link Synopsis du livre At the end of a holiday in Bali, Julian, an unhappy schoolteacher decides to meet a renowned local healer, Samtyang. Through daily sessions at the wise man's house, he begins to identify the source of his unhappiness as a series of simple questions and answers point to his own limiting beliefs and fears. Day after day, their dialogue is punctuated by live examples and challenges Julian is asked to experience on the island's mainland and its surroundings. Tags de livre [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle PDF [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle Epub [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle Ebook [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle Rar [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle Zip [Livre] L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle Lire en ligne L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle TĂ©lĂ©chargement du livre complet L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle livre tĂ©lĂ©charger pdf L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle tĂ©lĂ©chargement pdf L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle epub tĂ©lĂ©charger L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle mobi L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle "pdf" L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle tĂ©lĂ©chargement du livre audio L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle tĂ©lĂ©chargement de livres Ă©lectroniques L'Homme qui voulait ĂȘtre heureux Par Laurent Gounelle tĂ©lĂ©charger
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Maischacun peut se libĂ©rer de ce qui l'empĂȘche d'ĂȘtre heureux. Michelangelo Marchese fait vivre avec intensitĂ© cette fable qui est aussi un guide d'Ă©panouissement personnel. ePub recommandĂ©: Read online: Les cent puits de Salaga pdf , DOWNLOAD [PDF] {EPUB} Star Trek: Discovery: Fear Itself download link , [Kindle] Les sentiers des
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AvecLâhomme qui voulait ĂȘtre heureux, câest tout un monde de possibilitĂ©s nouvelles qui sâouvre Ă nous Ă la lecture de cette histoire passionnante, oĂč lâon dĂ©couvre comment se libĂ©rer de ce qui nous empĂȘche dâĂȘtre vraiment heureux. *** LA U REN T GOU N ELLE est un spĂ©cialiste du dĂ©veloppement personnel.
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eMKsT.