Unfilm de Stanley Kubrick : Aux temps prĂ©historiques, une petite tribu dâhommes-singes intallĂ©e au milieu de rochers arides lutte difficilement pour la vie. Un matin, ils trouvent devant eux une mystĂ©rieuse dalle noire monolitique. Lâun des singes touche la pierre et apprend alors Ă se servir dâun os de quadrupĂšde pour tuer ses ennemisCarte mentaleĂlargissez votre recherche dans UniversalisUn film expĂ©rimental Ă trĂšs gros budgetLa forme du film â un enchaĂźnement de sections presque autonomes oĂč les personnages se renouvellent â, les nombreuses ellipses ou phĂ©nomĂšnes visuels et sonores non expliquĂ©s, la sĂ©quence presque abstraite du voyage au-delĂ de l'infini » ; tout manifeste le dĂ©sir du rĂ©alisateur de rĂ©inventer un cinĂ©ma pur oĂč musique, formes visuelles, mouvements, proposent des associations sans les expliquer, mettant le spectateur dans la mĂȘme situation que ses personnages â singes ou humains â face Ă l' film est plus ancrĂ© dans son Ă©poque qu'il n'y paraĂźt obsession paranoĂŻaque de la surveillance les Russes et les AmĂ©ricains â puisque l'Ćuvre postule un monde toujours bipolarisĂ© â continuent d'avoir des relations polies et suspicieuses, division du territoire spatial en deux zones d'influence, goĂ»t d'un cinĂ©ma froid et laconique. Par ailleurs, le voyage de Dave vers Jupiter reflĂšte l'attrait des annĂ©es 1960 pour les morceaux de bravoure op art. De mĂȘme, la lenteur rituelle de certaines actions accomplies en silence est typique du cinĂ©ma de l'Ă©poque, comme le dĂ©but d'Il Ă©tait une fois dans l'Ouest Once upon a Time in West, 1968, de Sergio monolithe noir est le seul personnage » qui unit les quatre parties du film or, semblable Ă un miroir opaque qui absorbe la lumiĂšre et ne renvoie rien, ce monolithe est muet, inexpliquĂ©. Ă l'autre extrĂȘme, dans la partie la plus classiquement dramatique du film, Ă bord du Discovery, c'est un ordinateur programmĂ© pour exprimer des Ă©motions qui invoque sa peur et nous touche de maniĂšre dĂ©chirante lorsqu'il supplie Dave de ne pas le dĂ©connecter. A contrario, les personnages humains du film sont volontairement inexpressifs, lisses, fades on les voit manger, dormir, dotĂ©s d'une famille, et une scĂšne Ă©voque mĂȘme le problĂšme des besoins naturels » en apesanteur. Seule, la sexualitĂ© est Ă©ludĂ©e et les personnages fĂ©minins trĂšs la premiĂšre fois, une musique classique, la valse du Beau Danube bleu, se trouvait associĂ©e Ă un monde futuriste. Ce choix paradoxal frappa par son Ă©vidence et son efficacitĂ© et permit, comme au temps du cinĂ©ma muet, de structurer une frĂ©quemment classĂ©e dans les palmarĂšs du cinĂ©ma, 2001 servira de rĂ©fĂ©rence pour beaucoup de films ultĂ©rieurs, aussi bien pour ceux qui voudront en prendre le contre-pied et Ă©voquer un monde du futur sale et dĂ©glinguĂ© alors que celui de 2001 est propre et fonctionnel, que pour ceux qui voudront rivaliser avec sa symphonie de lumiĂšres, comme par exemple Rencontres du troisiĂšme type Close Encounters of the Third Kind, 1977, de Steven Spielberg, ou The Abyss, 1989, de James 2 3 4 5 âŠpour nos abonnĂ©s, lâarticle se compose de 3 pagesĂcrit par Ă©crivain, compositeur, rĂ©alisateur, maĂźtre de confĂ©rences Ă©mĂ©rite Ă l'universitĂ© de Paris-IIIClassificationArtsCinĂ©maGenres cinĂ©matographiquesFilms de science-fictionArtsCinĂ©maCinĂ©matographies nationalesCinĂ©ma amĂ©ricainAutres rĂ©fĂ©rences 2001, L'ODYSSĂE DE L'ESPACE, Stanley Kubrick » est Ă©galement traitĂ© dans 2001, L'ODYSSĂE DE L'ESPACE S. KubrickĂcrit par JoĂ«l MAGNY âą 218 mots âą 1 mĂ©diaLe cinĂ©ma de science-fiction a beaucoup perdu de sa vigueur et de sa vitalitĂ©, lorsque Stanley Kubrick 1928-1999 se lance dans l'aventure de 2001 a Space Odyssey, dont le succĂšs va redonner au genre une nouvelle vie pour plusieurs dĂ©cennies. Selon Jacques Goimard, il s'agit du [âŠ] Lire la suiteMUSIQUE ET CINĂMA, LE MARIAGE DU SIĂCLE ? expositionĂcrit par Christian VIVIANI âą 1 093 mots âą 2 mĂ©dias Dans le chapitre Bernard Herrmann, Michel Legrand, Nino Rota... » [âŠ] Le visiteur baigne dâemblĂ©e dans la musique, tandis quâune disposition technique astucieuse et intelligente Ă©vite la cacophonie ou la bousculade on regarde les notes Ă©crites, les extraits de films, les portraits, les gĂ©nĂ©riques Ă©vocateurs et, quand un lieu dâĂ©coute se libĂšre, on sây installe ; rien que pour soi, les compositeurs de musique de films y murmurent des confidences, se laissent surpr [âŠ] Lire la suitePARLANT CINĂMA - repĂšres chronologiquesĂcrit par Michel CHION âą 3 247 mots 1899 Ătats-Unis. Th e Astor Tramp , picture song » de Thomas Edison. Bande filmĂ©e destinĂ©e Ă ĂȘtre accompagnĂ©e d'une chanson chantĂ©e en salle derriĂšre l'Ă©cran par des artistes invitĂ©s. 1900 France. PrĂ©sentation par ClĂ©ment Maurice du Phono-CinĂ©ma-Théùtre Ă lâ'Exposition universelle. Au programme, une scĂšne d' Ham l et interprĂ©tĂ©e par Sarah Bernhardt, une autre de Cyrano de Bergerac avec C [âŠ] Lire la suiteRecevez les offres exclusives Universalis
Accueil/ AFFICHES / Affiches de films / 2001 ODYSSĂE DE LâESPACE â Affiche de cinĂ©ma originale â 40X60. 2001 ODYSSĂE DE LâESPACE â Affiche de cinĂ©ma originale â 40X60 . 20,00 ⏠FILM AMĂRICAIN
SpĂ©cial Stanley Kubrick Dans sa premiĂšre partie, 2001, lâodyssĂ©e de lâespace 1968 prĂ©sente la naissance de lâHomme ; celui-ci, via lâenseignement ou le simple contact du monolithe, se distingue en ce quâil intĂšgre la violence, celle-ci Ă©tant tout Ă la fois instinct de destruction et capacitĂ© Ă se dĂ©fendre. Pour autant, la rĂ©flexion sur lâHomme en tant quâĂȘtre substantiellement violent nâest quâeffleurĂ©e dans 2001, lâodyssĂ©e de lâespace â et ce bien que les dĂ©bordements de lâordinateur HAL, dans la troisiĂšme partie, reviennent, Ă nouveau, sur ce thĂšme â et il faudra attendre Orange mĂ©canique 1971 pour que Kubrick la dĂ©veloppe vraiment[1]. La principale idĂ©e Ă retenir de la longue introduction me semble donc ĂȘtre la suivante lâHomme est nĂ©, il y a 400 000 ans, et cela constituait la nouvelle Ă©tape dâun dĂ©veloppement dont le plan dâensemble nous reste inconnu. LâĂ©lĂ©ment important est que, un trĂšs long temps sâĂ©tant Ă©coulĂ©, une nouvelle Ă©tape est dĂ©sormais envisageable. Cette impression de temps qui passe est dâailleurs trĂšs marquĂ©e car de nombreux indicateurs temporels sont prĂ©sents tout au long du film. Câest le cas dĂšs le titre, 2001, lâodyssĂ©e de lâespace, 2001 Ă©tant une date trĂšs symbolique â surtout en 1968 â qui sonne comme un nouveau dĂ©part â et ne reprĂ©sente pas, comme 2000, une fin. Figurent Ă©galement au dĂ©but de chaque partie du film des indications temporelles Ă©crites Lâaube de lâhumanitĂ© ; 400000 ans aprĂšs ; 18 mois aprĂšs ; et au-delĂ de lâinfini[2]. De plus, dans les dialogues entre la Terre et vaisseaux spatiaux dans lesquels par, deux fois, on assiste Ă des fĂȘtes dâanniversaire â dâabord celui de la fille Vivian Kubrick du professeur Floyd William Sylvester puis celui de Frank Poole Gary Lockwood. Enfin, dans la derniĂšre partie, Dave Bowman, avant sa transformation, se voit vieillir. 2001, lâodyssĂ©e de lâespace, peut ainsi se voir â Ă partir de la seconde partie â comme lâhistoire de la gestation qui va prendre dix-huit mois soit le double des neuf mois nĂ©cessaires Ă la naissance dâun nouvel ĂȘtre humain de ce nouvel ĂȘtre, créé, avec le concours du monolithe, Ă partir de lâHomme[3]. Ce sentiment est renforcĂ© tant par la premiĂšre sĂ©quence de la seconde partie qui, autour de la valse des vaisseaux spatiaux sur Le beau Danube bleu de Johann Strauss, figure nettement une fĂ©condation que par lâimage finale qui montre un immense fĆtus. LâĂ©lĂ©ment dĂ©routant vient du fait que Stanley Kubrick ne cherche pas du tout Ă caractĂ©riser la seconde transformation â bien que lâon comprenne que le nouvel Homme ne sera plus liĂ© ou soumis Ă la Terre â au contraire de la premiĂšre oĂč chacun comprenait que ce qui transformait lâHomme en singe Ă©tait lâapprentissage â ou lâincrĂ©mentation â de la violence. Je pense toutefois quâintroduire cette idĂ©e de la violence dans la premiĂšre partie ne cherche pas tant Ă montrer ce quâest lâHomme[4] mais plutĂŽt que câest lâHomme qui a Ă©tĂ© créé aprĂšs la premiĂšre intervention du monolithe. On sait donc â du point de vue de la narration â que le monolithe, par une action dont la nature nous reste inconnue[5], peut permettre de tels changements. Si on accepte ce point de dĂ©part, les difficultĂ©s dâinterprĂ©tation du film ne rĂ©sident pas â comme on le dit souvent â dans sa seule fin mais dans la globalitĂ© de lâĆuvre quâil faut envisager comme un tout cohĂ©rent. En effet, la conception de lâhistoire de lâhumanitĂ© est trĂšs Ă©loignĂ©e de nos schĂ©mas de pensĂ©e classiques. Le film de Stanley Kubrick est en rupture tant avec les pensĂ©es monothĂ©istes dans lesquelles lâHomme est une crĂ©ature directement liĂ©e Ă Dieu donc quasi-parfaite et quâil ne saurait ĂȘtre question de modifier quâavec les thĂ©ories Ă©volutionnistes pour lesquelles un changement brusque nâest pas envisageable. Par contre, il fait explicitement rĂ©fĂ©rence au philosophe allemand Friedrich Nietzsche 1844-1900 aux deux moments oĂč le monolithe agit. Dans chacune de ces deux occasions retentit lâouverture du Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss 1864-1949. Or, ce poĂšme symphonique, datant de 1896, a Ă©tĂ© composĂ© en hommage au livre Ă©ponyme de Friedrich Nietzsche [6]datĂ© de 1883-1885. Pour ce dernier, la reprĂ©sentation du temps est tout-Ă -fait conforme Ă ce quâelle est dans 2001, lâodyssĂ©e de lâespace. Ce film, en fait, reprend le concept de lâEternel retour dans lequel le temps est conçu comme une succession de cycles sĂ©lectifs[7]. Ainsi correspond Ă chaque fin de cycle une rupture provoquĂ©e amenant Ă un ĂȘtre plus puissant. Cet Ă©lĂ©ment de volontĂ©[8] est prĂ©sent dans 2001, lâodyssĂ©e de lâespace puisque les hommes en gĂ©nĂ©ral â et Dave Bowman Keir Dullea en particulier â cherchent Ă repousser leurs limites en dominant lâespace malgrĂ© leur inadaptation naturelle Ă celui-ci. Friedrich Nietzsche Un autre concept nietzschĂ©en est transposable Ă 2001, lâodyssĂ©e de lâespace celui du Surhomme. Il sâagit ici de ce en quoi se transforme lâHomme Ă la fin du cycle lui correspondant câest-Ă -dire, dans 2001, lâodyssĂ©e de lâespace, le fĆtus gĂ©ant qui succĂšde Ă Dave Bowman. Si, contrairement Ă celui annoncĂ© par Zarathoustra, le Surhomme kubrickien nâest pas liĂ© Ă une culture immensĂ©ment dĂ©veloppĂ©e, il sâagit bien, comme chez Friedrich Nietzsche, dâune rupture franche avec lâHomme et non dâun homme ayant dĂ©veloppĂ© au maximum ses capacitĂ©s. Dâailleurs, le film montre, par opposition au Surhomme, lâĂ©chec de lâHomme optimal, dâune certaine maniĂšre figurĂ© par le super-ordinateur HAL[9]. Enfin, un autre rapport, dâapproche celui-ci, existe entre les Ćuvres de Friedrich Nietzsche et de Stanley Kubrick. Le philosophe allemand avait ainsi sous-titrĂ© Ainsi parlait Zarathoustra, un livre pour tous et pour personne. Or la volontĂ© de Kubrick dâavoir rĂ©alisĂ©, avec 2001, lâodyssĂ©e de lâespace, un film destinĂ© au plus grand nombre mais qui garde sa part de mystĂšre semble Ă©vidente. On pourrait tout-Ă -fait le sous-titrer, un film pour tous et pour personne⊠Appendice 2001, lâodyssĂ©e de lâespace et Orange mĂ©canique, tournĂ©s Ă trois ans dâintervalle, sont deux films unis par une sorte de gĂ©mellitĂ©. Il y a bien sĂ»r ces thĂšmes communs Ă lâensemble de lâĆuvre de Stanley Kubrick comme la violence constitutive de la nature humaine ou lâĂ©chec du programme parfait HAL, Ludovico. De mĂȘme, lâutilisation de la musique classique pour accompagner, voire souligner, la narration existe dans les deux films. Enfin, ces deux Ćuvres sont, lâune et lâautre, divisĂ©es en blocs faisant apparaĂźtre clairement les diffĂ©rentes parties du film. Au-delĂ de ces Ă©lĂ©ments â qui ne sont donc pas propres Ă ces deux seuls films dans lâĆuvre de Kubrick â on peut Ă©galement remarquer que ces deux films sont explicitement liĂ©s par deux points prĂ©cis. Tout dâabord â mais sâil nây avait que cela, on nâirait guĂšre au-delĂ de lâautocitation â, dans Orange mĂ©canique, Alex Malcolm McDowell croise, lors de son passage dans un magasin de musique, la bande originale de 2001, lâodyssĂ©e de lâespace. Ensuite, et plus profondĂ©ment, le regard face-camĂ©ra dâAlex qui ouvre Orange mĂ©canique semble rĂ©pondre Ă celui du fĆtus humain qui ferme 2001, lâodyssĂ©e de lâespace. On peut toutefois aller encore plus loin dans le rapprochement entre les deux films. En effet, la sĂ©quence dâouverture de 2001, lâodyssĂ©e de lâespace offre, comme nous lâavons plus haut, deux Ă©lĂ©ments au spectateur. Dâune part, lâHomme est caractĂ©risĂ© en tant quâHomme par lâincrĂ©mentation de la violence. Dâautre part, lâĂ©volution se fait par ces ruptures successives que sont les interventions du monolithe. On lâa vu, le second point est dĂ©veloppĂ© dans la suite du film. Mais, dâune certaine façon, le premier lâest, lui, dans Orange mĂ©canique oĂč lâon voit lâHomme arrivĂ© au bout de son Ă©volution â dont Alex semble alors lâarchĂ©type â ayant dĂ©veloppĂ© tout son potentiel de violence dans une Ă©poque qui se situe dans un futur proche â donc aux alentours de 2001. Ainsi, on peut considĂ©rer que lâintroduction de 2001, lâodyssĂ©e de lâespace pourrait Ă©galement ĂȘtre celle dâOrange mĂ©canique. Or, le concept nietzschĂ©en dâEternel retour permet de concilier la temporalitĂ© avec la succession de cycles du temps et lâĂ©ternitĂ© Ă lâintĂ©rieur dâun mĂȘme cycle. Ainsi, 2001, lâodyssĂ©e de lâespace et Orange mĂ©canique peuvent apparaĂźtre comme les deux faces dâune seule et mĂȘme piĂšce ce que, pour finir, lâon pourrait rĂ©sumer par le tableau synthĂ©tique suivant 2001, lâodyssĂ©e de lâespace Orange mĂ©canique TemporalitĂ© EternitĂ© Abondance dâindicateurs temporels Absence dâindicateurs temporels on est vers 2001 VolontĂ© de dĂ©passement ou de puissance incarnĂ©e par Dave Bowman Stagnation dans lâĂ©tat Homme violence incarnĂ©e par Alex Malcolm Mc Dowell dans Orange MĂ©canique Ran [1] Ainsi Alex peut, dans ce film, apparaĂźtre comme lâarchĂ©type de lâhomme dont les singes de 2001, lâodyssĂ©e de lâespace nâĂ©taient que les prototypes. Par ailleurs, lâidĂ©e que la violence est constitutive de la nature humaine est rĂ©currente chez Stanley Kubrick. Jây reviens largement dans mon texte sur Full metal jacket 1987. [2] On voit ici quâindicateurs temporels et spatiaux â tout aussi prĂ©sents dans 2001 â finissent par se rejoindre. [3] Comme lâHomme avait Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment créé Ă partir du singe. [4] Pour Stanley Kubrick, rĂ©pĂ©tons-le, la violence est constitutive de la nature humaine. [5] Chacun est libre dâimaginer ce quâil veut concernant le monolithe. On peut y voir Dieu â avec un indice absolu de transcendance â jusquâĂ un simple objet envoyĂ© par une espĂšce extraterrestre. Câest en tout cas â et on nâest pas loin de rejoindre lâidĂ©e hitchcockienne du macguffin â un efficace biais narratif. [6] Remarquons que, dans Ecce Homo 1888, Nietzsche dit que la gestation de son Ainsi parlait Zarathoustra lui a pris dix-huit mois il se compare alors Ă un Ă©lĂ©phant femelle » soit le mĂȘme temps que celui de la crĂ©ation du nouvel Homme dans 2001, LâOdyssĂ©e de lâespace. [7]Cette thĂ©orie concilie donc temporalitĂ© et Ă©ternitĂ©. [8] Le mot odyssĂ©e », prĂ©sent dans le titre, renvoie lui-mĂȘme Ă cette idĂ©e de quĂȘte, Ă la fois rĂ©elle et spirituelle, avec â pour finir â un retour au point de dĂ©part. [9] On remarquera dâailleurs que lâĂ©chec pratique de programmes thĂ©oriquement parfaits â les programmes de dĂ©fense nuclĂ©aire amĂ©ricain et soviĂ©tique dans Docteur Folamour 1964 ; HAL dans 2001, lâodyssĂ©e de lâespace ; le programme Ludovico dans Orange mĂ©canique ; lâentraĂźnement des marines dans Full metal jacket â est une constante des films de Stanley Kubrick.
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